Titre : | Influence de la fréquence de pédalage sur le métabolisme énergétique chez des sujets sédentaires et cyclistes | Type de document : | TFE | Auteurs : | F. Daydé, Auteur ; José-Gabriel Guerrero, Promoteur ; Serge Clément, Promoteur | Année de publication : | 2014 | Résumé : | Quelle est l’influence de la fréquence de pédalage sur le métabolisme énergétique ? Méthodologie : Dans ce TFE, je me suis demandé si le changement de la fréquence de pédalage influence le métabolisme énergétique en utilisant la méthode par calorimétrie indirecte et une population de sujets sains cyclistes et sédentaires. Le protocole utilisé permet de tester 3 cadences de pédalage à une puissance donnée. La puissance étant la résiduelle du produit de la force par la vitesse, le fait de fixer la puissance, oblige le sujet à modifier un des deux paramètres : forces ou vitesse. Résultats : Les résultats de ce travail montrent une augmentation significative de la consommation en oxygène, en dioxyde de carbone et de la fréquence cardiaque chez les cyclistes lors de l’élévation de la cadence. Les résultats intrinsèques du groupe sédentaire montrent une différence significative de la consommation en O2 et CO2 entre les cadences hautes et basses. Enfin, l’étude des deux groupes nous montre une différence significative concernant la FC, l’échelle de Borg à cadence basse et le QR qui sous-entend une efficacité plus élevé du groupe cycliste dans la performance physique. Conclusions : Il a été difficile de prouver quelle fréquence de pédalage est le plus bénéfique. Il va alors pour chaque individus de trouver son juste milieu, entre performance, rendement et sensation de course. Néanmoins, il n’existerait pas une fréquence optimale mais des fréquences optimales pour contrer un type de contrainte spécifique. (Grappe 2000) Autrement dit, pour contrer une résistance, il faut adapter notre cadence pour pouvoir tirer le maximum de nos capacités physiques. On peut dire qu’il y a une plage optimale des fréquences de pédalage entre deux limites. La limite basse est constituée par les contraintes périphériques, notamment musculaires, et se situe aux alentours de 40 à 60 tours de pédalier par minute. La limite haute est imposée par la sollicitation cardio-respiratoire et par la difficulté d’une bonne coordination motrice. Selon les cyclistes, elle se situe vers 80 à 100 tours de pédalier par minute. Mots-clés : cadence de pédalage, métabolisme énergétique, cycliste, sédentaire | Promoteur : | Clément, S/GUERRERO, J | Domaine TFE : | Master en Kinésithérapie | Permalink : | https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= |
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