Titre : | L’anesthésiste-réanimateur et le don d’organes |
Type de document : | article de périodique |
Auteurs : | Fernande Lois, Auteur ; Marc De Kock, Auteur |
Article en page(s) : | 29-34 |
Descripteurs (mots clés) : | [Thésaurus Mesh]Abstention thérapeutique [Thésaurus Mesh]Acquisition d'organes et de tissus [Thésaurus Mesh]Blocs opératoires [Thésaurus Mesh]Donneur vivant [Thésaurus Mesh]Éthique [Thésaurus Mesh]Mort cérébrale [Thésaurus Mesh]Prélèvement d'organes et de tissus [Thésaurus Mesh]Rôle professionnel [Thésaurus HELB]:Paramédical:Anesthésistes
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Mots-clés : | anesthesiste |
Résumé : | Les auteurs, anesthésistes-réanimateurs, sont impliqués dans deux types de dons d’organes : le don vivant et le don post-mortem. ce dernier peut être consécutif à une mort cérébrale ou à une mort circulatoire. Ils s’intéressent particulièrement aux questions posées par le prélèvement d’organes sur des donneurs ‘à coeur arrêté’ ou en mort circulatoire de la catégorie 3 de Maastricht. Ce sont des patients hospitalisés depuis parfois plusieurs jours ou semaines dans une unité de soins intensifs pour lesquels une décision d’arrêt de traitement a été prise. Pour obtenir de meilleurs greffons, le prélèvement à coeur arrêté est réalisée au bloc opératoire où le patient vit ses derniers moments. C’est dont l’anesthésiste, familier du bloc opératoire, qui est responsable de la désescalade thérapeutique et de la fin de vie du patient. Le problème majeur de ce type de procédure est qu’elle implique de faire entrer la mort au Quartier opératoire. |
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