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Auteur O. Jarde
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheQuestionnements éthiques concernant la prise en charge médico-chirurgicale des body packers / O. Jarde in Ethique & santé, vol.11, 4 (Décembre 2014)
[article]
in Ethique & santé > vol.11, 4 (Décembre 2014) . - 220-225
Titre : Questionnements éthiques concernant la prise en charge médico-chirurgicale des body packers Type de document : article de périodique Auteurs : O. Jarde, Auteur Article en page(s) : 220-225 Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:grève de la faim
[Thésaurus HELB]:Paramédical:incidentalome
[Thésaurus Mesh]Consentement libre et éclairé
[Thésaurus Mesh]Corps étrangers
[Thésaurus Mesh]Éthique
[Thésaurus Mesh]Refus de traitement
[Thésaurus Mesh]Trafic de drogueMots-clés : grève de la faim incidentalome Résumé : Chaque année, une centaine de personnes sont interpellées à Paris pour dissimulation in corpore de produits stupéfiants sous forme de boulettes. Ce transport peut être mortel en cas de rupture de l’emballage. La perception par le body packer du risque encouru est faible. L’information délivrée par les médecins est asymétrique du fait de la privation de liberté, de la barrière linguistique et de la perte des repères sociotemporels. La loi no 2002-303 du 4 mars 2002, relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, aborde la question du consentement aux soins. Si l’hospitalisation des body packers est actuellement obligatoire, le soin ne l’est pas. La multiplicité des intervenants et leur identité souvent difficile à déterminer sont également des obstacles à la validité du consentement. En cas d’incidentalome, le consentement aux soins est compliqué par la bonne santé apparente du body packer. En cas de complication du body packing, du fait de la privation de liberté, le consentement éclairé est limité par l’absence de choix du lieu de soins et l’absence de choix du médecin. Le refus de soins reste possible. Le médecin entre alors dans une négociation destinée à vérifier que le refus est véritablement libre et éclairé. La grève de la faim est une forme particulière de refus de soins. Ce n’est pas une maladie, même si elle a des conséquences somatiques. Le médecin ne peut juger si les motifs en sont légitimes. Il s’attache à préserver la santé du gréviste et à informer l’institution que le gréviste affronte des risques encourus. Des recherches biomédicales sont nécessaires pour améliorer la prise en charge médicale de ces patients. Ces études posent une problématique spécifique liée à la validité du consentement à la recherche. Il faut admettre avec humilité l’incertitude de notre savoir médical par rapport à la hiérarchie des valeurs de chaque patient et par rapport aux différences individuelles et socioculturelles. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Le ressenti de médecins généralistes face au refus de soins des patients : une étude qualitative / C. Lelièvre in Ethique & santé, vol. 17, 01 (Mars 20202)
[article]
in Ethique & santé > vol. 17, 01 (Mars 20202) . - p. 44-51
Titre : Le ressenti de médecins généralistes face au refus de soins des patients : une étude qualitative Type de document : article de périodique Auteurs : C. Lelièvre ; C. Lasserre ; O. Jarde ; C. Manaouil Article en page(s) : p. 44-51 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:relation thérapeutique
[Thésaurus Mesh]Médecins généralistes
[Thésaurus Mesh]Recherche qualitative
[Thésaurus Mesh]Refus de traitement
[Thésaurus Mesh]Relations médecin-patientRésumé : Introduction
En demandant le consentement au patient, le médecin s’attend à entendre un « oui ». Il se retrouve alors démuni quand le patient répond par la négation. La relation de soin s’en trouve déséquilibrée et cela peut alors créer des tensions, menaçant la confiance soignant-soigné normalement nécessaire à une bonne alliance thérapeutique.
Objectif
L’objectif de cette étude est d’évaluer le ressenti du médecin généraliste face à un refus de soins d’un patient.
Méthode
Une étude qualitative a été réalisée à partir de l’analyse thématique de 18 entretiens semi-dirigés de médecins généralistes entre le mois d’octobre 2017 et février 2018.
Résultats
Pour la plupart des médecins, le refus de soins des patients était avant tout le signe d’une incompréhension ou de représentation négative du soin. La compréhension reposait avant tout sur une bonne communication entre le médecin et le malade. Afin d’obtenir une adhésion au soin, la stratégie la plus pertinente était une approche centrée sur le patient afin d’aboutir à un compromis entre le projet de soin du soignant et le projet de vie du patient. Mais en cas de persistance du refus, les médecins s’accordaient à dire qu’ils respectaient ce choix.
Conclusion
Généralement les médecins ne vivaient pas le refus de soins comme une atteinte personnelle et ne souffraient pas de cette situation. Toutefois, ce refus pouvait entraîner une rupture de la relation thérapeutique. Cependant, quelques-uns voyaient le refus de soins comme une manière de renforcer le lien médecin-malade et de favoriser le dialogue.
Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Le ressenti de médecins généralistes face au refus de soins des patients : une étude qualitative / C. Lelièvre in Ethique & santé, vol. 17, 1 (Mars 2020)
[article]
in Ethique & santé > vol. 17, 1 (Mars 2020) . - p. 45-51
Titre : Le ressenti de médecins généralistes face au refus de soins des patients : une étude qualitative Type de document : article de périodique Auteurs : C. Lelièvre ; C. Lasserre ; O. Jarde ; C. Manaouil Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 45-51 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]Médecins généralistes
[Thésaurus Mesh]Recherche qualitative
[Thésaurus Mesh]Relations médecin-patient
[Thésaurus HELB]:Paramédical:refus de soinsRésumé : Introduction
En demandant le consentement au patient, le médecin s’attend à entendre un « oui ». Il se retrouve alors démuni quand le patient répond par la négation. La relation de soin s’en trouve déséquilibrée et cela peut alors créer des tensions, menaçant la confiance soignant-soigné normalement nécessaire à une bonne alliance thérapeutique.
Objectif
L’objectif de cette étude est d’évaluer le ressenti du médecin généraliste face à un refus de soins d’un patient.
Méthode
Une étude qualitative a été réalisée à partir de l’analyse thématique de 18 entretiens semi-dirigés de médecins généralistes entre le mois d’octobre 2017 et février 2018.
Résultats
Pour la plupart des médecins, le refus de soins des patients était avant tout le signe d’une incompréhension ou de représentation négative du soin. La compréhension reposait avant tout sur une bonne communication entre le médecin et le malade. Afin d’obtenir une adhésion au soin, la stratégie la plus pertinente était une approche centrée sur le patient afin d’aboutir à un compromis entre le projet de soin du soignant et le projet de vie du patient. Mais en cas de persistance du refus, les médecins s’accordaient à dire qu’ils respectaient ce choix.
Conclusion
Généralement les médecins ne vivaient pas le refus de soins comme une atteinte personnelle et ne souffraient pas de cette situation. Toutefois, ce refus pouvait entraîner une rupture de la relation thérapeutique. Cependant, quelques-uns voyaient le refus de soins comme une manière de renforcer le lien médecin-malade et de favoriser le dialogue.Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité E Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible