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Information médicale et malformations néonatales en Côte d’Ivoire / Berthe Evelyne Lasme-Guillao in Médecine palliative, vol.12, 5 (Octobre 2013)
[article]
in Médecine palliative > vol.12, 5 (Octobre 2013) . - 251-255
Titre : Information médicale et malformations néonatales en Côte d’Ivoire Type de document : article de périodique Auteurs : Berthe Evelyne Lasme-Guillao, Auteur Article en page(s) : 251-255 Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:deuil périnatal /Ethnologie
[Thésaurus Mesh]:A:Avortement spontané:Avortement spontané / ethnologie
[Thésaurus Mesh]:M:Mortinaissance:Mortinaissance / ethnologie
[Thésaurus Mesh]:P:Parturition:Parturition / ethnologie
[Thésaurus Mesh]:~termes non classés:Malformations /Nouveau-né
[Thésaurus Mesh]:~termes non classés:Mort foetale /Ethnologie
[Thésaurus Mesh]Côte d'Ivoire
[Thésaurus Mesh]Infanticide
[Thésaurus Mesh]Médecine traditionnelle africaineMots-clés : deuil périnatal /Ethnologie Résumé : Introduction Les malformations néonatales étaient très peu acceptées dans nos sociétés traditionnelles. L’infanticide était un rituel accepté et gardé secret par la communauté et la famille. Les nouveau-nés porteurs malformations, surtout les non viables ne sont pas montrés à leurs mères. Deux mères ont eu des attitudes différentes malgré un contexte culturel identique. L’une a réclamé des informations six mois après le décès et l’autre après avoir vu son bébé a disparu. Aujourd’hui, malgré les traditions, le droit à l’information est-il un droit à reconsidérer dans notre pratique ? Devons nous montrer à la mère son nouveau-né non viable porteur de malformations. Patients et méthodes Pour répondre à cette question, nous avons mené une enquête prospective sur le terrain du 1er au 16 juin 2012 à Abidjan en Côte d’Ivoire. Nous avons interrogé les femmes sur les marchés et quelques femmes cadres dans certaines grandes sociétés d’Abidjan. Résultats Trois cent quarante-sept femmes ont été interrogées. Les femmes interrogées voulaient que le bébé même non viable soit montré à la mère à 71 %. Les femmes les plus demandeuses avaient entre 20 et 40 ans. Conclusion Le besoin de voir le nouveau-né, non pris en compte par les praticiens, existe dans la population féminine malgré les traditions. Après un entretien en présence du mari et la famille, le choix des mères, s’il est exprimé, doit être respecté. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible