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L’inhibition du RANK Ligand dans le traitement médical des métastases osseuses / Jean-Jacques Body in Bulletin du cancer, vol.100, 11 (Novembre 2013)
[article]
in Bulletin du cancer > vol.100, 11 (Novembre 2013) . - 1207-1213
Titre : L’inhibition du RANK Ligand dans le traitement médical des métastases osseuses Type de document : article de périodique Auteurs : Jean-Jacques Body, Auteur Article en page(s) : 1207-1213 Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]:T:Tumeurs de la prostate:Tumeurs de la prostate / complications
[Thésaurus Mesh]:T:Tumeurs du sein:Tumeurs du sein / complications
[Thésaurus Mesh]:T:Tumeurs osseuses:Tumeurs osseuses / secondaire
[Thésaurus Mesh]:~termes non classés:Dénosumab
[Thésaurus Mesh]:~termes non classés:Ligand du RANK
[Thésaurus Mesh]AlendronateRésumé : Le squelette est le site le plus fréquemment atteint en cas de maladie métastatique. Il est aussi le site métastatique initial préférentiel des néoplasies mammaires et prostatiques. Les complications des métastases osseuses (CMO) sont multiples mais, dans les études contrôlées, on se réfère généralement aux quatre complications objectives essentielles de la maladie métastatique osseuse, en l’occurrence le recours à une radiothérapie ou une chirurgie osseuse, les fractures pathologiques, et la compression médullaire. Des études récentes de phase III, conduites en double insu, ont démontré la supériorité du dénosumab par rapport au zolédronate pour retarder la survenue de la première complication osseuse en cas de cancer mammaire ou prostatique généralisé au niveau osseux, tandis que le dénosumab s’est révélé non-inférieur au zolédronate dans l’étude portant sur les autres tumeurs solides et le myélome multiple. La morbidité osseuse globale était significativement diminuée par le dénosumab dans les études incluant les patients présentant un néoplasie mammaire ou prostatique, ainsi que dans une analyse intégrée portant sur l’ensemble des résultats des trois études. Le dénosumab est administré par voie sous-cutanée et n’a aucune toxicité rénale. Toutefois, il provoque davantage d’hypocalcémies que le zolédronate. Des suppléments de calcium et de vitamine D doivent être administrés au cours du traitement et il est recommandé de suivre régulièrement la calcémie. L’ostéonécrose de la mâchoire est un effet secondaire préoccupant, mais tant les études individuelles que l’analyse intégrée n’ont pas montré de différences significatives entre le zolédronate et le dénosumab. Le traitement avec ces inhibiteurs puissants de la résorption osseuse devrait être progressivement individualisé afin de mieux définir la place des traitements espacés, de réduire la fréquence des effets secondaires et d’améliorer le rapport coût-efficacité des nouveaux composés. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible