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Auteur Cédric Robert
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheCheville et course à pied dans le plan sagittal Comprendre pour une meilleure prise en charge / Cédric Robert in Kinésithérapie scientifique, 632 (Juin 2021)
[article]
in Kinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 37-42
Titre : Cheville et course à pied dans le plan sagittal Comprendre pour une meilleure prise en charge Type de document : article de périodique Auteurs : Cédric Robert Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 37-42 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:tendon d’Achille
[Thésaurus Mesh]Cheville
[Thésaurus Mesh]Course à piedRésumé : Entre 8 et 13 millions de français pratiquent la course à pied de façon régulière. 26 % des hommes et 19 % des femmes se blesseront à la cheville et au pied [1, 2]. Nous retrouverons des tendinopathies d’Achille que nous observerons particulièrement au cours de cet article mais aussi des fasciapathies plantaires et majoritairement des lésions du triceps.Y A-T-IL UN LIEN ENTRE LES PATHOLOGIES DE CHEVILLE, PRINCIPALEMENT LES TENDINOPATHIES D'ACHILLE ET LEUR ÉVOLUTION DANS LE PLAN SAGITTAL COURS DU CYCLE DE FOULÉE ?Cook et Purdam [3] ont avancé l’idée que les compressions du tendon en dorsiflexion pouvaient être un facteur de risque des tendinopathies d’Achille. C’est une situation que nous pourrions retrouver surtout lors de la phase d’appui sur des patients en situation « d’effondrement » du membre inférieur où la cheville va être au-delà de 25° de flexion dorsale.En 2016, Willy et al. [4] mettent en avant que les contraintes maximales se font au pic de dorsiflexion et non lors de la propulsion.L’argument de l’excès de dorsiflexion est pondéré par les revues de littératures de van der Vlist et al. en 2019 [5] et celle de Sancho et al. également en 2019 [6] qui ont des doutes sur cet argument mais mettent en avant moins de propulsion à la course, moins de vitesse de dorsiflexion, moins de contraction de la loge postérieure.Nous ne savons pas encore bien si la douleur entraîne une limitation de la contraction de la loge postérieure de jambe, ou que la faiblesse de la loge postérieure entraînent une modification de la cinématique qui serait à l’origine de la douleur.D’un point de vue clinique, nous retrouverons dans nos cabinets une majorité de tendinopathies d’Achille liées à un effondrement du membre inférieur avec augmentation de la flexion dorsale en phase d’appui et/ou une surutilisation, surcharge d’entraînement sur une attaque sur l’avant du pied (avant-pied ou mi-pied) dans un contexte de changement récent de foulée avec une possible faiblesse de la loge postérieure. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité KIN Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Doit-on nécessairement recommander l'attaque sur l'avant du pied chez le coureur en 2024 ? / Cédric Robert in Kinésithérapie scientifique, 661 (Février 2024)
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in Kinésithérapie scientifique > 661 (Février 2024) . - p. 23-26
Titre : Doit-on nécessairement recommander l'attaque sur l'avant du pied chez le coureur en 2024 ? Type de document : article de périodique Auteurs : Cédric Robert Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 23-26 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]Course à pied Résumé : La course à pied est un sport particulièrement populaire en France où l’on estime à environ 12 millions de pratiquants, dont 4 millions sont réguliers (au moins 2 séances par semaine). Il est difficile de définir précisément ce chiffre car, à la différence de nombreux autres sports, la course à pied se pratique souvent hors club (où les pratiquants sont référencés) [1].
Plus d’un coureur sur 2 se blessera chaque année, ce qui l’éloignera de sa pratique pendant un temps donné [2]. L’attaque du pied est souvent mise en cause dans les blessures dans l’imagerie des coureurs.
Les attaques du pied peuvent être définies par la façon dont le pied va évoluer par rapport au sol au cours des phases d’attaque et d’appui à la course ou la marche [3] :
– l’attaque talon : le coureur va poser le talon en premier, puis dérouler le pied au sol ;
– l’attaque mi-pied : le coureur va poser pied à plat ;
– l’attaque avant : le coureur va poser sous les têtes des métatarsiens ; le talon ne sera jamais au contact du sol.
Aux origines de ces débats sur l’attaque du pied, nous retrouvons les travaux de Lieberman [4], anthropologue à l’Université d’Harvard qui publia en 2010 une étude sur les contraintes appliquées à l’organisme lors de la course pieds nus et chaussés. Il a mis en avant que les contraintes d’impact sont équivalentes mais que la vitesse de force d’impact, le Vertical loading rate, est plus élevée en attaque talon, que l’on soit chaussé ou non. La contrainte s’applique alors beaucoup plus rapidement sur l’organisme. Son étude conclue également que la majorité des gens portant des chaussures de façon habituelle attaquait talon quand des populations habituellement pieds nus (kenyane dans ses travaux) attaquaient mi-pied ou avant-pied.Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité K Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Proposition d'un arbre décisionnel aidant au diagnostic kinésithérapique différentiel des pathologies de la face antérieure du genou / Cédric Robert in Kinésithérapie scientifique, 657 (octobre 2023)
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in Kinésithérapie scientifique > 657 (octobre 2023) . - p. 7-12
Titre : Proposition d'un arbre décisionnel aidant au diagnostic kinésithérapique différentiel des pathologies de la face antérieure du genou Type de document : article de périodique Auteurs : Cédric Robert Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 7-12 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]Diagnostic différentiel
[Thésaurus Mesh]GenouRésumé : Alors que les expériences d’accès direct aux soins de kinésithérapie se multiplient à travers le monde et dans un contexte où le prescripteur n’est plus dans l’obligation de préciser le diagnostic médical, il est plus que jamais primordial que le kinésithérapeute s’approprie le diagnostic différentiel.Un arbre décisionnel permet un gain de temps et d’efficacité dans la réalisation du bilan et du diagnostic kinésithérapique différentiel.
Les pathologies de la face antérieure du genou représentent le tiers des pathologies du coureur et les tendinopathies rotuliennes comptent à elles seules 15 % des pathologies des sports collectifs (football, handball, volleyball..). Le contexte professionnel semble présenter moins de risques ; seuls 3 % des troubles musculo-squelettiques concernent le membre inférieur.Nous reconnaissons dans les pathologies de la face antérieure les tendinopathies quadricipitale et rotulienne, fracture de la patella, bursite pré-patellaire, syndrome fémoro-patellaire, atteinte de la graisse de Hoffa, et les ostéochondroses : Osgood-Schlatter et Sinding-Larsen-Johansson.Le diagnostic différentiel repose sur un examen clinique précis et organisé. Cet article veut proposer un arbre décisionnel aidant le praticien. Notons que la fracture de la patella est un drapeau rouge à la prise en charge kinésithérapique et nécessite d’être vue médicalement. Nous allons donc suivre un schéma classique et sûrement un peu scolaire de la méthodologie du bilan qui nous permettra, étape par étape, de confirmer un diagnostic.Le diagnostic kinésithérapique différentiel doit commencer par l’exclusion des patients présentant une situation ne relevant pas d’une prise en charge kinésithérapique mais médicale. Cette exclusion reposera sur la présence de drapeaux rouges.Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité k Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Proposition d'un arbre décisionnel aidant au diagnostic kinésithérapique différentiel des pathologies de la face médiale et du pivot central du genou / Cédric Robert in Kinésithérapie scientifique, 664 (Mai 2024)
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in Kinésithérapie scientifique > 664 (Mai 2024) . - p. 27-34
Titre : Proposition d'un arbre décisionnel aidant au diagnostic kinésithérapique différentiel des pathologies de la face médiale et du pivot central du genou Type de document : article de périodique Auteurs : Cédric Robert ; Vanessa Deblaton ; Julie Hou ; Samuel Gotlieb Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 27-34 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:genou varum
[Thésaurus HELB]:Paramédical:Ligament croisé antérieur /Traumatismes
[Thésaurus Mesh]Diagnostic différentiel
[Thésaurus Mesh]Ménisques de l'articulation du genouRésumé : Les pathologies de la face médiale et du pivot central du genou sont nombreuses et souvent associées lors de traumatisme. Le kinésithérapeute de terrain peut, grâce à l’article L. 4321-1, accomplir en l’absence d’un médecin les premiers actes de soins. Il est souvent le seul personnel de santé sur le terrain et la question de la poursuite du sport lui est posée. En pratique quotidienne, le prescripteur n’est plus dans l’obligation de détailler le pourquoi de sa prescription et le kinésithérapeute doit alors déterminer avec soin quelles sont les structures anatomiques lésées.Le diagnostic médical reste de la compétence exclusive du médecin (et est souvent confirmé par imagerie) pendant que le bilan-diagnostic kinésithérapique permet d’établir un plan de soin complet. Il est le reflet des évaluations cliniques du kinésithérapeute. Le bilan-diagnostic kinésithérapique doit être écrit, recenser les déficits structurels et fonctionnels et s’enrichir d’un pronostic fonctionnel, d’objectifs et de propositions thérapeutiques.Ce diagnostic différentiel, qui doit être précis, est souvent soumis à une contrainte de temps qui impose au kinésithérapeute une méthodologie et de l’efficacité.Un arbre décisionnel permet ce gain en efficience. Sur le modèle de l’arbre décisionnel que nous avions précédemment décrit pour la face frontale du genou [1], nous allons détailler dans cet article la face médiale et le pivot central du genou. Les seules lésions du ligament croisé antérieur peuvent toucher presque 40 000 personnes par an en France et 200 000 aux États-Unis d’Amérique. Les atteintes de cette région sont donc fréquentes et concernent de nombreux kinésithérapeutes chaque année. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité K Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible