Titre : | Paths of Glory | Titre original : | Les Sentiers de la Gloire | Type de document : | Film | Auteurs : | Stanley Kubrick, Metteur en scène, réalisateur ; Georg Krause, Chef opérateur ; Kirk Douglas, Producteur ; James B. Harris, Producteur | Editeur : | Los Angeles : Metro-Goldwyn-Mayer | Année de publication : | 1957 | Format : | 1.33 | ISBN/ISSN/EAN : | 5050070008166 | Prix : | 25€ | Langues : | Américain (ame) Langues originales : Américain (ame) Allemand (ger) Latin (lat) | Descripteurs (mots clés) : | [Thésaurus HELB]:Cinématographie:Cinéma Américain [Thésaurus HELB]:Cinématographie:Film de guerre/première guerre mondiale [Thésaurus personnes/collectivités]Krause, Georg [Thésaurus personnes/collectivités]Kubrick, Stanley (cinéaste américain, 1928-1999) [Thesaurus Film]Paths of Glory = Les Sentiers de la Gloire (Stanley Kubrick, États-Unis, 1957)
| Résumé : | L'action du film se déroule en 1916 en France, lors de la Première Guerre mondiale. À cette période de la guerre, la tactique de la guerre de tranchées n'a mené qu'à l’enlisement du conflit. Des assauts réguliers, inutiles et meurtriers, sont cependant menés par les troupes françaises et allemandes pour essayer de prendre le dessus sur l'ennemi.
En faisant miroiter un avancement, le général de division français Broulard incite son subordonné, l’ambitieux général de brigade Mireau à lancer un de ses régiments à l'assaut d'une position allemande très solide, nommée la Fourmilière, qui se trouve au sommet d'une colline, ceci sans renforts et avec peu de préparation d'artillerie.
Lors de l'assaut des soldats français, le régiment mené par le colonel Dax est repoussé par le feu ennemi ; subissant de lourdes pertes, il doit se replier. Mais le général Mireau, observant le combat et s'apercevant qu'une partie des soldats n'a pas quitté sa tranchée, ordonne de tirer au canon sur ses propres troupes, pour les forcer à attaquer. L'ordre, oral, est adressé à l'officier d’artillerie français, qui refuse néanmoins d'obéir.
Pour détourner le blâme de l'échec de l'attaque, le général Mireau traduit le régiment du colonel Dax en conseil de guerre (cour martiale), pour « lâcheté devant l'ennemi », et ordonne qu'une centaine de soldats soient fusillés. Mais, quand Dax refuse, jugeant cette initiative révoltante et barbare, le général Broulard fait un compromis : seuls trois hommes, un par compagnie, seront jugés.
Avocat dans le civil, le colonel Dax demande l'autorisation au général Broulard de défendre les trois hommes qui sont désignés. Mais, malgré son talent et sa motivation au cours du procès, celui-ci ne parvient pas à faire fléchir les juges, pour qui la sentence ne fait aucun doute : les soldats seront fusillés le lendemain.
En dernier recours, le colonel Dax décide de retrouver le général Broulard pour lui apporter les preuves que le général Mireau a ordonné à son artillerie de tirer sur ses propres troupes. Cela n'empêche pas l'exécution des trois soldats, mais Broulard ordonne une enquête sur les agissements de Mireau, puis offre le commandement de la brigade à Dax, en croyant que celui-ci a agi par pure ambition. Écœuré par le cynisme de Broulard, Dax refuse cette offre d'avancement.
Retournant auprès de ses hommes, Dax est attiré par les cris et les sifflements de soldats entassés dans un bar. Une jeune Allemande en larmes, présentée sur une estrade, est moquée par les soldats français. Mais quand celle-ci se met à chanter l'air Der treue Husar, les soldats se taisent, émus par la chanson et vont même jusqu'à l'accompagner en murmurant l'air, malgré le fait que la chanson soit en Allemand.
Dax décide de partir sans informer ses hommes qu'ils ont reçu l'ordre de retourner au front. Son visage se durcit alors qu'il retourne dans ses quartiers. (www.wikipedia.org) | Note de contenu : | Version originale en Anglais sous-titrée en Français Version doublée en Français | Permalink : | https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= |
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