. - p. 652-661
Titre : | Activité de recherche clinique académique des investigateurs du réseau des Groupes coopérateurs en oncologie (GCO) : bilan et perspectives |
Type de document : | article de périodique |
Auteurs : | Claire Dubois ; Franck Morin ; Denis Moro-Sibilot ; Alexandra Langlais |
Année de publication : | 2017 |
Article en page(s) : | p. 652-661 |
Note générale : | https://doi.org/10.1016/j.bulcan.2017.05.006 |
Langues : | Français (fre) |
Descripteurs (mots clés) : | [Thésaurus Mesh]Communication interdisciplinaire [Thésaurus Mesh]Oncologie médicale [Thésaurus Mesh]Personnel de recherche [Thésaurus Mesh]Recherche biomédicale [Thésaurus Mesh]Relations interprofessionnelles [Thésaurus Mesh]Tumeurs [Thésaurus HELB]:Paramédical:Plan Cancer / France
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Mots-clés : | Recherche biomédicale Oncologie médicale Tumeurs Relations interprofessionnelles Communication interdisciplinaire Plan Cancer / France Personnel de recherche |
Résumé : | Introduction
Le Plan Cancer 2014–2019 insiste sur l'importance de la collaboration entre tous les acteurs de la recherche clinique dans la lutte contre le cancer, dont les intergroupes et groupes coopérateurs. Cette enquête avait pour objectif de définir le profil des investigateurs du réseau des Groupes coopérateurs en oncologie et d'identifier certains facteurs qui pouvaient faciliter ou freiner leur activité de recherche clinique.
Méthodes
Un questionnaire a été envoyé à tous les investigateurs ayant participé en 2014 à une étude promue par l'un des 10 membres du réseau des Groupes coopérateurs en oncologie. Il portait sur leur profil, et leur activité de recherche ainsi que sur la structuration de la recherche clinique au sein de leur établissement.
Résultats
D'après les résultats des 366 médecins répondants, les études des Groupes coopérateurs en oncologie ont représenté une part importante de l'activité de recherche clinique des investigateurs en France en 2014. Ces groupes participent à l'ouverture de centres dans toutes les régions françaises. Une forte activité de recherche clinique des médecins (inclusions de patients > 10) est fortement associée au nombre d'attachés de recherche clinique ou de techniciens d'études cliniques (plus de 2 équivalents temps plein (ETP), OR = 11,16 [3,82–32,6] comparé à 0 ETP) ainsi qu'à l'exercice de cette activité dans un centre hospitalier universitaire par rapport à un centre hospitalier (OR = 2,15 [1,20–3,83]).
Conclusion
Cette enquête a permis d'identifier des éléments susceptibles de renforcer l'activité de recherche clinique des investigateurs afin de permettre ainsi à un nombre croissant de patients de bénéficier de l'innovation thérapeutique. |
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