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Thésaurus Mesh
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Soins du nourrisson
Care of infants in the home or institution.
Synonyme(s)
Soins au nouveau-né et au nourrisson; Soins aux nouveau-nés et aux nourrissons; Soins des nourrissons; Soins infantilesRelation(s)
- voir aussi au terme générique : [Descripteurs (mots clés)] Soins de l'enfant
- voir aussi au terme spécifique : [Descripteurs (mots clés)] Soins hospitaliers avec chambre mère-nouveau-né
- voir aussi au terme spécifique : [Descripteurs (mots clés)] Soins intensifs néonatals
- voir aussi au terme spécifique : [Descripteurs (mots clés)] Soins périnatals
- voir aussi au terme spécifique : [Descripteurs (mots clés)] Méthode mère kangourou
- voir aussi au terme spécifique : [Descripteurs (mots clés)] Facilitated tucking
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10. Les vieilles petites personnes autonomes. Pratiques de la transe et des sacrifices par les enfants minyanka bamana du Mali / Danielle Jonckers
contenu dans Du soin au rite dans l'enfance
Titre : 10. Les vieilles petites personnes autonomes. Pratiques de la transe et des sacrifices par les enfants minyanka bamana du Mali Type de document : Chapitre d'ouvrage Auteurs : Danielle Jonckers, Auteur Pages : p. 231-253 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]Ethnologie
[Thésaurus Mesh]Soins du nourrisson
[Thésaurus HELB]:Paramédical:rituels de naissance
[Thésaurus HELB]:Paramédical:Rituels de passageRésumé : De nombreux soins et rites entourent l’enfance dès la conception. Les enfants Minyanka du sud-est du Mali bénéficient de ces attentions adultes et y participent mais ils jouissent également d’une grande autonomie. Ils ne sont pas confinés dans un état infantile et ils accèdent à des fonctions spécifiques selon leur âge et leur sexe. Dans les milieux de culture ou de religion bamana ils collaborent très jeunes aux activités rituelles des adultes et y détiennent même des rôles lors des funérailles et du culte aux ancêtres. De plus les garçonnets forment leurs propres associations cultuelles (Jonckers, 1988, 1991) et dialoguent avec les puissances religieuses par le biais de la transe et des sacrifices ainsi que le font les adultes. Ces pratiques distinguent les bamana des musulmans et des chrétiens qui se livrent essentiellement à la prière, mode auquel les enfants viennent tardivement. Les bamana se démarquent également des autres religions par l’idée de contraindre les divinités à leur rendre la vie plus favorable ou à mieux servir leurs desseins. J’ai choisi de montrer un culte d’enfants bamana, le Nya, bien qu’aujourd’hui la majorité d’entre eux soient musulmans et une faible proportion chrétiens (Jonckers, 1998). L’abandon du Nya par ceux-ci indique qu’il s’agit bien d’un culte et non d’un jeu qui pourrait éventuellement se poursuivre indépendamment des options religieuses. Celles-ci peuvent varier d’une personne à l’autre mais les enfants suivent en principe les choix de leur père. Les adultes eux-mêmes s’écartent rarement du modèle paternel du vivant de celui-ci. Cependant, certains pères musulmans ou chrétiens permettent à leurs garçons d’entrer au Nya des enfants pour y vivre les valeurs bamana qui concilient le respect des aînés et l’autonomie des enfants, ces vieilles petites personnes.Avant d’envisager les activités religieuses enfantines et la portée de leurs mises en images, voyons comment les adultes considèrent les enfants, l’idée qu’ils se font de leur origine ainsi que les rites et soins dont ils entourent la petite enfance. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité V07/BON/SO Livre Erasme - secteur V les âges de la vie V07 - Naissance : psychologie et sciences humaines Disponible 2. Histoire du maillot en Europe occidentale / Marie-France Morel
contenu dans Du soin au rite dans l'enfance
Titre : 2. Histoire du maillot en Europe occidentale Type de document : Chapitre d'ouvrage Auteurs : Marie-France Morel, Auteur Pages : p. 63-88 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:portage bébé
[Thésaurus Mesh]Soins du nourrissonMots-clés : Emmaillotage Résumé : Le maillot est, selon l’expression de Marcel Mauss, une « technique du corps », commune à de nombreuses cultures, mais qui n’est cependant pas universelle. Même si elle semble à première vue justifiée par le besoin de tenir le nourrisson au chaud, elle est indépendante des rigueurs climatiques, puisque certaines populations de pays froids, comme les Inuits, ne la connaissent pas, alors que les pays chauds des rives de la Méditerranée y ont recours. En Occident, depuis l’Antiquité jusqu’au xxe siècle, on emmaillote systématiquement tous les nouveau-nés et nourrissons, au point que le maillot est devenu dans notre culture une image emblématique de la première enfance. Des considérations à la fois pratiques et symboliques, variables selon les époques et selon les régions, légitiment cette pratique. La protection contre les rigueurs de l’air est essentielle, mais elle n’explique pas l’ampleur du phénomène. Ce qui est véritablement en jeu c’est le façonnage du corps de l’enfant. Pendant longtemps, dans les théories médicales anciennes, comme dans les traditions populaires, l’enfant qui naît est considéré comme inachevé et fragile (Morel, 2000, p. 78-87). Avec sa tête qui ballotte, son crâne où la fontanelle laisse voir les battements du sang, son dos si flexible, son corps tout mou et ses jambes repliées, il semble avoir besoin d’un tuteur pour le faire grandir dans la bonne direction : la fonction du maillot est d’abord de le faire pousser droit.L’emmaillotement connaît une longévité exceptionnelle dans la culture occidentale, puisqu’il est pratiqué sans discontinuer depuis l’Antiquité jusqu’au xxe siècle, ce qui justifie l’amplitude chronologique de cet article. Mais, sous l’apparente immobilité de la longue durée, se produisent des changements, à la fois dans les manières de façonner le maillot et dans les motivations de cette pratique. On s’attachera à montrer ces évolutions au fil des époques et on expliquera comment et pourquoi le maillot disparaît peu à peu aujourd’hui. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité V07/BON/SO Livre Erasme - secteur V les âges de la vie V07 - Naissance : psychologie et sciences humaines Disponible 3. Au fil de la faja. Enrouler et dérouler la vie en Bolivie / Charles-Edouard de Suremain
contenu dans Du soin au rite dans l'enfance
Titre : 3. Au fil de la faja. Enrouler et dérouler la vie en Bolivie Type de document : Chapitre d'ouvrage Auteurs : Charles-Edouard de Suremain, Auteur ; Nicolas Montibert, Auteur Pages : p. 89-109 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]Soins du nourrisson Mots-clés : Emmaillotage Résumé : Si de nombreux tableaux de l’époque coloniale (exposés à la Casa Real de la Moneda à Potosí par exemple) présentent des enfants « Blancs » emmaillotés, la pratique, dans la région andine, s’est manifestement développée indépendamment de l’influence européenne. Elle est en effet représentée sur divers supports préhispaniques, comme le tissu ou la poterie (Waman Poma de Ayala, 1987 [1584-1614]), et sa vigueur est avérée par les observateurs de la fin du xvie siècle et les chroniqueurs du xviie siècle (Garcilaso de la Vega 1982 [1609]). En dépit d’une certaine convergence technique entre le Nouveau et l’Ancien Monde, la raison majeure de la condamnation de l’emmaillotement des enfants andins au cours des siècles – par les hommes d’église puis par les médecins – semble reposer sur le lien supposé entre cette pratique et celle, perçue comme « idolâtre », de la momification. D’après Françoise Lestage (1999, p. 136) :« [Le nouveau-né] est enveloppé bien droit, les bras le long du corps, dans des chiffons propres, puis ficelés à l’aide d’une longue ceinture. Les paysans disent le bander “comme une momie”. Il est vrai que le “paquet” de forme oblongue que constitue le nourrisson évoque ceux des corps momifiés des ancêtres préhispaniques, appelés précisément “paquets, ballots” (fardos) ». On peut toutefois se demander si, comme en France et dans une partie de l’Europe des Lumières, cette perception négative ne s’est pas renforcée avec la parution de L’Émile en 1762. La pédiatrie s’est en effet institutionnalisée dès cette époque à partir de la critique, voire même l’interdiction, des pratiques populaires ayant cours dans les zones rurales. Aussi, la médicalisation de la petite enfance a progressivement imposé des règles -d’hygiène et de prévention une bonne partie des critiques de l’emmaillotement par les médecins du xviiie siècle repose d’ailleurs sur une argumentation de type ethnologique : les récits de voyage, nombreux à cette époque, montrent que beaucoup de « Sauvages » (les « Brésiliens » sont souvent cités) n’emmaillotent pas leurs enfants et que cette liberté n’empêche pas ces derniers de devenir « grands » et « forts ».Il semblerait que la comparaison – connotée négativement – du bébé emmailloté avec une momie dépasse largement le domaine géographique de l’ensemble andin et concerne des régions où la momification des morts est inconnue, comme en témoignent les textes médicaux français des xviiie et xixe siècles. Au xxe siècle, Pierre Jakez Hélias (né en 1914) l’évoque à propos de son enfance (1975, p. 48) : Quoi qu’il en soit, s’il n’y a pas de données quantitatives sur la fréquence de l’emmaillotement, plusieurs études ethnographiques attestent de sa présence dans les communautés indiennes actuelles de la Bolivie et du Pérou. On peut l’observer tant dans les Andes – en milieu quechua-aymara. Pour ce qui concerne les quartiers populaires des grandes villes de l’Amérique andine, comme La Paz et Potosí (Bolivie), il est tout aussi difficile de donner des chiffres. Pour l’observateur attentif qui pénètre dans l’intimité des logis, il s’agit pourtant d’un soin relativement courant et, surtout, d’une importance sociale et symbolique capitale dans le déroulement des premiers mois de la vie. Dans ce chapitre et dans le film qui l’accompagne, après avoir décrit la pratique de l’emmaillotement de l’enfant et cerné le sens que celle-ci revêt (façonnement du corps, prévention de la maladie), je montrerai en quoi elle constitue un espace de transmission d’attitudes féminines idéales entre les femmes boliviennes et les jeunes filles de la famille (celles qui viennent d’avoir un enfant et celles qui n’en ont pas encore). Mon propos porte donc autant sur les particularités techniques, les fonctions sociales et les dimensions symboliques de ce soin domestique quotidien que sur la transmission d’attitudes socialement prescrites aux mères, aux épouses et aux femmes en général Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité V07/BON/SO Livre Erasme - secteur V les âges de la vie V07 - Naissance : psychologie et sciences humaines Disponible 6. Parachever l’humanité. Toilette, massage et soins des enfants manjak (Guinée-Bissau, Sénégal) / Maria Teixeira
contenu dans Du soin au rite dans l'enfance
Titre : 6. Parachever l’humanité. Toilette, massage et soins des enfants manjak (Guinée-Bissau, Sénégal) Type de document : Chapitre d'ouvrage Auteurs : Maria Teixeira, Auteur Pages : p. 141-160 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]Ethnologie
[Thésaurus Mesh]Soins du nourrissonRésumé : Le territoire manjak, constitué de plusieurs royaumes, se répartit sur le littoral atlantique, entre les fleuves Cacheu et Mansoa et sur les îles de Jeta et de Pecixe en Guinée-Bissau. Nous avons conduit nos enquêtes dans le royaume de Babok en Guinée-Bissau et à Ziguinchor au Sénégal. Ces riziculteurs suivent dans leur très grande majorité la religion des ancêtres, bien que certains se soient convertis au catholicisme ou à la religion musulmane.Dans cette société, les représentations sociales de la fabrication biologique d’un enfant se fondent sur une transmission sexuée des fluides et substances corporels des deux parents, qui se conjuguent à certaines composantes invisibles (principes ancestraux ou vitaux…). Des entités occultes (divinité, génie…), animales (singe, caméléon…) et végétales (haricot, graine de palmiste…) peuvent pénétrer le corps d’un enfant en construction et agir de façon pathogène ou infléchir de manière disgracieuse le développement de son corps. Cette influence néfaste, souvent signalée en Afrique subsaharienne, se produit pendant la grossesse mais aussi après l’accouchement.Nombreuses sont les sociétés qui considèrent qu’au cours des premiers moments de son existence, le corps, l’identité et la personnalité du bébé sont malléables. Les pratiques liées à l’humanisation (Teixeira, 2001), à la déshumanisation (Teixeira, 2004), au façonnage et aux soins des nourrissons visent à provoquer un changement d’identité des petits de l’homme parfois identifiés comme étant des puissances invisibles qui ont pris l’apparence de nourrissons. Ces rituels contrecarrent l’irruption de caractéristiques non souhaitées dans le corps ou façonnent le bébé conformément à une image socialement définie. Massage, port d’amulettes, extraction de substances pathogènes, sont autant de rites ponctuels ou quotidiens qui permettent d’appréhender ces transformations corporelles.Nous nous intéresserons, ici, aux rites appliqués aux enfants – qu’ils soient ou non identifiés comme des humains – en analysant les modelages patients, répétés et minutieux qui contribuent à la construction de futurs adultes répondant aux critères culturellement définis du beau, du fort, du souple, de l’efficace et du propre. Ces soins sont particulièrement signifiants lorsqu’ils se produisent dans des situations de crise. En effet, il existe un mot spécifique en manjak que nous pouvons traduire par masser (pëfayñ), mais, dans le cas des nourrissons qui ne sont pas considérés comme des humains et qu’il convient de transformer en personne, il est dit qu’ils sont travaillés (pëlemp). Ce rite permet de contrecarrer la transgression des frontières entre humanité et entités occultes. Un autre rituel, l’extraction du corps des enfants de sang que la société qualifie de sang de chiens envoyé par un sorcier, nous aidera à percevoir les interpénétrations entre humanité et animalité ainsi que les soins appliqués pour les combattre. Le terme racler, essuyer (përaf) désigne ce rituel thérapeutique qui rétablit les limites qui existent entre l’homme et son environnement. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité V07/BON/SO Livre Erasme - secteur V les âges de la vie V07 - Naissance : psychologie et sciences humaines Disponible 7. Le tambavy des bébés à Madagascar : du soin au rituel d’ancestralité / Sophie Blanchy
contenu dans Du soin au rite dans l'enfance
Titre : 7. Le tambavy des bébés à Madagascar : du soin au rituel d’ancestralité Type de document : Chapitre d'ouvrage Auteurs : Sophie Blanchy, Auteur Pages : p. 161-182 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:rituels
[Thésaurus Mesh]Ethnologie
[Thésaurus Mesh]Soins du nourrissonRésumé : Le mot tambavy a pour racine vavy, femme, et signifiait en 1888 « maladie de l’enfant qu’on suppose venir de la mère », ainsi que « remède à boire pour son traitement. De nos jours, tambavy désigne couramment à la fois les remèdes faits de décoctions et d’infusions, et les plantes dont on les tire. Dans un village bezanozano, situé dans l’Ankay (entre les Hautes Terres et la côte est), j’ai observé un bain rituel, nommé « tambavy pour bébésqui nécessite, pour sa réalisation, une plante spécifique à chaque lignage paternel, cueillie en un lieu précis lié aux ancêtres. Les multiples interdits associés à l’usage de cette plante s’appliquent à la mère et à l’enfant. Le rituel garantit le bon développement de celui-ci, et le fait entrer dans une identité d’ancestralité Si les usages pédiatriques des tambavy sont connus, ce rituel n’a, semble-t-il, jamais été décrit auparavantLes travaux publiés sur la petite enfance à Madagascar sont encore rares ainsi que ceux sur les nosographies et traitements locaux des maladies Les études sur les plantes, plus nombreuses, sont principalement dues à des botanistes. Tous signalent le tambavy comme un soin répandu dans toutes les populations de l’île. Un article médical sur les tambavy administrés aux bébés en dénonce la dangerosité, due aux surdosagesÉcrit par des praticiens hospitaliers de la capitale, il montre que la pratique se maintient de nos jours, mais sans traduire une relation symbolique à la ligne d’ancestralitéOr le clan des Zanadroandrena, au sein duquel j’ai observé ce rituel, est originaire de la lisière orientale des Hautes Terres, et issu du plus ancien dème d’Imerina, les Zafimamy Aussi peut-on penser que le rituel décrit ici a existé dans l’ancienne société merina.On relève dans le village de Sarogoaika autant de traditions de tambavy que de lignages ou lignées localisées (teraka). C’est le doyen de chaque lignée qui « détient le tambavyLa connaissance des interdits qui entourent son application est transmise, comme un héritage, en ligne paternelle – les filles n’y sont pas initiées et ne le transmettent pas. Distinct des décoctions proprement thérapeutiques, le tambavy décrit ici montre comment se construit, dans les premiers mois de la vie, le lien entre le développement physique et spirituel de la personne, et son appartenance au flux de vie issu de ses ancêtres La décoction est administrée rituellement aussi bien à la mère qu’à l’enfant, en boisson et en application externe sur certaines parties du corps. Il est à noter que ces deux personnes, mère et enfant, sont des nouveaux venus dans le lignage du père : la mère y est entrée, en quelque sorte, par le mariage, l’enfant par sa naissance toute récente (moins de trois mois). Le traitement n’est pas une thérapeutique : il est censé assurer au bébé un développement harmonieux, en le protégeant des problèmes de développement, de croissance et de santé en général. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité V07/BON/SO Livre Erasme - secteur V les âges de la vie V07 - Naissance : psychologie et sciences humaines Disponible 8. Premiers pas dans le monde chez les Indiens Cris / Marie Roué
Permalink9. « La souillure des exocets s’envole à jamais ! ». Rites prophylactiques relatifs aux enfants yami. (Botel Tobago, Taïwan) / Véronique Arnaud
PermalinkL’accompagnement des mères et des enfants en centre de détention / Françoise Guinot in cahiers de la puéricultrice, 311 (Novembre 2017)
PermalinkAccompagner le bébé souffrant : tisser le lien parent-enfant / Bénédicte Colineau
PermalinkCombler une lacune dans les soins post-partum / Carolyn Crowley in Infirmière canadienne, vol.15, 8 (Décembre 2014)
PermalinkComment sont nourris nos bébés en 2013 ? / Secteur Français des Aliments de l'Enfance in Journal de pédiatrie et puériculture, vol.27, 1 (Février 2014)
PermalinkLa culture dans les interactions précoces / Interculturalité et soins en pédiatrie / Muriel Bossuroy in Soins Pédiatrie/Puériculture, 278 (Mai 2014)
PermalinkUn dossier médical électronique innovant pour les enfants suivis en PMI (Centres de protection maternelle et infantile) / Thierry Decor in cahiers de la puéricultrice, 311 (Novembre 2017)
PermalinkEtre parent à l'unité néonatale. : Tisser des liens pour la vie / Marie-Josée Martel
PermalinkLe hochet : un jouet multi-usage in Les dossiers de l'obstétrique, vol.43, 458 (Mai 2016)
PermalinkIntégrer la physiologie du nouveau-né dans l’apprentissage des soins / Elsa Lorphelin in cahiers de la puéricultrice, 302 (Décembre 2016)
PermalinkLe Ligueur et mon bébé [de l'accouchement à 3 ans] / Ligue des Familles
PermalinkMassage: bien dans sa peau de bébé / Sophie Robert in Le journal des professionnels de l'enfance, 108 (Septembre-octobre)
PermalinkLa méthode kangourou, ou le peau-à-peau / Mélissa Savaria in Perspective infirmière, vol. 14, 5 (novembre-décembre 2017)
PermalinkMettre en oeuvre le peau à peau en sécurité (2ème partie) / Laurence Girard in Les dossiers de l'obstétrique, vol.42, 446 (Mars 2015)
PermalinkNeonatologie ondergefinancierd [sous-financement de la néonatologie en Belgique] / L. Cornette in Hospitals.be, vol.11, 3 (Juillet 2013)
PermalinkLe nouveau-né et ses parents au coeur de l'Initiative hôpital ami des bébés / Kristina Löfgren in cahiers de la puéricultrice, 293 (Janvier 2016)
PermalinkPeau à peau : et vous, dans votre équipe, vous en êtes où? (1ère partie) / Laurence Girard in Les dossiers de l'obstétrique, vol.42, 445 (Février 2015)
PermalinkPérinatalité - Positionnement thérapeutique, modes de déplacement et modes de portage des bébés / Catherine Matte in Perspective infirmière, vol. 15, 1 (Janvier-février 2018)
PermalinkA "petits pas", un centre de consultation de PMI (Centres de protection maternelle et infantile) itinérant / Antonella Menuge in cahiers de la puéricultrice, 311 (Novembre 2017)
PermalinkLa ponction au talon / Emilie Courtois in cahiers de la puéricultrice, 297 (Mai 2016)
PermalinkLa pose de sonde duodénale chez le nourrisson / Corinne Deparis in cahiers de la puéricultrice, 311 (Novembre 2017)
PermalinkPRADO : où en est-on ? [dossier] / Nour Richard-Guerroudj in Profession sage-femme, 206 (Juin 2014)
PermalinkPrise en charge périnatale du streptocoque Beta-Hémolytique du groupe B : nouvelles recommandations / Emilie Nicolaï in Percentile, vol.18, 2 (Mai 2013)
PermalinkLe programme NIDCAP [Newborn Individuaalized Developmental Care and Assessment Program] : principes et théorie / J.B. Muller in Motricité cérébrale, vol.35, 1 (Mars 2014)
PermalinkPromouvoir la bientraitance périnatale en améliorant l’accueil du nouveau-né par des soins développementaux prophylactiques : le programme P.M.S.E. / Laurence Vaivre-Douret in La revue sage-femme, Vol. 17, 4 (Septembre 2018)
PermalinkLes soins du développement : Assurer la neuroprotection des nouveau-nés / Isabelle Milette
PermalinkSortie de maternité après accouchement et organisation du retour à domicile des mères et de leur nouveau-nés : recommandations pour la pratique clinique / Haute Autorité de Santé (HAS) in Profession sage-femme, 206 (Juin 2014)
PermalinkSoutenir la parentalité dès l’inscription à la maternité / Sandra Caserio in cahiers de la puéricultrice, 311 (Novembre 2017)
PermalinkLa tolérance du premier bain par le nouveau-né en suites de couches / D. Long in La revue sage-femme, vol.11, 6 (Décembre 2012)
PermalinkLa vitamine K à la naissance : en intramusculaire... Per Os... ou pas du tout ? / Myriam An-Naser
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