[article] in La revue du praticien > Vol. 68, 10 (décembre 2018) . - p. 1119-1123 Titre : | Diagnostic des tumeurs hépatiques bénignes : en présence d'un adénome, biopsier pour connaitre le sous-type de la tumeur, car certains sont à risque de complications. | Type de document : | article de périodique | Auteurs : | Lorraine Blaise, 1 ; Olivier Sutter, 2 ; Marianne Ziol, 3 ; Jean-Charles Nault, 4 | Année de publication : | 2018 | Article en page(s) : | p. 1119-1123 | Langues : | Français (fre) | Descripteurs (mots clés) : | [Thésaurus Mesh]:A:Adénome hépatocellulaire:Adénome hépatocellulaire / diagnostic [Thésaurus Mesh]:H:Hyperplasie focale nodulaire:Hyperplasie focale nodulaire / diagnostic [Thésaurus Mesh]:T:Tumeurs du foie:Tumeurs du foie / anatomopathologie [Thésaurus Mesh]Biopsie [Thésaurus Mesh]Foie [Thésaurus Mesh]Hémangiome [Thésaurus Mesh]Santé des femmes [Thésaurus HELB]:Paramédical:hémangiome hépatique
| Mots-clés : | Adénome hépatocellulaire / diagnostic Hémangiome Foie Hyperplasie focale nodulaire / diagnostic Tumeurs du foie / anatomopathologie Santé des femmes Biopsie hémangiome hépatique | Résumé : | Les tumeurs bénignes hépatiques sont des lésions rares, touchant une population souvent féminine et jeune. L'hémangiome hépatique et l'hyperplasie nodulaire focale ne se compliquent pas et ne sont pas hormonodépendants. Il ne faut ni les surveiller ni les traiter. Le diagnostic est souvent fait en imagerie (imagerie par résonance magnétique [IRM] hépatique avec injection) mais en cas de doute diagnostique ou en cas d'hépatopathie sous-jacente, il faut recourir à un avis spécialisé pour discuter la réalisation d'une biopsie hépatique. Les adénomes hépatocellulaires sont des tumeurs estrogéno-dépendantes et incluent six sous-types différents. L'IRM est l'examen de référence, mais le recours à l'examen histologique est souvent nécessaire afin de confirmer le diagnostic et de guider la prise en charge thérapeutique. La prise en charge des adénomes hépatocellulaires doit se faire en milieu spécialisé, mais dans tous les cas les estroprogestatifs doivent être arrêtés. Les adénomes survenant chez un homme, de taille supérieure à 5 cm ou dont l'histologie trouve une mutation pour la B-caténine sur l'exon 3, doivent être réséqués car il existe un risque de transformation maligne. | Affiliation auteur(s) : | 5- Unité de formation et de recherche santé, médecine et biologie humaine, université Paris-13, communauté d'universités et établissements Sorbonne-Paris-Cité, Paris, France./4- Unité mixte de recherche 1 162. Génomique fonctionnelle des tumeurs solides. Institut national de la santé et de la recherche médicale, Paris, France./2- Service de radiologie, Hôpital Jean-Verdier, Hôpitaux universitaires Paris-Seine-Saint-Denis, Assistance publique-Hôpitaux de Paris, Bondy, France./1- Service d'hépatologie, Hôpital Jean-Verdier, Hôpitaux universitaires Paris-Seine-Saint-Denis, Assistance publique-Hôpitaux de Paris, Bondy, France. | Permalink : | https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= |
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