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Auteur Pierre Nicolo
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheFATIGUE APRÈS UN AVC : de la neuro-imagerie aux principes de neurorééducation / Pierre Nicolo in Kinésithérapie scientifique, 655 (Juillet 2023)
[article]
in Kinésithérapie scientifique > 655 (Juillet 2023) . - p. 17-22
Titre : FATIGUE APRÈS UN AVC : de la neuro-imagerie aux principes de neurorééducation Type de document : article de périodique Auteurs : Pierre Nicolo ; Fanny Degeronimi-Dechem ; Tania Lauber ; Sibyl Szedressy Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 17-22 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]Accident vasculaire cérébral
[Thésaurus Mesh]Fatigue
[Thésaurus Mesh]NeuroimagerieRésumé : L'accident vasculaire cérébral (AVC) est l'une des principales causes de handicap et de limitations fonctionnelles, nécessitant une prise en charge spécifique en physiothérapie [1, 2].
La fatigue, qui est un symptôme fréquent, non spécifique et invalidant, constitue une problématique importante auxquels font face les patients post-AVC. Sa prévalence semble être plus élevée chez les individus ayant subi un AVC par rapport à la population générale, avec des chiffres de 31,1 % contre 10,9 % [3]. De plus, la fatigue post-AVC est présente dans une proportion allant de 25 à 85 % des personnes ayant survécu à un AVC [4].
La fatigue post-AVC peut se définir comme une difficulté à initier ou à maintenir des activités volontaires [5] et elle peut affecter les domaines physique, mental et motivationnel [6, 7].
La fatigue chez les patients post-AVC se distingue de la fatigue considérée comme « normale » en raison de son apparition rapide, même lors de tâches peu exigeantes, ainsi que de sa récupération moins efficace après repos [5, 8].
Ce type de fatigue limite souvent les activités physiques et cognitives [9], perturbe la rééducation [10] et affecte le retour au travail et la qualité de vie [11]. Il est donc essentiel d'identifier les facteurs contributifs à la fatigue post-AVC et d’améliorer notre compréhension des mécanismes physiopathologiques sous-jacent afin d'adapter les interventions et d'améliorer les résultats en physiothérapie.
En développant une meilleure compréhension des aspects complexes de la fatigue post-AVC, il est possible d’ajuster les interventions afin de répondre de manière ciblée aux besoins spécifiques des patients.
De plus, il est primordial de reconnaître l'impact de la fatigue sur la rééducation et de mettre en place des stratégies personnalisées pour aider les patients à surmonter ce défi et à atteindre leurs objectifs de réadaptation.
Cette brève revue libre de la littérature propose d’examiner les caractéristiques de la fatigue se différenciant de la fatigabilité, les facteurs associés à son apparition et ses implications concernant la réadaptation fonctionnelle des patients post-AVC.
Nous aborderons également les avancées récentes dans la recherche par neuro-imagerie, en mettant l'accent sur les mécanismes cérébraux potentiels sous-jacents.Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité K Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Mesure de l’intensité de la douleur par l’échelle visuelle analogique / Anne Béraud in Kinésithérapie : la revue, 262 (Octobre 2023)
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in Kinésithérapie : la revue > 262 (Octobre 2023) . - p. 50-54
Titre : Mesure de l’intensité de la douleur par l’échelle visuelle analogique Type de document : article de périodique Auteurs : Anne Béraud ; Pierre Nicolo ; Anne-Violette Bruyneel Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 50-54 Langues : Français (fre) Résumé : La douleur est définie par l’Association internationale pour l’étude de la douleur comme « une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à ou ressemblant à celle associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle » [1]. Qu’elle soit aiguë ou chronique, elle fait partie intégrante du quotidien du kinésithérapeute. La douleur peut être évaluée lors de troubles musculosquelettiques, neuromusculaires ou des systèmes internes [2]. L’intensité de la douleur – « à quel point le patient a mal, le reflet de l’ampleur globale de l’expérience douloureuse »1 – est fréquemment testée par l’échelle visuelle analogique (EVA), échelle d’évaluation de l’intensité de la douleur perçue par le patient [2, 3, 4, 5]. Cet outil est simple d’utilisation, rapide et peu coûteux. Cependant, sa simplicité de passation ne reflète pas la complexité de l’expérience douloureuse et ses impacts multidimensionnels ; ses résultats doivent donc être interprétés avec prudence par le thérapeute Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité K Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible