Résumé : | Introduction
Les patientes atteintes d’un cancer du col de l’utérus au début de la période de diagnostic (0–3 mois) font souvent preuve de déni, ce qui les rend moins coopératives avec le plan de traitement.
Objectif
Cette étude vise à identifier la réponse d’acceptation dont le cancer du col de l’utérus a été diagnostiqué.
Méthode Cette étude est une recherche qualitative avec une approche phénoménologique. L’échantillonnage a été réalisé par échantillonnage intentionnel avec un échantillon de 12 participantes. Les données ont été recueillies au moyen d’entretiens approfondis semi-structurés. L’analyse thématique a été réalisée par étapes de Collaizi.
Résultat
Les thèmes qui ont émergé ont été formulés sur la base des réponses des participants aux questions d’entretien et des notes de terrain pendant le processus d’entretien. Cette recherche produit 7 (sept) thèmes : responsabilité, efforts pour obtenir un traitement, soutien, source d’information, engagement, obstacles et espoir.
Conclusion
La stabilité émotionnelle des patientes atteintes d’un cancer du col de l’utérus a été fluctuante et le sentiment de perte s’est manifesté à plusieurs reprises, même après avoir atteint l’état d’acceptation. Un bon auto-ajustement améliore l’acceptation de la maladie par la personne interrogée et lui apporte un nouvel espoir pour sa vie, de sorte que les patientes atteintes d’un cancer du col de l’utérus ont une attente positive dans sa vie. Le rôle des travailleurs de la santé est important dans l’adaptation des patientes atteintes d’un cancer du col de l’utérus diagnostiqué à un stade précoce, en leur fournissant des services d’éducation sanitaire et de consultation liés à l’état de la maladie. |