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Titre : | Légionellose : sa suspicion impose une confirmation diagnostique et un traitement probabiliste |
Type de document : | article de périodique |
Auteurs : | Arnaud Gacouin, 1 |
Année de publication : | 2016 |
Article en page(s) : | p. 67-72 |
Langues : | Français (fre) |
Descripteurs (mots clés) : | [Thésaurus Mesh]:L:Légionellose:Légionellose / diagnostic [Thésaurus Mesh]:L:Légionellose:Légionellose / thérapie [Thésaurus Mesh]Légionellose [Thésaurus Mesh]Pneumologie
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Note de contenu : | La légionellose est une cause importante de pneumonie acquise en ville ou à l’hôpital. En France et en Europe, Legionella pneumophilasérogroupe 1 (Lp1) est l’agent impliqué dans la plupart des cas. L’incidence de la maladie est sous-estimée. Les principaux facteurs de risque sont l’âge, les pathologies chroniques et l’immunosuppression. C’est une pneumonie dite atypique qui peut ressembler aux autres pneumonies bactériennes et qui est souvent suffisamment sévère pour nécessiter l’hospitalisation. La recherche d’antigènes urinaires est le test diagnostique de première ligne, mais limité à Lp1. La culture de prélèvement respiratoire est recom-mandée car elle permet le diagnostic de toutes les Legionella spp et l’investigation des épidémies. La maladie doit être déclarée. Les macrolides (azi-thromycine) et les quinolones (lévofloxacine) sont efficaces sur L. pneumophila. Les bêtalactamines et les aminosides sont inefficaces. |
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