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Titre : | Détection précoce de la schizophrénie, pourquoi et à qui s’adresser ? : repérer et adresser au plus vite les patients à « haut risque » |
Type de document : | article de périodique |
Auteurs : | Anaïs Vandevelde ; Sonia Dollfus |
Année de publication : | 2021 |
Article en page(s) : | p. 36-44 |
Langues : | Français (fre) |
Descripteurs (mots clés) : | [Thésaurus Mesh]Diagnostic précoce [Thésaurus Mesh]Schizophrénie [Thésaurus Mesh]Signes et symptômes
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Résumé : | La schizophrénie survient généralement vers la fin de l’adolescence ou au début de l’âge adulte, mais est souvent précédée d’une phase prodromique ou « état mental à risque » où se manifestent les premiers symptômes de la maladie. La détection précoce des premiers symptômes et l’intervention spécialisée débutent dès cette phase de prodromes. L’intervention à ce stade a pour objectif d’infléchir la trajectoire de la maladie et de limiter le risque de faire un premier épisode psychotique. Pour les patients qui font un tel épisode, un traitement antipsychotique doit être instauré sans délai. Le retard à l’instauration du traitement antipsychotique et à l’adressage des patients en psychiatrie impacte négativement leur pronostic à court, moyen et long terme : symptômes plus graves, moins bonne réponse au traitement et moins bon fonctionnement global. L’adressage rapide passe par une détection précoce qui implique en première ligne les médecins généralistes, qui sont souvent sollicités en première intention par les patients et leur famille. |
Note de contenu : | Cet article fait partie du dossier « Schizophrénies » |
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