Résumé : | Grâce à la Haute École Libre de Bruxelles-Ilya Prigogine, j’ai eu la chance d’effectuer mon stage de fin d’études au sein d’organisme de développement. Ceux-ci ont en commun d’organiser des chantiers internationaux de volontariat jeunesse.
Travaillant tantôt dans une association organisatrice de ces chantiers à Bruxelles, tantôt chez son partenaire au Sud-Ouest du Sénégal, je me suis impliquée dans plusieurs projets de terrain : ferme-école en agro-écologie, un éco-verger, un éco-village. J’ai participé à l’organisation de chantiers et rencontres interculturelles entre jeunes des deux continents. Et, pour élargir ma réflexion, j’ai aussi rencontré, en Belgique comme au Sénégal, d’autres nombreux acteurs de terrain.
Tous possèdent un objectif commun : répondre aux Objectifs Mondiaux de Développement (OMD) et aux Objectifs de Développement Durable (ODD). Mais, face à l’appauvrissement croisant des terres, par la déforestation, la sécheresse ou encore le fléau de la salinisation, face à la démographie galopante et aux besoins de la population au quotidien, les projets sont confrontés à de vrais défis, et restent limités dans leurs réalisations. Cependant, il est intéressant de s’interroger sur les causes de cette situation, tout en mettant en évidence les différentes stratégies pour un travail efficient.
Dans ce travail de fin d’études, j’ai tenté d’inscrire le plus fidèlement possible ces observations, les notions à prendre en considération pour une écologie sociale en milieu rural touché par les dérèglements climatiques durant ce qui fut mon premier pas en Afrique de l’Ouest. |