Résumé : | Voici qu’on arrive à la fin de ce travail qui m’aura énormément appris d’un point de vue théorique mais aussi pratique. Il a enrichi mes connaissances et m’a permis de développer mon identité professionnelle. Grâce à la littérature et d’un stage sur le terrain.
Ce sujet me tenait particulièrement à coeur car il pousse énormément à la réflexion, mais aussi car c’est un sujet souvent traiter en médecine et dans le paramédical mais il n’est pas assez développé dans le domaine infirmier. Or, il me parait important de ne pas oublier les personnes atteintes de cette pathologie, même si elles ne sont plus considérées comme pouvant apporter un plus dans notre société actuelle, société qui mise sur le rendement en oubliant ses aînés, elles restent des personnes qui ont eu un passé, ont un présent et auront un futur, même si cela signifie qu’elles vont finir par changer un jour après l’autre. Dans une maison de repos classique, il n’y a pas de réelle prise en compte du résident atteint de la maladie d’Alzheimer et ce peu importe le stade de la maladie. En revanche, dans une maison de repos spécialisée dans la prise en soins des personnes atteintes d’Alzheimer, il y a une réelle prise en compte de la personne mais aussi des proches.
Ce travail m’a permis d’identifier différents domaines d’actions. La communication qui englobe le langage verbal et le non-verbal adéquat, une attitude relationnelle empathique et authentique, soutient des contacts sociaux, prendre en compte l’environnement, intégrer la personne comme partenaire des soins, effectuer des exercices physiques et de la stimulation cognitive, permettent de valoriser l’autonomie et l’indépendance de la personne Alzheimer.
Les recommandations que je mettrais en place seraient d’augmenter le nombre de personnel, faire en sorte que l’infirmier soit plus souvent au contact des résidents, de bien insister dès la première année d’étude infirmier sur l’importance d’une communication et d’une attitude adéquate. L’utilisation de l’échelle de Katz, l’échelle MMSE et la GECCO pour mieux accompagner le résident.
Les limites que j’ai éprouvé pour la réalisation de ce travail était le manque d’articles accessibles facilement concernant le domaine infirmier.
Et maintenant, selon vous, quelle serait la meilleure façon de valoriser l’autonomie et l’indépendance chez une personne atteint de la maladie d’Alzheimer ? |