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Auteur Jaafar Bennouna
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheCancer colorectal métastatique : place du traitement d'entretien et de la pause thérapeutique / Pascal Artru in Bulletin du cancer, vol. 105, 4 (Avril-juin 2018)
[article]
in Bulletin du cancer > vol. 105, 4 (Avril-juin 2018) . - p. 408-414
Titre : Cancer colorectal métastatique : place du traitement d'entretien et de la pause thérapeutique Type de document : article de périodique Auteurs : Pascal Artru ; Jaafar Bennouna ; Gérard Lledo Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 408-414 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.bulcan.2017.12.010 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:chimiothérapie anticancéreuse
[Thésaurus Mesh]:T:Tumeurs colorectales:Tumeurs colorectales / secondaire
[Thésaurus Mesh]Chimiothérapie d'induction
[Thésaurus Mesh]Chimiothérapie de maintenance
[Thésaurus Mesh]Protocoles de polychimiothérapie antinéoplasiqueMots-clés : Tumeurs colorectales / secondaire Protocoles de polychimiothérapie antinéoplasique Chimiothérapie de maintenance Chimiothérapie d'induction stop-and-go pause thérapeutique chimiothérapie anticancéreuse Résumé : L'allongement des durées de survie dans le traitement du cancer colorectal métastatique impose des stratégies thérapeutiques comprenant des périodes de traitement d'entretien, voire des pauses thérapeutiques complètes. Plusieurs essais randomisés ont évalué ces stratégies, essentiellement dans le cas de chimiothérapie d'induction basées sur une association 5FU-oxaliplatine et ont permis d'imposer le « stop-and-go » comme un standard. Un traitement d'entretien peut succéder à une chimiothérapie d'induction plus agressive de 3 à 6 mois. Ce traitement d'entretien idéal reste à définir mais une association 5FU-bevacizumab semble un standard possible. La place des anticorps anti-EGFR reste à évaluer car aucun essai de phase III ne les évalue dans cette situation. Les pauses complètes sont à réserver aux patients très bons répondeurs aux traitements d'induction et ne peuvent être planifiées de façon prédéterminée. Une durée préalable à toute pause de 4 à 6 mois de chimiothérapie paraît souhaitable. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité BUL Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Essais de phase précoce à l’Institut de cancérologie de l’Ouest : réponse au traitement et validation de scores pronostiques / Charlotte Greilsamer in Bulletin du cancer, vol. 105, 10 (Octobre 2018)
[article]
in Bulletin du cancer > vol. 105, 10 (Octobre 2018) . - p. 896-906
Titre : Essais de phase précoce à l’Institut de cancérologie de l’Ouest : réponse au traitement et validation de scores pronostiques Type de document : article de périodique Auteurs : Charlotte Greilsamer ; Loïc Campion ; Mathilde Cabart ; Carole Gourmelon ; Hélène Senellart ; Jaafar Bennouna Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 896-906 Note générale : Doi : 10.1016/j.bulcan.2018.05.016 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]:A:Antinéoplasiques:Antinéoplasiques / usage thérapeutique
[Thésaurus Mesh]:T:Tumeurs:Tumeurs / traitement médicamenteux
[Thésaurus Mesh]Essais cliniques de phase I comme sujet
[Thésaurus Mesh]Essais cliniques de phase II comme sujet
[Thésaurus Mesh]Oncologie médicale
[Thésaurus Mesh]Sélection de patients
[Thésaurus HELB]:Paramédical:essai thérapeutique de phase précoceMots-clés : Essais cliniques de phase I comme sujet Essais cliniques de phase II comme sujet Sélection de patients Oncologie médicale Antinéoplasiques / usage thérapeutique score PRONOPALL Score Royal Marsden Hospital essai thérapeutique de phase précoce Tumeurs / traitement médicamenteux Résumé : Introduction
Les essais thérapeutiques de phase précoce en oncologie sont proposés à un nombre croissant de patients. L’objectif de cette étude est d’évaluer rétrospectivement la réponse au traitement et la survie des patients inclus dans un essai de phase précoce à l’Institut de cancérologie de l’Ouest (ICO), ainsi que l’intérêt des scores pronostiques Royal Marsden Hospital (RMH) et PRONOPALL.
Patients et méthodes
L’ensemble des patients avec un cancer pré-inclus ou inclus pour un essai de phase précoce à l’ICO entre janvier 2012 et décembre 2015 ont été répertoriés.
Résultats
Parmi les 1312 patients pré-inclus, 710 ont été inclus dans 115 essais (34 de phase 1). L’absence d’anomalie moléculaire était la principale cause d’échec d’inclusion (49,5 %). Le taux de contrôle de la maladie était de 90,9 %, la survie globale de 14,7 mois (IC95 % 12,7 à 16,4) et la survie sans progression de 5,7 mois (IC95 % 5,5 à 6,6). La médiane de survie globale était meilleure pour les patients de bon pronostic selon les scores Royal Marsden Hospital (16,6 mois versus 6 mois, p=0,0011) et PRONOPALL (15,6 mois versus 4,6 mois, p<0,001).
Discussion
Nos résultats sont meilleurs que dans la littérature, grâce à la proportion importante de traitements de première ligne et à la prise en compte des essais de phase II. Les patients avec un cancer pulmonaire tiraient particulièrement bénéfice de ces traitements, en partie du fait de l’immunothérapie. Le score Royal Marsden Hospital peut permettre de guider la décision d’inclusion dans les essais de phase précoce, contrairement au score PRONOPALL.Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité B Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Mécanismes physiopathologiques des effets secondaires des immunothérapies par anticorps anti-CTLA-4, anti-PD-1 et anti-PD-L1 dans le traitement du cancer / Tilda Passat in Bulletin du cancer, vol. 105, 11 (Novembre 2018)
[article]
in Bulletin du cancer > vol. 105, 11 (Novembre 2018) . - p. 1033-1041
Titre : Mécanismes physiopathologiques des effets secondaires des immunothérapies par anticorps anti-CTLA-4, anti-PD-1 et anti-PD-L1 dans le traitement du cancer Type de document : article de périodique Auteurs : Tilda Passat ; Yann Touchefeu ; Nadine Gervois ; Anne Jarry ; Céline Bossard ; Jaafar Bennouna Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 1033-1041 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.bulcan.2018.07.005 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:Ipilimumab
[Thésaurus HELB]:Paramédical:Physiopathologie
[Thésaurus Mesh]:A:Antigène CD274:Antigène CD274 / antagonistes et inhibiteurs
[Thésaurus Mesh]:A:Antigène CTLA-4:Antigène CTLA-4 / antagonistes et inhibiteurs
[Thésaurus Mesh]:E:Effets secondaires indésirables des médicaments:Effets secondaires indésirables des médicaments / physiopathologie
[Thésaurus Mesh]:I:Immunothérapie:Immunothérapie / effets indésirables
[Thésaurus Mesh]:R:Récepteur-1 de mort cellulaire programmée:Récepteur-1 de mort cellulaire programmée / antagonistes et inhibiteursMots-clés : Immunothérapie / effets indésirables Effets secondaires indésirables des médicaments Physiopathologie Effets secondaires indésirables des médicaments / physiopathologie Ipilimumab Récepteur-1 de mort cellulaire programmée/antagonistes et inhibiteurs antigène CTLA-4/antagonistes et inhibiteurs antigène CD274/antagonistes et inhibiteurs effets secondaires on-target toxicité off-target Résumé : Ces dernières années ont vu l’essor de nouvelles immunothérapies anticancéreuses, notamment les inhibiteurs de check-points immunitaires (ICPI) visant à lever l’inactivation des lymphocytes T médiée par les récepteurs inhibiteurs CTLA-4, PD-1 et son ligand majoritaire PD-L1. Ces traitements sont associés à des effets secondaires immuns atteignant principalement la peau, le système digestif, les poumons et le système endocrine. Cette revue résume les principales hypothèses physiopathologiques de ces toxicités. La levée d’inhibition des lymphocytes T induite par les ICPI génère une réponse effectrice spécifique des antigènes de tumeur, responsable de l’activité antitumorale, mais également spécifique de ces antigènes présents dans les tissus non tumoraux à l’origine d’effets secondaires dits « on-target ». De plus, la lyse cellulaire médiée par les lymphocytes T CD8+ cytotoxiques dans la tumeur et dans les tissus sains libère des néo-antigènes, antigènes de tumeur et auto-antigènes respectivement. Ce phénomène dit d’« epitope spreading » conduit à une diversification du répertoire des lymphocytes T et à une diminution de la tolérance immunitaire périphérique accentuée par l’inhibition des lymphocytes T régulateurs. D’autre part, l’activation prédominante des lymphocytes T de type Th1 et Th17 induite par les ICPI génère la production de cytokines pro-inflammatoires, l’interféron γ et l’interleukine-17. Ces deux mécanismes génèrent une toxicité dite « off-target ». Le rôle de la cross-réactivité, de l’hypersensibilité et de PD-L2 restent à préciser. Une meilleure connaissance de ces mécanismes permettra d’améliorer la prise en charge des patients et de mieux identifier les populations à risque de toxicités sévères sous ICPI. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité B Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible