[article] in Kinésithérapie : la revue > 262 (Octobre 2023) . - p.10-16 Titre : | L’apport des neurosciences en traumatologie : revue systématique sur la kinésithérapie de l’inhibition musculaire arthrogène du quadriceps après ligamentoplastie du LCA | Type de document : | article de périodique | Auteurs : | Zineb Latifi ; Saïd Chajid ; M.-A. Benhima ; M. Mouilly | Année de publication : | 2023 | Article en page(s) : | p.10-16 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Inhibition motrice, Ligament croisé antérieur, Méthodes neurostimulatrices, Quadriceps, Rééducation | Résumé : | Introduction
La diminution de l’activation volontaire du Quadriceps est communément associée aux ruptures du ligament croisé antérieur. Récemment, la recherche s’est concentrée sur le développement de méthodes neuro-stimulatrices spécifiques pour pallier ce déficit ; leur réelle efficacité reste à déterminer.
Objectif
La présente revue visait à documenter l’efficacité des méthodes neuro-stimulatrices pour faire face au déficit d’activation du quadriceps après ligamentoplastie du ligament croisé antérieur.
Méthode
La méthode utilisée est celle de la revue de la littérature. Ce travail a été réalisé selon le référentiel PRISMA (Preferred Reporting Items ou Systematic reviews and Meta-Analyses ). Les caractéristiques de l’étude ont suivi le schéma PICOTS. Les articles sélectionnés étaient des essais contrôlés randomisés et un essai contrôlé non randomisé. Ils ont été recherchés à partir des bases de données électroniques Pubmed, PEDro, Science direct et Google scholar.
Résultats
Après un tri exécuté selon des critères prédéfinis, 20 articles ont été inclus. La majorité des études semblait confirmer l’efficacité des méthodes neuro-stimulatrices sur l’activation du quadriceps en complément des protocoles de rééducation conventionnels.
Discussion
Plusieurs points restent à éclaircir concernant les méthodes neuro-stimulatrices. D’autres réflexions quant au traitement des inhibitions motrices semblent nécessaires à l’optimisation des résultats.
Conclusion
Le traitement des inhibitions motrices doit s’inscrire dans le parcours de soin pour réduire les échecs thérapeutiques, potentialiser la rééducation et éviter les récidives.
Niveau de preuve
2. | Permalink : | https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= |
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