A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Descripteurs (mots clés)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
Pneumopathies acquises à l’hôpital chez la personne âgée : apports de l’aspiration endotrachéale / Nicolas Baclet in La revue de gériatrie, vol.36, 5 (Mai 2011)
[article]
in La revue de gériatrie > vol.36, 5 (Mai 2011) . - 273-281
Titre : Pneumopathies acquises à l’hôpital chez la personne âgée : apports de l’aspiration endotrachéale Type de document : article de périodique Auteurs : Nicolas Baclet, Auteur ; David Dombrowski, Auteur ; Thomas Develter, Auteur Article en page(s) : 273-281 Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:aspiration endotrachéale
[Thésaurus HELB]:Paramédical:étude prospective [Type de publication]
[Thésaurus HELB]:Paramédical:Recherche [Type de publication]
[Thésaurus Mesh]:A:Antibactériens:Antibactériens / administration et posologie
[Thésaurus Mesh]:P:Patients hospitalisés:Patients hospitalisés / Sujet âgé
[Thésaurus Mesh]:~termes non classés:Infection croisée /Sujet âgé
[Thésaurus Mesh]:~termes non classés:Maladies pulmonaires /Sujet âgé
[Thésaurus Mesh]Aspiration (technique)
[Thésaurus Mesh]Examens biologiques
[Thésaurus Mesh]Gériatrie
[Thésaurus Mesh]Pneumopathie bactérienneMots-clés : aspiration endotrachéale étude prospective [Type de publication] recherche [Type de publication] Résumé : Contexte : Les pneumonies acquises à l’hôpital sont fréquentes et peu étudiées dans les services de médecine, notamment en gériatrie. Leur diagnostic est difficile et ces infections entraînent une surconsommation d’antibiotiques. Objectif : L'objectif de notre étude était d'évaluer l'intérêt des données bactériologiques obtenues par aspiration endotrachéale, pour l'adaptation du traitement antibiotique des pneumopathies acquises à l'hôpital, chez la personne âgée non intubée. Patients et méthode : Nous avons réalisé une étude prospective dans notre service de médecine polyvalente, du 1er Octobre 2007 au 31 Mai 2008. Chaque patient présentant une pneumopathie acquise à l'hôpital a bénéficié d'une aspiration endotrachéale. Un traitement antibiotique probabiliste a été débuté après recueil des prélèvements microbiologiques. Nous avons observé la possibilité d'adaptation de l'antibiothérapie grâce aux données bactériologiques des aspirations endotrachéales. Résultats : Nous avons observé 25 patients présentant une pneumopathie acquise à l'hôpital durant l'étude ; l'incidence était de 1,64 /1000 journées d'hospitalisation. L'aspiration endotrachéale était retenue comme contributive pour 14 patients (56%). Une désescalade thérapeutique a été réalisée pour 9 patients (36%). Conclusion : L’aspiration endotrachéale peut contribuer à la documentation microbiologique des pneumopathies acquises à l'hôpital, permet d'observer la flore microbiologique locale et apporte une opportunité de désescalade thérapeutique chez le patient non intubé hospitalisé en milieu médical.Mots clés : Pneumopathie - Gériatrie - Infection nosocomiale. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Les soins de bouche aux soins intensifs / M. Debast
in Soins de bouche : guide pratique / Michèle Reners
Titre : Les soins de bouche aux soins intensifs Type de document : Chapitre d'ouvrage Auteurs : M. Debast, Auteur ; F. Radelet, Auteur ; M.S. Reynaert, Auteur ; A. Vandenberghe, Auteur Pages : 245-277 Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:aspiration endotrachéale
[Thésaurus HELB]:Paramédical:soins de boucheMots-clés : aspiration endotrachéale soins de bouche Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité C13/REN/SO Livre Erasme - secteur C clinique C13 - ORL, stomatologie Disponible C13/REN/SO Livre Erasme - secteur C clinique C13 - ORL, stomatologie Disponible L'usage de l'instillation chez les patients adultes intubés/ventilés ou trachéotomisés : une enquête des pratiques chez les masseurs-kinésithérapeutes en service de réanimation / Camille Peloux de Reydellet de Chavagnac in Kinésithérapie scientifique, 631 (Mai 2021)
[article]
in Kinésithérapie scientifique > 631 (Mai 2021) . - p. 25-38
Titre : L'usage de l'instillation chez les patients adultes intubés/ventilés ou trachéotomisés : une enquête des pratiques chez les masseurs-kinésithérapeutes en service de réanimation Type de document : article de périodique Auteurs : Camille Peloux de Reydellet de Chavagnac ; Guillaume Cottereau ; Arnaud Delafontaine, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 25-38 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:aspiration endotrachéale
[Thésaurus HELB]:Paramédical:kinésithérapie respiratoireMots-clés : Enquête par questionnaire Résumé : La ventilation mécanique invasive, par intubation orotrachéale ou trachéotomie, permet de pallier la déficience de la ventilation spontanée d’un patient en favorisant les échanges gazeux, mais également de protéger les voies aériennes d’un patient comateux ou cérébro-lésé [1-3]. L’intubation orotrachéale (IOT) est utilisée chez les patients en état critique, lors d’épisodes aigus, alors que le recours à la trachéotomie se retrouve lors de cas de sevrage ventilatoire difficile ou prolongé [1, 4, 5]. La clairance mucociliaire, chez les patients porteurs d’une prothèse endotrachéale et ventilés, est altérée pour de multiples raisons. La sédation souvent associée à l’IOT engendre une diminution de la toux, et de l’activité ciliaire. L’insufflation dans les voies aériennes d’un mélange gazeux souvent insuffisamment hydraté et réchauffé est à l’origine d’une irritation de la muqueuse trachéo-bronchique pouvant entraîner une inflammation et une hypersécrétion bronchique. Elle peut également concourir à la déshydratation du mucus dans les voies aériennes ce qui en modifie les qualités rhéologiques et en augmente sa stagnation avec un risque infectieux accru, pouvant participer à l’apparition de troubles de la ventilation [2, 3, 6-9]. Il existe donc une inadéquation entre la modification qualitative et/ou quantitative des sécrétions et la diminution des capacités des patients à les évacuer [1-3, 10-12]. Cette réduction d’activité ciliaire est à l’origine d’un encombrement bronchique, défini comme « la stagnation dans les voies aériennes du mucus bronchique en quantité/qualité rhéologique normale ou pathologique » [13]. Cet encombrement bronchique est aussi une des causes d’échec d’extubation, surtout lorsque les sécrétions bronchiques sont épaisses et/ou en quantité importante [14]. Le désencombrement bronchique a pour but de mobiliser les sécrétions au sein de l’arbre bronchique afin d’en favoriser leur évacuation. Cela permet d’améliorer dans certains cas la fonction pulmonaire mais aussi l’hématose. Chez les patients intubés ou trachéotomisés, une aspiration endotrachéale (AET) doit être effectuée pour évacuer les sécrétions. Elle est indispensable au maintien de la perméabilité des voies aériennes [15]. Considérée comme faisant partie intégrante de la séance de la kinésithérapie respiratoire par certains auteurs [2, 8, 16], l’AET est un geste invasif qui doit être pratiqué à bon escient aux vues de nombreuses conséquences sur le plan hémodynamique comme sur celui de l’hématose [17-24]. La nécessité de l’AET doit dépendre de l’auscultation pulmonaire, des besoins du patient et de la quantité de sécrétions bronchiques [2, 8]. L’instillation consiste en l’introduction, directement dans la sonde d’intubation ou de trachéotomie, de quelques millilitres de sérum physiologique. Elle est utilisée principalement lors de toilette bronchique comme facilitateur au désencombrement bronchique [6]. Son utilité est décrite comme permettant d’augmenter la quantité de sécrétions aspirées, de lubrifier la sonde d’intubation ou trachéotomie, de stimuler la toux et donc d’aider à la clairance muco-ciliaire [25]. Ce geste, parfois pluriquotidien, est largement controversé dans la littérature. L’American Association of Respiratory Care (AARC) [17] ne recommande pas l’instillation au regard des effets délétères pour le patient. D’autres auteurs trouvent soit qu’elle ne présente aucun avantage, soit qu’utilisée à bon escient elle permet de provoquer la toux des patients [14, 26]. Les conséquences cliniques immédiates les plus retrouvées dans la littérature sont la désaturation, la tachycardie, la dyspnée, une perception d’inconfort, voire de douleur, et l’anxiété [17-24]. Bien que reconnue comme potentiellement dangereuse pour les patients, la pratique de l’instillation reste courante dans les services de réanimation, dans la population des professionnels infirmiers comme chez les masseurs-kinésithérapeutes (MK) [18, 22]. L’objectif de ce travail est donc de faire l’état des lieux des connaissances et des pratiques actuelles des MK quant à l’instillation chez les patients adultes porteurs d’une prothèse endotrachéale, et d’en souligner les déterminants. Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire L'usage de l'instillation chez les patients adultes intubés/ventilés ou trachéotomisés Une enquête des pratiques chez les masseurs-kinésithérapeutes en service de réanimation / Camille Peloux de Reydellet de Chavagnac in Kinésithérapie scientifique, 649 (Janvier 2023)
[article]
in Kinésithérapie scientifique > 649 (Janvier 2023) . - p. 37-46
Titre : L'usage de l'instillation chez les patients adultes intubés/ventilés ou trachéotomisés Une enquête des pratiques chez les masseurs-kinésithérapeutes en service de réanimation Type de document : article de périodique Auteurs : Camille Peloux de Reydellet de Chavagnac ; Guillaume Cottereau Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 37-46 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:aspiration endotrachéale
[Thésaurus HELB]:Paramédical:instillation
[Thésaurus HELB]:Paramédical:kinésithérapie respiratoireRésumé : Dans le cadre de la réalisation du mémoire de fin d'études, mon intérêt s'est porté sur la pratique de l'instillation chez les masseurs-kinésithérapeutes travaillant en service de réanimation.
CONTEXTE
La ventilation mécanique invasive, par intubation orotrachéale ou trachéotomie, permet de pallier la déficience de la ventilation spontanée d’un patient en favorisant les échanges gazeux, mais également de protéger les voies aériennes d’un patient comateux ou cérébro-lésé [1-3].
L’intubation orotrachéale (IOT) est utilisée chez les patients en état critique, lors d’épisodes aigus, alors que le recours à la trachéotomie se retrouve lors de cas de sevrage ventilatoire difficile ou prolongé [1, 4, 5].
La clairance mucociliaire, chez les patients porteurs d’une prothèse endotrachéale et ventilés, est altérée pour de multiples raisons. La sédation souvent associée à l’IOT engendre une diminution de la toux, et de l’activité ciliaire. L’insufflation dans les voies aériennes d’un mélange gazeux souvent insuffisamment hydraté et réchauffé est à l’origine d’une irritation de la muqueuse trachéo-bronchique pouvant entraîner une inflammation et une hypersécrétion bronchique.
Elle peut également concourir à la déshydratation du mucus dans les voies aériennes ce qui en modifie les qualités rhéologiques et en augmente sa stagnation avec un risque infectieux accru, pouvant participer à l’apparition de troubles de la ventilation [2, 3, 6-9]. Il existe donc une inadéquation entre la modification qualitative et/ou quantitative des sécrétions et la diminution des capacités des patients à les évacuer [1-3, 10-12].
Cette réduction d’activité ciliaire est à l’origine d’un encombrement bronchique, défini comme « la stagnation dans les voies aériennes du mucus bronchique en quantité/qualité rhéologique normale ou pathologique » [13]. Cet encombrement bronchique est aussi une des causes d’échec d’extubation, surtout lorsque les sécrétions bronchiques sont épaisses et/ou en quantité importante [14].
Le désencombrement bronchique a pour but de mobiliser les sécrétions au sein de l’arbre bronchique afin d’en favoriser leur évacuation. Cela permet d’améliorer dans certains cas la fonction pulmonaire mais aussi l’hématose. Chez les patients intubés ou trachéotomisés, une aspiration endotrachéale (AET) doit être effectuée pour évacuer les sécrétions. Elle est indispensable au maintien de la perméabilité des voies aériennes [15].
Considérée comme faisant partie intégrante de la séance de la kinésithérapie respiratoire par certains auteurs [2, 8, 16], l’AET est un geste invasif qui doit être pratiqué à bon escient aux vues de nombreuses conséquences sur le plan hémodynamique comme sur celui de l’hématose [17-24]. La nécessité de l’AET doit dépendre de l’auscultation pulmonaire, des besoins du patient et de la quantité de sécrétions bronchiques [2, 8].
L’instillation consiste en l’introduction, directement dans la sonde d’intubation ou de trachéotomie, de quelques millilitres de sérum physiologique. Elle est utilisée principalement lors de toilette bronchique comme facilitateur au désencombrement bronchique [6]. Son utilité est décrite comme permettant d’augmenter la quantité de sécrétions aspirées, de lubrifier la sonde d’intubation ou trachéotomie, de stimuler la toux et donc d’aider à la clairance muco-ciliaire [25].
Ce geste, parfois pluriquotidien, est largement controversé dans la littérature. L’American Association of Respiratory Care (AARC) [17] ne recommande pas l’instillation au regard des effets délétères pour le patient. D’autres auteurs trouvent soit qu’elle ne présente aucun avantage, soit qu’utilisée à bon escient elle permet de provoquer la toux des patients [14, 26].
Les conséquences cliniques immédiates les plus retrouvées dans la littérature sont la désaturation, la tachycardie, la dyspnée, une perception d’inconfort, voire de douleur, et l’anxiété [17-24].
Bien que reconnue comme potentiellement dangereuse pour les patients, la pratique de l’instillation reste courante dans les services de réanimation, dans la population des professionnels infirmiers comme chez les masseurs-kinésithérapeutes (MK) [18, 22].
L’objectif de ce travail est donc de faire l’état des lieux des connaissances et des pratiques actuelles des MK quant à l’instillation chez les patients adultes porteurs d’une prothèse endotrachéale, et d’en souligner les déterminants.Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité KIN Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible