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Thésaurus Mesh
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Syndrome douloureux régional complexe
Conditions characterized by pain involving an extremity or other body region, HYPERESTHESIA, and localized autonomic dysfunction following injury to soft tissue or nerve. The pain is usually associated with ERYTHEMA; SKIN TEMPERATURE changes, abnormal sudomotor activity (i.e., changes in sweating due to altered sympathetic innervation) or edema. The degree of pain and other manifestations is out of proportion to that expected from the inciting event. Two subtypes of this condition have been described: type I; (REFLEX SYMPATHETIC DYSTROPHY) and type II; (CAUSALGIA). (From Pain 1995 Oct;63(1):127-33)
Synonyme(s)
SDRC; Syndrome de douleur régionale complexe; Syndrome douloureux régional complexe (SDRC )Relation(s)
- voir aussi au terme générique : [Descripteurs (mots clés)] Maladies du système nerveux autonome
- voir aussi au terme générique : [Descripteurs (mots clés)] Neuropathies périphériques
- voir aussi au terme spécifique : [Descripteurs (mots clés)] Causalgie
- voir aussi au terme spécifique : [Descripteurs (mots clés)] Dystrophie sympathique réflexe
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Actualisation des traitements de la douleur et de l’impotence fonctionnelle chez les patients présentant un syndrome douloureux régional complexe de type 1 (SCDR1) / Céline Fanelli
Titre : Actualisation des traitements de la douleur et de l’impotence fonctionnelle chez les patients présentant un syndrome douloureux régional complexe de type 1 (SCDR1) Type de document : TFE Auteurs : Céline Fanelli, Auteur ; Nathalie Denis, Promoteur Editeur : Bruxelles : Haute Ecole Libre de Bruxelles Ilya Prigogine Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:DOULEUR AIGUE
[Thésaurus HELB]:Paramédical:douleur chronique
[Thésaurus Mesh]Syndrome douloureux régional complexeRésumé : L’objectif de ce travail était d’actualiser les traitements non médicamenteux et non chirurgicaux chez l’adulte présentant un syndrome complexe régional de type1. Pour ce faire, une revue systématique a été réalisée et les études sélectionnées devaient être postérieures à 2009. La stratégie de recherche permit de sélectionner 8 articles présentant une bonne qualité méthodologique. Les études incorporées abordaient la PEPT, la thérapie miroir, l’imagerie motrice graduée, le TENS, le body swapping, la discrimination tactile et l’hypnose sous physiothérapie. Leur but commun était d’analyser l’impact des traitements sur la douleur et l’invalidité. Les résultats de la recherche montrent que la PEPT, la thérapie miroir et l’imagerie motrice graduée constituent des traitements efficaces pour traiter cette affection. L'absence de traitement de référence, ne permet pas de comparer de manière objective ces différentes thérapies en ce qui concerne leur efficacité. Tenant compte de la fréquence de la SDRC de type 1 à la suite d’un traumatisme, il est pertinent d'établir des projets de recherche avec pour objectif un traitement de référence pour la prise en charge de cette maladie. Par la suite, ce traitement pourrait servir d’étalon à l’égard des différentes approches de la maladie. D’une manière générale, il est indispensable de poursuivre des recherches quant à la physiopathologie de cette affection. C’est à partir du moment où les mécanismes impliqués seront mieux compris qu’il sera plus facile de proposer des traitements ciblés afin de réduire les effets de cette maladie très invalidante. Mots clefs : Treatment, Rehabilitation, Physiotherapy, Complex regional pain syndrome, CRPS type 1, mirror therapy , Motor imagery , sensory training , pain exposure therapy Type TFE : Bibliographique Domaine TFE : Master en Kinésithérapie Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité MLK/2019/FAN TFE Erasme - TFE Kinésithérapie En ligne (via portail HELB)
Exclu du prêtAltération des référentiels spatiaux dans le sdrc : nouveaux concepts et perspectives thérapeutiques / Elisa Dodane in Kinésithérapie scientifique, 649 (Janvier 2023)
[article]
in Kinésithérapie scientifique > 649 (Janvier 2023) . - p. 5-11
Titre : Altération des référentiels spatiaux dans le sdrc : nouveaux concepts et perspectives thérapeutiques Type de document : article de périodique Auteurs : Elisa Dodane ; Laure Christophe ; Dr;S. Jacquin-Courtois ; Yves Rossetti Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 5-11 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:syndrome douloureux chronique
[Thésaurus Mesh]Syndrome douloureux régional complexeMots-clés : Adaptation prismatique attention spatiale syndrome douloureux régional complexe Résumé : Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) est un bon
exemple de syndrome douloureux comprenant les différentes
composantes de la douleur, dont une composante centrale de
plus en plus étudiée. En effet, les perturbations de l’attention
spatiale dans le SDRC associent une hypo-attention aux stimuli
proprioceptifs et épicritiques et une hyperattention aux stimuli
douloureux.Par analogie avec l’héminégligence spatiale survenant après une lésion de l’hémisphère droit, une rééducation par adaptation prismatique visant à corriger ce trouble attentionnel spatial permet d’obtenir de très bons résultats sur le niveau douloureux et la fonction motrice.Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité KIN Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Eficacité thérapeutique de l'ajout de la stimulation transcrânienne par courant direct (TDCS) à l'imagerie motrice progressive (IMP) pour le traitement du syndrome douloureux régional complexe (SDRC) de type I / E. Lagueux
contenu dans Expériences en ergothérapie : trentième série / Marie-Hélène Izard
Titre : Eficacité thérapeutique de l'ajout de la stimulation transcrânienne par courant direct (TDCS) à l'imagerie motrice progressive (IMP) pour le traitement du syndrome douloureux régional complexe (SDRC) de type I Type de document : Chapitre d'ouvrage Auteurs : E. Lagueux, Auteur ; P. Bourgault, Auteur ; Y. Tousignant-Laflamme, Auteur Pages : P. 297-304 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:imagerie motrice
[Thésaurus Mesh]Gestion de la douleur
[Thésaurus Mesh]Stimulation transcrânienne par courant continu
[Thésaurus Mesh]Syndrome douloureux régional complexePermalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité C331/IZA/30-23 Livre Erasme - secteur C clinique C331 - Ergothérapie Disponible Kinésithérapie et syndrome douloureux régional complexe : quelle place est accordée à l’éducation thérapeutique ? / Anne Gleonec in Kinésithérapie : la revue, 245 (mai 2022)
[article]
in Kinésithérapie : la revue > 245 (mai 2022) . - p. 38-40
Titre : Kinésithérapie et syndrome douloureux régional complexe : quelle place est accordée à l’éducation thérapeutique ? Type de document : article de périodique Auteurs : Anne Gleonec ; Sessi Acapo Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 38-40 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:Douleurs
[Thésaurus Mesh]Syndrome douloureux régional complexeMots-clés : Syndrome douloureux régional complexe douleurs Résumé : Introduction
Anciennement connu sous le nom d’algoneurodystrophie, le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) est une pathologie caractérisée par une douleur régionale continue dont l’intensité et la durée sont disproportionnées par rapport à l’événement initial. La localisation de la douleur ne correspond ni à un territoire nerveux spécifique, ni à un dermatome ; elle s’accompagne de modifications anormales sur les plans sensoriel, moteur, sudomoteur, vasomoteur et trophique [1].
Si l’inflammation excessive et la sensibilisation centrale sont principalement mises en avant, les mécanismes physiopathologiques à l’origine du syndrome restent nombreux, complexes et varient d’un individu à un autre [2]. Bien que les avancées scientifiques soient conséquentes, la compréhension totale de ce syndrome reste incomplète [3] et il n’existe pas de traitement de référence [4].
Le traitement du SDRC peut donc relever du défi pour les professionnels de santé. Les niveaux de preuves de la littérature scientifique sont faibles ; la rareté de la pathologie et le peu de participants aux études ne permettent pas des puissances statistiques fortes [5]. Le manque d’homogénéité des critères diagnostiques utilisés s’ajoute au constat précédent. Bien que l’utilisation des Critères de Budapest soit validée et recommandée depuis 2010 [6], ils ne sont pas systématiquement utilisés pour effectuer le diagnostic du SDRC. Enfin, malgré la publication de recommandations internationales qui préconisent leur utilisation [7], seules de rares études s’intéressent à leur application dans la pratique.
Des recherches approfondies à propos du SDRC ont soulevé la question du manque de connaissances scientifiques précises sur cette pathologie et du manque d’études sur la réalité des pratiques rééducatives en France. Ces éléments, associés à l’intérêt de l’éducation à la santé des patients, ont mené à la construction de ce travail d’initiation à la recherche qui porte sur la kinésithérapique du SDRC et la place de l’éducation thérapeutique au sein de celle-ci.
Cette étude avait pour but de réaliser un état des lieux des pratiques rééducatives en France et de questionner la place accordée à l’éducation thérapeutique dans le traitement du SDRC. Elle cherchait à identifier les moyens rééducatifs utilisés, mettre en évidence les difficultés, étudier le suivi des recommandations, identifier les moyens utilisés pour l’éducation thérapeutique des patients ainsi qu’à mettre en évidence les éléments facilitateurs et difficultés rencontrées lors de la pratique de cette dernière.
L’utilisation d’une méthode quantitative et d’un questionnaire était justifiée par la taille de la population-cible, ainsi que par la volonté d’expliquer et de mesurer le traitement du SDRC.
Méthode
Un questionnaire de 26 items a été réalisé et diffusé en ligne du 3 octobre au 24 novembre 2020, via le réseau social Facebook et le réseau de diffusion de l’Union Régionale des Professionnels de Santé libéraux (URPS) de Bretagne. Les critères d’inclusion étaient : être âgé d’au moins 18 ans ; exercer en tant que masseur-kinésithérapeute sur le territoire français (France métropolitaine ou DOM-TOM) ; traiter ou avoir traité au moins un patient atteint de SDRC.
Les outils Google Forms, Microsoft Excel et Jamovi ont été utilisés pour la construction, la diffusion et l’analyse du questionnaire. Ce dernier respectait les principes inhérents aux textes de la Loi Informatique et liberté, du Règlement général sur la protection des données (RGPD), du Code de Déontologie du kinésithérapeute et du Code de la Santé publique. Sa diffusion respectait également la procédure de validation et de déploiement en vigueur à l’IFMK de Rennes, ainsi que les principes d’anonymisation des données et de non-jugement de valeur.
Résultats
Sur les 70 réponses reçues, 66 étaient exploitables. L’échantillon se composait de 51,5 % d’hommes et de 48,5 % de femmes. L’âge médian était de 31 ans et la tranche d’âge la plus représentée celle des 25–34 ans (39 %). Les répondants ont indiqué exercer depuis 0 à 38 ans, la tranche la plus représentée était celle des praticiens qui exerçaient depuis 0 à 5 ans (51 %) ; 83 % exerçaient en milieu libéral, 9 % en centre de rééducation, 5 % en hôpital et 3 % en exercice mixte.
Parmi les répondants au bénéfice d’une formation complémentaire, 34 % indiquaient l’être au traitement de la douleur. Si 74 % des répondants indiquaient utiliser les signes cliniques pour établir le diagnostic, seuls 11 % utilisaient les Critères de Budapest .
Parmi les répondants, 27 % utilisaient des traitements passifs dont 53 % de traitements antalgiques (TENS, massage), 24 % utilisaient des traitements conventionnels (rééducation fonctionnelle, reconditionnement physique, proprioception) et 21 % des interventions éducatives (éducation du patient à sa pathologie, éducation aux neurosciences de la douleur) ; 85 % suggéraient un accompagnement psychologique et 15 % redirigeaient les patients vers des psychologues ; 89 % indiquaient toutefois rencontrer des difficultés et l’obstacle principal identifié était le patient (59 %) ; 77 % considéraient l’éducation thérapeutique comme primordiale dans le traitement, même si 70 % d’entre eux lui consacraient moins de 2heures au total.
Discussion
Ce travail présente des biais de diffusion, de représentativité et de recrutement. L’échantillon n’a pas été déterminé pour être représentatif de la population générale des masseurs-kinésithérapeutes, aussi les résultats ne peuvent être extrapolés.
L’analyse statistique des résultats montre que la formation des kinésithérapeutes, leur implication dans la recherche en lien avec le SDRC et une faible expérience de la pathologie influencent l’utilisation des Critères de Budapest , ainsi que le recours à d’autres thérapeutes en cas de difficultés.
Pour ce qui est de l’état des lieux des pratiques, aucun groupe de praticiens experts de la pathologie n’a été identifié. La majorité des répondants ont une faible expérience du SDRC et le traitent dans les 6 mois suivant les premiers symptômes. Pour l’établissement du diagnostic, peu d’entre eux utilisent formellement les Critères de Budapest , comme cela a déjà été mentionné dans d’autres études [8]. Ce constat pose la question de la nécessité de former davantage les professionnels et celle de savoir si ces derniers seraient prêts à effectuer de telles formations, compte tenu de la faible incidence du SDRC.
D’autre part, la connaissance des recommandations incite à utiliser davantage de traitements à visée éducative et conventionnelles. Si la non-connaissance des recommandations ne semble pas nuire au traitement, celles-ci sont toutefois nécessaires puisqu’elles précisent les plans de traitement et participent ainsi à l’amélioration de la qualité de vie des patients. Cette dernière semble pouvoir également être favorisée par la prise en compte de l’aspect psychosocial de la douleur et son intégration dans le traitement, comme cela est relevé dans cette étude. De même que l’importance accordée à l’éducation thérapeutique par la majorité des praticiens (80 %). Son intégration reste toutefois difficile et la non-adhésion des patients aux séances est l’obstacle principal rapporté.
Ce travail souligne deux versants du traitement : la littérature scientifique à propos du SDRC ainsi que l’aspect technique du traitement et l’expérience des praticiens. Or, si l’on souhaite inscrire ce travail dans une démarche factuelle, il manque le point de vue des patients ainsi que la prise en compte de leurs attentes et de leurs besoins. Des études portent sur les croyances [9] des patients atteints de SDRC et sur leurs besoins [10]. Il en ressort que la plupart d’entre eux rencontrent des professionnels de santé pas assez informés sur le SDRC. Ils expriment aussi une souffrance liée au manque de consensus entre les thérapeutes. Les principaux besoins identifiés par les patients sont l’information et l’éducation à la pathologie afin de pouvoir la vivre de façon autonome.
Ces constats font écho aux difficultés relevées dans cette étude. Ils soulignent l’existence d’un lien clair entre les expériences et besoins exprimés des patients et les difficultés que rencontrent les thérapeutes.Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité KIN Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible [Non consultable] Syndrome Douloureux Régional Complexe et rééducation par Imagerie Motrice Progressive : les intérêts de l’Imagerie Motrice Progressive pour les patients atteints du Syndrome Douloureux Régional Complexe: revue de littérature / Coline Beaufils
Titre : [Non consultable] Syndrome Douloureux Régional Complexe et rééducation par Imagerie Motrice Progressive : les intérêts de l’Imagerie Motrice Progressive pour les patients atteints du Syndrome Douloureux Régional Complexe: revue de littérature Type de document : TFE Auteurs : Coline Beaufils, Auteur Editeur : Bruxelles : Haute Ecole Libre de Bruxelles Ilya Prigogine Année de publication : 2017 Pages : 66 p. Note générale : Bibliogr.-
Annexes.-Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:algodystrophie
[Thésaurus HELB]:Paramédical:douleur neuropathique
[Thésaurus HELB]:Paramédical:imagerie motrice
[Thésaurus Mesh]Causalgie
[Thésaurus Mesh]Syndrome douloureux régional complexeRésumé : introduction : le Syndrome Douloureux Régional Complexe est un syndrome de douleurs chroniques caractérisé principalement par des douleurs invalidantes, un oedème, des anomalies sudo-motrices et une perturbation des capacités fonctionnelles. La prise en charge pour ces patients est controversée et aucune preuve ne va en faveur d’une thérapie plutôt qu’une autre. L’Imagerie Motrice Progressive (GMI), technique de rééducation qui cible la représentation corticale du membre affecté, est une thérapie prometteuse pour le traitement du CRPS. L’objectif de notre recherche bibliographique est de recenser, au sein de la littérature scientifique, toutes les études s’intéressant aux effets que peut avoir la GMI sur une population présentant un CRPS. Méthodologie : pour cela, des recherches de 2002 à aujourd’hui ont été conduites dans six bases de données. La grille de lecture de la HAS a été utilisée pour mesurer la qualité méthodologique de nos études. Au total, six articles, dont trois RCT, ont été retenus, après avoir satisfaits les critères d’éligibilité définis. Le niveau de qualité méthodologique de nos six articles est globalement bas. Résultats : des effets positifs de la GMI ont été observés chez les patients atteints d’un CRPS de type I. La douleur et la fonction sont les deux variables les plus fréquemment étudiées et les études ont montré en général une amélioration de ces variables. En revanche, aucune preuve n’a été apportée pour soutenir l’efficacité du traitement sur les patients présentant un CRPS de type II. Une étude a reporté un effet négatif de la GMI sur notre population. Conclusion : notre recherche suggère que la thérapie par GMI peut être efficace sur une population présentant un CRPS de type I. Cependant, les faibles niveaux de preuve caractérisant nos études et les nombreux biais apparaissant affaiblissent le poids des preuves quant à l’efficacité du traitement. D’autres études plus rigoureuses et méthodologiquement plus qualifiées sont nécessaires. Type TFE : Bibliographique Domaine TFE : Baccalauréat en Ergothérapie Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité BER/2017/Beaufils TFE Erasme - TFE Archives TFE Non consultable
Exclu du prêtLa place de l'ergothérapie dans la stratégie de rééduccation du syndrome douloureux régional complexe : étude comparative de 60 cas / L. Rome
PermalinkRééducation par imagerie motrice suite à la réorganisation corticale post-traumatique / François Delaquaize
PermalinkSyndrome douloureux régional complexe / Anne Béra Louville
PermalinkSyndrome douloureux régional complexe (SDRC) : quelles recommandations / B. Veys in Douleurs, vol. 19, hors série 1 (Juillet 2018)
PermalinkLes syndromes douloureux régionaux complexes (SDRC) de type I et II / B Vincent in Douleurs, vol.9, 1 (Février 2008)
PermalinkLa thérapie miroir : place dans la prise en charge du Syndrome Douloureux Régional Complexe (SDRC) / Calogera Dovico in Douleurs, vol. 20, 4 (Septembre 2019)
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