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Approches anthropologique et philosophique du don et du contre-don / M.-C. Leneveu in Ethique & santé, vol.10, 2 (Juin 2013)
[article]
in Ethique & santé > vol.10, 2 (Juin 2013) . - 94-98
Titre : Approches anthropologique et philosophique du don et du contre-don Type de document : article de périodique Auteurs : M.-C. Leneveu, Auteur Article en page(s) : 94-98 Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus personnes/collectivités]Mauss, Marcel (Anthropologue français, 1872-1950)
[Thésaurus HELB]:Paramédical:contre-don /concept
[Thésaurus Mesh]:D:Don:Don / éthique
[Thésaurus Mesh]Communication
[Thésaurus Mesh]Relations interpersonnelles
[Thésaurus Mesh]Valeurs socialesMots-clés : contre-don /concept Résumé : À partir d’éléments singuliers qu’il recueille au sein de l’ethnologie polynésienne, Marcel Mauss en forgeant le concept de « fait social total » corollaire des notions de « don » et « contre-don », détermine l’exigence des lois de la réciprocité et de la communication qui sont le propre de la culture même. Il en ressort que l’effectivité du don repose sur les bases d’une structure formulée en trois points : l’obligation de rendre, contrainte manifeste dans l’échange qui n’a de sens véritable que mise en relation avec les autres obligations qu’elle suppose telle que l’obligation de donner et de recevoir. Le don est une structure dont chacune des dimensions tient sa réalité par l’existence de l’autre qui, en relançant perpétuellement les enchères, maintient le lien social. En effet, le cycle du don et son renouvellement provient de la force intérieure dont il est investi. Il existe assurément une continuité des hommes et des choses dont l’osmose, en orientant chacun dans une même trajectoire symbolique, organise la société qui se construit via l’institution de l’institution, à savoir celle du langage qui s’édifie sur un système général de réciprocité. De fait, cette dernière renvoie aux rapports que l’on entretient avec autrui, à la confirmation des attentes suggérées à l’autre et par l’autre lors de l’interaction. Aussi, un cycle de réciprocité s’engage avec l’institution du langage qui suggère finalement à l’individu de faire à l’autre ce qu’il voudrait que l’on fasse à lui-même. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Le don du corps à la science : un acte généreux révélateur de conflits de valeurs / O. Rabary in Ethique & santé, vol. 17, 01 (Mars 20202)
[article]
in Ethique & santé > vol. 17, 01 (Mars 20202) . - 9-16
Titre : Le don du corps à la science : un acte généreux révélateur de conflits de valeurs Type de document : article de périodique Auteurs : O. Rabary ; L. Marcucci Article en page(s) : 9-16 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:Comportement cérémoniel
[Thésaurus HELB]:Paramédical:contre-don /concept
[Thésaurus HELB]:Paramédical:Don du corps
[Thésaurus HELB]:Paramédical:Personne humaine
[Thésaurus Mesh]Éthique
[Thésaurus Mesh]ScienceRésumé : Le don du corps à la science, acte généreux, engage la responsabilité juridique, morale et sociale des laboratoires d’anatomie qui reçoivent les dépouilles pour des travaux à visée pédagogique et de recherche scientifique. L’utilité sociale des recherches et la formation des médecins constituent une contrepartie au don. La dette contractée auprès du donneur peut ainsi être effacée si les préjudices moraux potentiellement subis par la famille sont également pris en compte. L’utilisation des dépouilles léguées fait apparaître des conflits entre les valeurs morales, d’autant plus prégnants que le statut de ces dépouilles humaines reste problématique tant d’un point de vue anthropologique que juridique. Cette pratique soulève aussi des enjeux philosophiques et éthiques. Le droit patrimonial considère ces corps comme des choses, cependant le droit positif consacre le principe de la dignité de la personne humaine et de l’inviolabilité de son corps, y compris après la mort. Il est nécessaire de renforcer les règles de droit protégeant la dignité et l’autonomie des donneurs afin d’assurer la continuité des travaux sur les corps légués. Il est également souhaitable d’apporter des améliorations dans les procédures de don afin de mieux respecter les réalités anthropologiques concernant la mort et ses rituels et de limiter les atteintes aux principes éthiques. Note de contenu : Cet article fait partie du dossier "Du corps physique au corps symbolique " Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire