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Descripteurs (mots clés)
Thésaurus Mesh
> E > Ethnologie
Ethnologie
The comparative and theoretical study of culture, often synonymous with cultural anthropology.
Synonyme(s)
Sociétés primitivesRelation(s)
- voir aussi au terme générique : [Descripteurs (mots clés)] Culture (sociologie)
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10. Les vieilles petites personnes autonomes. Pratiques de la transe et des sacrifices par les enfants minyanka bamana du Mali / Danielle Jonckers
contenu dans Du soin au rite dans l'enfance
Titre : 10. Les vieilles petites personnes autonomes. Pratiques de la transe et des sacrifices par les enfants minyanka bamana du Mali Type de document : Chapitre d'ouvrage Auteurs : Danielle Jonckers, Auteur Pages : p. 231-253 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]Ethnologie
[Thésaurus Mesh]Soins du nourrisson
[Thésaurus HELB]:Paramédical:rituels de naissance
[Thésaurus HELB]:Paramédical:Rituels de passageRésumé : De nombreux soins et rites entourent l’enfance dès la conception. Les enfants Minyanka du sud-est du Mali bénéficient de ces attentions adultes et y participent mais ils jouissent également d’une grande autonomie. Ils ne sont pas confinés dans un état infantile et ils accèdent à des fonctions spécifiques selon leur âge et leur sexe. Dans les milieux de culture ou de religion bamana ils collaborent très jeunes aux activités rituelles des adultes et y détiennent même des rôles lors des funérailles et du culte aux ancêtres. De plus les garçonnets forment leurs propres associations cultuelles (Jonckers, 1988, 1991) et dialoguent avec les puissances religieuses par le biais de la transe et des sacrifices ainsi que le font les adultes. Ces pratiques distinguent les bamana des musulmans et des chrétiens qui se livrent essentiellement à la prière, mode auquel les enfants viennent tardivement. Les bamana se démarquent également des autres religions par l’idée de contraindre les divinités à leur rendre la vie plus favorable ou à mieux servir leurs desseins. J’ai choisi de montrer un culte d’enfants bamana, le Nya, bien qu’aujourd’hui la majorité d’entre eux soient musulmans et une faible proportion chrétiens (Jonckers, 1998). L’abandon du Nya par ceux-ci indique qu’il s’agit bien d’un culte et non d’un jeu qui pourrait éventuellement se poursuivre indépendamment des options religieuses. Celles-ci peuvent varier d’une personne à l’autre mais les enfants suivent en principe les choix de leur père. Les adultes eux-mêmes s’écartent rarement du modèle paternel du vivant de celui-ci. Cependant, certains pères musulmans ou chrétiens permettent à leurs garçons d’entrer au Nya des enfants pour y vivre les valeurs bamana qui concilient le respect des aînés et l’autonomie des enfants, ces vieilles petites personnes.Avant d’envisager les activités religieuses enfantines et la portée de leurs mises en images, voyons comment les adultes considèrent les enfants, l’idée qu’ils se font de leur origine ainsi que les rites et soins dont ils entourent la petite enfance. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité V07/BON/SO Livre Erasme - secteur V les âges de la vie V07 - Naissance : psychologie et sciences humaines Disponible 5. La toilette des nourrissons au Burkina Faso : une manipulation gestuelle et sociale du corps de l’enfant / Doris Bonnet
contenu dans Du soin au rite dans l'enfance
Titre : 5. La toilette des nourrissons au Burkina Faso : une manipulation gestuelle et sociale du corps de l’enfant Type de document : Chapitre d'ouvrage Auteurs : Doris Bonnet, Auteur Pages : p. 123-140 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:toilette /nouveau-né
[Thésaurus HELB]:Paramédical:toilette corporelle
[Thésaurus Mesh]:S:Soins du nourrisson:Soins du nourrisson / tendances
[Thésaurus Mesh]EthnologieRésumé : La toilette corporelle quotidienne de l’enfant en bas âge a été appréhendée par l’ethnologie comme une pratique assimilée à une « technique » de soins. La recherche de données bibliographiques sur le sujet révèle, par les types d’indexation des documents, cette orientation conceptuelle donnée à ce champ. Marcel Mauss, dans les années 1950, appréhende les toilettes quotidiennes, au même titre que les techniques de l’obstétrique ou du sevrage, comme « les façons dont les hommes, société par société, d’une façon traditionnelle, savent se servir de leur corps » (1950, p. 365). Cet acte « d’ordre mécanique », écrit-il (1950, p. 372), doit être efficace et traditionnel (ce terme signifie ici l’idée de transmission orale). Cette catégorisation maussienne n’a pas pour autant favorisé un recueil de données « techniques » comparatives sur le sujet. Associer la toilette à une simple technique corporelle dans une perspective uniquement mécaniste permet, sans doute, de faire valoir des différences culturelles au niveau de la gestuelle, d’observer les variations et les évolutions selon les périodes historiques et les transformations de l’environnement et des techniques ; mais elle dépouille généralement l’étude de ses éléments symboliques et rituels. Cette approche en termes de « technique », même si elle met l’accent sur l’apprentissage, ne fait pas valoir non plus, en ce qui concerne la toilette de l’enfant, les interrelations entre les divers « soignants » (« care takers » selon les Anglosaxons) soit le rôle des intermédiaires qui ont aussi la charge des soins de l’enfant. Or, ceux-ci ne se réfèrent pas systématiquement ni aux mêmes méthodes de puériculture ni aux mêmes modèles de transmission des usages (refus ou adhésion à de nouveaux rites religieux dans certaines familles). Dans les sociétés rurales auxquelles se réfèrent les ethnologues, l’apprentissage des méthodes se réalise le plus souvent de mères à filles ou de belles-mères à belles-filles. Mais dans d’autres cas, généralement non décrits dans les sociétés du Sud  l’apprentissage se réalise auprès d’une puéricultrice, autrement dit dans une structure de soins, et venant d’une personne qui n’a pas reçu, obligatoirement, la même culture de socialisation que la mère de famille. Ces échanges – révélateurs des modes d’apprentissage et du changement social au sein d’une société – produisent des relations de négociation mais aussi de conflits. Ils permettent, par exemple, d’observer la façon dont des jeunes femmes tentent de s’émanciper d’une belle-mère qui prône des méthodes déconseillées par le corps médical (purges abusives, par exemple). Si l’on oriente l’exploration bibliographique, non plus vers la toilette mais sur le « bain », celle-ci conduit inexorablement vers les entrées « rite de passage » ou « impureté ». Le bain de l’enfant est étudié en tant que cérémonie profane ou plus souvent religieuse, généralement à la naissance ou au cours du baptême. Il est présenté comme un rite de purification qui a pour fonction soit de séparer l’enfant de son milieu et de sa mère, soit de l’agréger à la communauté des humains (Van Gennep, 1981, p. 72). Ces recherches ne s’intéressent pas aux toilettes quotidiennes d’entretien du corps de l’enfant, et ne mettent l’accent que sur la dimension purificatrice et intégrative du rituel sans l’inscrire au cœur des relations familiales et sans faire valoir les enjeux sociaux de l’élevage de l’enfant. Quant aux recherches d’anthropologie de la santé qui revendiquent, pour certaines d’entre elles, une réflexion sur la santé publique des pays du Sud, elles n’accordent pas, néanmoins, une attention particulière aux pratiques de maternage, alors que celles-ci sont au cœur de débats internationaux en matière d’éducation sanitaire (notamment par la volonté des politiques sanitaires de lutter contre les « pratiques traditionnelles nuisibles à la santé de la mère et de l’enfant », en prônant, par exemple, l’abandon des lavements intestinaux pour lutter contre la malnutrition chronique, ou en recommandant l’absorption du colostrum et la pratique universelle de l’allaitement maternel au sein, etc.). Ce vide « intellectuel » peut laisser croire que le maternage, et notamment la toilette d’entretien de l’enfant qui nous occupe ici, n’obéit à aucune convention socioculturelle, ne se réfère à aucune représentation symbolique du corps, n’engage ni un savoir ni une compétence spécifique, ne s’intègre pas dans des relations de parenté, voire qu’il elève d’un acte « naturel uniquement conditionné par l’environnement. Pourtant, l’observation des toilettes quotidiennes de nouveau-nés nous conduit à considérer que ces « pratiques de routine » (Gottlieb, 2000), non seulement véhiculent des valeurs morales et des interactions sociales, non seulement comportent des ersatz de ritualités, prouvant que la fonctionnalité d’un geste ou d’une attitude ne se dissocie pas de configurations sociales et symboliques, mais aussi qu’elles sont porteuses d’idéologies sociales conventionnées. La friction, le massage, la purge notamment, ont pour intention, là où nos travaux se sont déroulés, outre de nettoyer l’enfant et de le séparer d’un au-delà (et progressivement de sa mère), mais aussi de l’introduire dans une réalité normative, sous le contrôle de certains acteurs sociaux, même si le geste est quotidien, profane et non cérémoniel. De fait, modifier une « pratique de routine » peut engager les parents vers une adhésion à de nouvelles valeurs, à de nouvelles normes sociales, qui peuvent avoir pour conséquences de rudes négociations familiales, des incompréhensions vis-à -vis des services sociaux (et de la protection de l’enfance), divergences de points de vue jamais débattues dans les consultations médicales, puisque la recommandation de nouvelles consignes de puériculture correspond uniquement, dans l’esprit des soignants, à un unique et simple conseil médical, lui aussi « naturel » et de bonne intention. L’émergence de la pédiatrie, soit de la médicalisation de la santé de l’enfant, dans les sociétés du Sud conduit à une cohabitation de savoirs et de pratiques : ceux qui relèvent d’une tradition orale et gestuelle, et ceux qui se réfèrent à un savoir scientifique, tous, soumis à l’histoire coloniale de la médecine ainsi qu’à des modes et des influences diverses au cours de l’histoire de la puériculture française (Delaisi de Parseval et Lallemand, 1980). De plus, ces savoirs ne sont pas homogènes : les acteurs sont eux-mêmes à la congruence de ces influences selon la place qu’ils occupent à un moment de leur histoire personnelle et selon leur statut professionnel. L’objectif de cette étude est donc de faire valoir que la toilette quotidienne du nourrisson n’est pas un acte naturel et sans système de valeurs, mais normalisé par la société et dépendant du statut social de la mère de famille. Au-delà de cet objectif, notre propos consiste aussi à briser toute vision binaire entre le Nord et le Sud et à signaler qu’il y a du rite et de la tradition orale et gestuelle dans les pratiques de maternage du Nord et qu’il y a du savoir médical au Sud – autrement dit qu’il n’y a pas un folklore du Sud et une science du Nord – même si le film présenté en accompagnement de cet ouvrage a été réalisé dans un contexte rural relativement éloigné d’une structure médicalisée. D’autres films pourraient montrer le folklore du Nord et la médicalisation du Sud. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité V07/BON/SO Livre Erasme - secteur V les âges de la vie V07 - Naissance : psychologie et sciences humaines Disponible 6. Parachever l’humanité. Toilette, massage et soins des enfants manjak (Guinée-Bissau, Sénégal) / Maria Teixeira
contenu dans Du soin au rite dans l'enfance
Titre : 6. Parachever l’humanité. Toilette, massage et soins des enfants manjak (Guinée-Bissau, Sénégal) Type de document : Chapitre d'ouvrage Auteurs : Maria Teixeira, Auteur Pages : p. 141-160 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]Ethnologie
[Thésaurus Mesh]Soins du nourrissonRésumé : Le territoire manjak, constitué de plusieurs royaumes, se répartit sur le littoral atlantique, entre les fleuves Cacheu et Mansoa et sur les îles de Jeta et de Pecixe en Guinée-Bissau. Nous avons conduit nos enquêtes dans le royaume de Babok en Guinée-Bissau et à Ziguinchor au Sénégal. Ces riziculteurs suivent dans leur très grande majorité la religion des ancêtres, bien que certains se soient convertis au catholicisme ou à la religion musulmane.Dans cette société, les représentations sociales de la fabrication biologique d’un enfant se fondent sur une transmission sexuée des fluides et substances corporels des deux parents, qui se conjuguent à certaines composantes invisibles (principes ancestraux ou vitaux…). Des entités occultes (divinité, génie…), animales (singe, caméléon…) et végétales (haricot, graine de palmiste…) peuvent pénétrer le corps d’un enfant en construction et agir de façon pathogène ou infléchir de manière disgracieuse le développement de son corps. Cette influence néfaste, souvent signalée en Afrique subsaharienne, se produit pendant la grossesse mais aussi après l’accouchement.Nombreuses sont les sociétés qui considèrent qu’au cours des premiers moments de son existence, le corps, l’identité et la personnalité du bébé sont malléables. Les pratiques liées à l’humanisation (Teixeira, 2001), à la déshumanisation (Teixeira, 2004), au façonnage et aux soins des nourrissons visent à provoquer un changement d’identité des petits de l’homme parfois identifiés comme étant des puissances invisibles qui ont pris l’apparence de nourrissons. Ces rituels contrecarrent l’irruption de caractéristiques non souhaitées dans le corps ou façonnent le bébé conformément à une image socialement définie. Massage, port d’amulettes, extraction de substances pathogènes, sont autant de rites ponctuels ou quotidiens qui permettent d’appréhender ces transformations corporelles.Nous nous intéresserons, ici, aux rites appliqués aux enfants – qu’ils soient ou non identifiés comme des humains – en analysant les modelages patients, répétés et minutieux qui contribuent à la construction de futurs adultes répondant aux critères culturellement définis du beau, du fort, du souple, de l’efficace et du propre. Ces soins sont particulièrement signifiants lorsqu’ils se produisent dans des situations de crise. En effet, il existe un mot spécifique en manjak que nous pouvons traduire par masser (pëfayñ), mais, dans le cas des nourrissons qui ne sont pas considérés comme des humains et qu’il convient de transformer en personne, il est dit qu’ils sont travaillés (pëlemp). Ce rite permet de contrecarrer la transgression des frontières entre humanité et entités occultes. Un autre rituel, l’extraction du corps des enfants de sang que la société qualifie de sang de chiens envoyé par un sorcier, nous aidera à percevoir les interpénétrations entre humanité et animalité ainsi que les soins appliqués pour les combattre. Le terme racler, essuyer (përaf) désigne ce rituel thérapeutique qui rétablit les limites qui existent entre l’homme et son environnement. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité V07/BON/SO Livre Erasme - secteur V les âges de la vie V07 - Naissance : psychologie et sciences humaines Disponible 7. Le tambavy des bébés à Madagascar : du soin au rituel d’ancestralité / Sophie Blanchy
contenu dans Du soin au rite dans l'enfance
Titre : 7. Le tambavy des bébés à Madagascar : du soin au rituel d’ancestralité Type de document : Chapitre d'ouvrage Auteurs : Sophie Blanchy, Auteur Pages : p. 161-182 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:rituels
[Thésaurus Mesh]Ethnologie
[Thésaurus Mesh]Soins du nourrissonRésumé : Le mot tambavy a pour racine vavy, femme, et signifiait en 1888 « maladie de l’enfant qu’on suppose venir de la mère », ainsi que « remède à boire pour son traitement. De nos jours, tambavy désigne couramment à la fois les remèdes faits de décoctions et d’infusions, et les plantes dont on les tire. Dans un village bezanozano, situé dans l’Ankay (entre les Hautes Terres et la côte est), j’ai observé un bain rituel, nommé « tambavy pour bébésqui nécessite, pour sa réalisation, une plante spécifique à chaque lignage paternel, cueillie en un lieu précis lié aux ancêtres. Les multiples interdits associés à l’usage de cette plante s’appliquent à la mère et à l’enfant. Le rituel garantit le bon développement de celui-ci, et le fait entrer dans une identité d’ancestralité Si les usages pédiatriques des tambavy sont connus, ce rituel n’a, semble-t-il, jamais été décrit auparavantLes travaux publiés sur la petite enfance à Madagascar sont encore rares ainsi que ceux sur les nosographies et traitements locaux des maladies Les études sur les plantes, plus nombreuses, sont principalement dues à des botanistes. Tous signalent le tambavy comme un soin répandu dans toutes les populations de l’île. Un article médical sur les tambavy administrés aux bébés en dénonce la dangerosité, due aux surdosagesÉcrit par des praticiens hospitaliers de la capitale, il montre que la pratique se maintient de nos jours, mais sans traduire une relation symbolique à la ligne d’ancestralitéOr le clan des Zanadroandrena, au sein duquel j’ai observé ce rituel, est originaire de la lisière orientale des Hautes Terres, et issu du plus ancien dème d’Imerina, les Zafimamy  Aussi peut-on penser que le rituel décrit ici a existé dans l’ancienne société merina.On relève dans le village de Sarogoaika autant de traditions de tambavy que de lignages ou lignées localisées (teraka). C’est le doyen de chaque lignée qui « détient le tambavyLa connaissance des interdits qui entourent son application est transmise, comme un héritage, en ligne paternelle – les filles n’y sont pas initiées et ne le transmettent pas. Distinct des décoctions proprement thérapeutiques, le tambavy décrit ici montre comment se construit, dans les premiers mois de la vie, le lien entre le développement physique et spirituel de la personne, et son appartenance au flux de vie issu de ses ancêtres La décoction est administrée rituellement aussi bien à la mère qu’à l’enfant, en boisson et en application externe sur certaines parties du corps. Il est à noter que ces deux personnes, mère et enfant, sont des nouveaux venus dans le lignage du père : la mère y est entrée, en quelque sorte, par le mariage, l’enfant par sa naissance toute récente (moins de trois mois). Le traitement n’est pas une thérapeutique : il est censé assurer au bébé un développement harmonieux, en le protégeant des problèmes de développement, de croissance et de santé en général. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité V07/BON/SO Livre Erasme - secteur V les âges de la vie V07 - Naissance : psychologie et sciences humaines Disponible 9. « La souillure des exocets s’envole à jamais ! ». Rites prophylactiques relatifs aux enfants yami. (Botel Tobago, Taïwan) / Véronique Arnaud
contenu dans Du soin au rite dans l'enfance
Titre : 9. « La souillure des exocets s’envole à jamais ! ». Rites prophylactiques relatifs aux enfants yami. (Botel Tobago, Taïwan) Type de document : Chapitre d'ouvrage Auteurs : Véronique Arnaud, Auteur Pages : p. 201-230 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:rituels
[Thésaurus Mesh]Ethnologie
[Thésaurus Mesh]Soins du nourrissonRésumé : Nous examinerons les pratiques et les rites prophylactiques relatifs aux poissons volants et aux enfants, durant « la saison de pêche des exocets » qui commence vers la fin du mois de février (22 et 23 février 1972 aux villages de Dyayu et de Divalinu – et 26 février 1986 au village de Diraralei) et se partage en deux grandes périodes, les deux premières lunaisons d’une part où l’on pêche de nuit en grande pirogue et les deux lunaisons suivantes d’autre part où la pêche s’exécute de jour à la senne ou à la traîne en petite pirogue. Pendant toute « la saison de pêche des exocets », le père et la mère jouent un rôle très actif dans « l’évitement de la souillure des poissons volants » et par là même dans la protection de la santé de leurs enfants. Les enfants, en particulier les garçons destinés à devenir des membres du groupe de pêche de leur père, sont impliqués dans certains rituels tels que celui de « l’appel des poissons volants sur le port » qui a lieu, chaque année, à l’ouverture de la pêche. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité V07/BON/SO Livre Erasme - secteur V les âges de la vie V07 - Naissance : psychologie et sciences humaines Disponible Actes de la recherche en sciences sociales : regards croisés sur l'anthropologie de Pierre Bourdieu / Pierre Bourdieu
PermalinkApproche anthropologique du médicament : un objet symbolique / Jean-Philippe Pierron in Ethique & santé, vol.6, 1 (Mars 2009)
PermalinkArt rupestre : une nouvelle hypothèse in Sciences humaines, 173 (Juillet 2006)
PermalinkBaka / Thierry Knauff
PermalinkChasseurs de diables et collecteurs d'art : tentatives de conversion des Asmat par les missionnaires pionniers protestants et catholiques / Astrid De Hontheim
Permalink"Au Chiapas, les sages-femmes traditionnelles sont transgressives" / Géraldine Magnan in Profession sage-femme, 265 (Octobre 2020)
PermalinkCinq études d'ethnologie / Michel Leiris
PermalinkLes civilisations africaines / Denise Paulme
PermalinkCroyances et laïcité : guide pratique des cultures et des religions : leurs impacts sur la société française, ses institutions sociales et hospitalières / Isabelle Lévy
PermalinkDéfinition d’un concept : approche anthropologique du rite de passage / M.-C. Leneveu in Ethique & santé, vol.10, 2 (Juin 2013)
PermalinkDémarche de rue, oui mais dans quel sens? in Travailler le social (plus suivi), 36 (Janvier 2004)
PermalinkEthnie ... citée / Centre Bruxellois d'Action Interculturelle < CBAI > in Agenda interculturel, 139 (Décembre 1995)
PermalinkEthnologie de la cour de récré / Hélène Frouard in Sciences humaines, 322 (février 2020)
PermalinkUn ethnologue dans le métro / Marc Augé
PermalinkL'ethnologue et son ombre / Michel Panoff
PermalinkEthnomusicologie : les aventuriers du son / Régis Meyran in Les Grands dossiers des sciences humaines, 48 (Septembre-novembre 2017)
PermalinkL’ethnomusicologie, du tam-tam à la techno in Sciences humaines, 143 (Octobre 2003)
PermalinkL'ethnopscinéma : à la rencontre du 'soigner autrement' : approche ethno-soignante du pouvoir de la représentation et de la représentation du pouvoir de soigner / D. Vidal-Demé in Recherche en soins infirmiers, 111 (Décembre 2012)
PermalinkGermaine Tillion, ethnologue engagée / Maud Navarre in Les Grands dossiers des sciences humaines, 49 (Décembre 2017 - février 2018)
PermalinkLe harem européen / Fatéma Mernissi
PermalinkDe l’histoire ancienne ? / Achille Verne in Espace de libertés, mensuel du Centre d'action laïque, 502 (Octobre 2021)
PermalinkHistoire de l'ethnologie / Jean Poirier
PermalinkIntégrer les croyances et la religion dans le soin psychiatrique / Sébastien Roussery in Soins psychiatrie, 329 (Juillet-aout 2020)
PermalinkJaguar - Moi, Un Noir / Jean Rouch
PermalinkLévi-Strauss et les soins / Ch. Théodore in Santé mentale, 145 (Février 2010)
PermalinkLes Maîtres Fous - Mammy Water - Les Tambours d'Avant/Tourou et Bitti - La Chasse au Lion à l'Arc - Un Lion Nommé l'Américain / Jean Rouch
PermalinkMaltraitance et cultures / A. Aouattah
PermalinkMathématiques d'ailleurs : nombres, formes et jeux dans les sociétés traditionnelles / Marcia Ascher
PermalinkMener un terrain de recherche qualitatif, apports des méthodes ethnographiques / Hélène Cinelli in Sages-femmes, vol. 19, 6 (Novembre-décembre 2020)
PermalinkL'ombre du monde : une anthropologie de la condition carcérale suivi de Portrait de l'ethnologie en critique / Didier Fassin
PermalinkL’origine des cultures in Les Grands dossiers des sciences humaines, 01 (Décembre 2005)
PermalinkPerdre sa culture / David Berliner in La revue nouvelle, 06 (Juin 2019)
PermalinkPostface. Pour une anthropologie de la petite enfance appliquée à la santé. La médicalisation de la petite enfance / Doris Bonnet
PermalinkLe pouvoir africain / Jean Ziegler
PermalinkProtection de l’enfance:fratrie et éthologie en protection de l’enfance. Le lien dans la fratrie pour un placement sécurisant / Eglantine Rousseau in Le journal des professionnels de l'enfance, 139 [Pratiques] (Mars-Avril-Mai 2024)
PermalinkLes Pygmées d'Asie : reportage de Raghubir Singh / Raghubir Singh in Zoom (plus suivi), 36 (avril 1976)
PermalinkLes quatre soleils / Jacques Soustelle
PermalinkRencontre avec Marc Augé : l’ethnologue et le monde contemporain in Sciences humaines, 181 (Avril 2007)
PermalinkLes savoirs invisibles : de l’ethnoscience aux savoirs ordinaires in Sciences humaines, 137 (Avril 2003)
PermalinkLa servitude volontaire I : Les morts d'accompagnement / Alain Testart
PermalinkLa société contre nature / Serge Moscovici
PermalinkUn sociologue à l'usine : Textes essentiels pour la sociologie du travail / Donald Roy
PermalinkLe structuralisme / Louis Millet
PermalinkLe zoo humain / Desmond Morris
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