[article] in Revue médicale de Bruxelles > vol.34, 4 (Septembre 2013) . - 232-235 Titre : | Cystalgies non infectieuses | Type de document : | article de périodique | Auteurs : | V. Blaze, Auteur | Article en page(s) : | 232-235 | Descripteurs (mots clés) : | [Thésaurus Mesh]Douleur [Thésaurus Mesh]Névralgie [Thésaurus Mesh]Vessie urinaire
| Résumé : | La trophicité des tissus urogénitaux chez la femme est dépendante de l’imprégnation hormonale et de la qualité de la flore vaginale. Certaines agressions banales, au niveau de ces muqueuses, engendrent des plaintes d’inconfort périnéal ressenti de manière disproportionnée par rapport à la bénignité des causes. La population occidentale actuelle a un accès à des soins de santé et à des conditions d’hygiène d’une qualité sans précédent. Pourtant, les dépenses engagées pour traiter des troubles aussi bénins sont injustifiées. La cystalgie est à l’origine d’un nombre important de consultations chez le médecin généraliste, le gynécologue et l’urologue. Une autre observation est liée à la démographie vieillissante de nos sociétés. L’espérance de vie pour une femme était de 51 ans au 19e siècle, elle est de 83 ans aujourd’hui. Une femme vivra désormais un tiers de sa vie dans un état de ménopause1. Les plaintes liées à cette privation hormonale doivent être prises en compte, car elles vont de pair avec des comportements psychologiques spécifiques, qui peuvent être déroutants pour le clinicien. Les patientes rechercheront, par tous les moyens, à obtenir des traitements souvent inadaptés et parfois responsables du passage à la chronicité des douleurs | Permalink : | https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= |
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