[article] in Revue médicale de Bruxelles > vol.35, 6 (Novembre 2014) . - 491-498 Titre : | L’intérêt de la simulation dans l’apprentissage de la prise en charge des urgences obstétricales : revue de la littérature | Type de document : | article de périodique | Auteurs : | V. Bogne, Auteur ; C. Kirkpatrick, Auteur ; Y. Englert, Auteur | Article en page(s) : | 491-498 | Descripteurs (mots clés) : | [Thésaurus personnes/collectivités]Hôpital Erasme, Service de Gynécologie-Obstétrique [Thésaurus HELB]:Paramédical:Extraction obstétricale [Thésaurus Mesh]:E:Enseignement:Enseignement / méthodes [Thésaurus Mesh]:E:Extraction obstétricale:Extraction obstétricale / enseignement et éducation [Thésaurus Mesh]:O:Obstétrique:Obstétrique / enseignement et éducation [Thésaurus Mesh]:P:Profession de sage-femme:Profession de sage-femme / enseignement et éducation [Thésaurus Mesh]:~termes non classés:Accouchement ( [Thésaurus Mesh]Dystocie [Thésaurus Mesh]Formation continue [Thésaurus Mesh]Simulation sur patients standardisés [Thésaurus Mesh]Traitement d'urgence
| Mots-clés : | Extraction obstétricale | Résumé : | Objectif : Evaluer l’intérêt de la simulation dans la formation des professionnels de la salle d’accouchement à la prise en charge des urgences obstétricales. Méthode : Une recherche par mots clés, suivie d’une sélection des essais randomisés réservée aux professionnels de la salle d’accouchement a abouti à analyser huit articles. Résultats : Dans la dystocie des épaules, la simulation permet de déceler des insuffisances dans la manoeuvre de Mc Robert chez près de 20 % des participants ainsi que des gestes inefficaces et potentiellement dangereux comme la pression sur le fond de l’utérus. Après la formation par simulation, la délivrance des épaules est améliorée de 42,9 % à 83,3 % et le temps moyen pour y parvenir est raccourci. Dans la simulation de l’hémorragie de la délivrance, les connaissances limitées sur les prostaglandines et les alcaloïdes de l’ergot, le retard de transfert de la patiente en salle d’opération (82 % des cas) et un déficit de communication entre les différents professionnels sont améliorés après la simulation. Dans la prééclampsie sévère, les erreurs comme l’administration non diluée de sulfate de magnésium ou la décision de césarienne chez une patiente instable sont identifiées et réduites de 75 %. La prise en charge de la toxicité au sulfate de magnésium semble plus efficace après simulation. Conclusion : Cette revue confirme le potentiel de la simulation mais son intégration pratique dans le curriculum reste à valider si l’on considère le coût de l’organisation des séances de simulation et l’incertitude de la fréquence de répétition. | Permalink : | https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= |
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