Titre : | Le conte en ergothérapie : un atelier pour accompagner les patients alcoolodépendants dans le travail de l'estime de soi | Type de document : | TFE | Auteurs : | Mégane Pringarbe, Promoteur ; Sarah Deraed, Promoteur | Editeur : | Bruxelles : Haute Ecole Libre de Bruxelles Ilya Prigogine | Année de publication : | 2016 | Pages : | 79 p. | Note générale : | Annexes.-
Bibliogr.- | Langues : | Français (fre) | Descripteurs (mots clés) : | [Thésaurus HELB]:Paramédical:contes [Thésaurus Mesh]Alcoolisme [Thésaurus Mesh]Concept du soi [Thésaurus Mesh]Métaphore
| Résumé : | Introduction : La plupart des alcooliques chroniques présentent une basse estime de soi (Sawrie S. M., 1996). Il a été mis en évidence qu’en s’identifiant à un personnage, l’enfant peut modifier son auto-jugement de façon positive. Le conte favoriserait donc le développement de l’estime de soi chez l’enfant (Robergeblanchet S., 2004). Or, cet outil n’a pas encore été utilisé avec des adultes, ni dans le traitement de l’alcoolisme. Nous nous intéresserons donc principalement à la métaphore dans le conte car l’efficacité de cette méthode a été démontrée dans le livre « Langages métaphoriques dans la rencontre et en thérapie ». Dans leur livre nous pouvons lire que l’utilité de la métaphore et du conte, comme médiateur de la rencontre, renforce la création d’un espace de confiance. Celui-ci sera propice au changement et à la résolution des difficultés psychiques et relationnelles du patient. Cette démarche vise à approfondir la connaissance que le patient a de lui-même (Labaki C. ; Duc-Marwood A., 2012).
Méthodologie : Pour ce faire, nous nous sommes basés principalement sur le travail de Germain Duclos, Christophe André et François Lelord pour la théorie sur l’estime de soi. Sur les travaux de Lise Bourbeau pour l’identification des blessures, Camille Labaki et Alessandra Duc Marwood pour le travail autour de la métaphore et enfin Csilla Kemenczei pour le choix des contes.
Résultats : Les résultats ont révélé deux choses différentes. Selon les résultats cliniques, tous les patients pensent que leur estime de soi a augmentée. Par contre l’analyse des résultats de l’échelle de Rosenberg nous montre que l’estime de soi de la moitié des patients a augmentée.
Discussion : Suite à la discussion, nous en sommes venus à la conclusion qu’il faudrait faire le travail à plus grande échelle pour obtenir une réponse concluante. | Domaine TFE : | Baccalauréat en Ergothérapie | Permalink : | https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= |
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