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Auteur D. Gallot
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheL’hydratation orale pendant le travail d’accouchement. État des lieux des pratiques des sages-femmes dans les maternités d’Auvergne / B. Kozlowski in La revue sage-femme, vol.11, 1 (Février 2012)
[article]
in La revue sage-femme > vol.11, 1 (Février 2012) . - 9-15
Titre : L’hydratation orale pendant le travail d’accouchement. État des lieux des pratiques des sages-femmes dans les maternités d’Auvergne Type de document : article de périodique Auteurs : B. Kozlowski, Auteur ; D. Gallot, Auteur ; D. Poumeyrol, Auteur ; Marie-Christine Leymarie, Auteur Article en page(s) : 9-15 Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:étude descriptive [Type de publication]
[Thésaurus HELB]:Paramédical:hydratation orale
[Thésaurus HELB]:Paramédical:Recherche [Type de publication]
[Thésaurus personnes/collectivités]Mendelson
[Thésaurus Mesh]:P:Pneumopathie de déglutition:Pneumopathie de déglutition / prévention et contrôle
[Thésaurus Mesh]Consommation de boisson
[Thésaurus Mesh]Infirmières sages-femmes
[Thésaurus Mesh]Jeûne
[Thésaurus Mesh]Parturition
[Thésaurus Mesh]Travail obstétricalMots-clés : hydratation orale étude descriptive [Type de publication] recherche [Type de publication] Résumé : Depuis les travaux de Mendelson en 1946, le jeûne strict pendant le travail d’accouchement était la règle dans les maternités. Aujourd’hui, cette règle est remise en question par les sociétés savantes et on assiste à une réintroduction progressive des apports oraux liquidiens pendant le travail. Objectifs L’hydratation orale au cours du travail d’accouchement ne semble pas faire l’objet d’un consensus en France. Cet article a donc pour buts d’évaluer les pratiques professionnelles des sages-femmes et de mesurer le degré de connaissance et d’application des recommandations internationales. Notre objectif était de réaliser un état des lieux des pratiques des sages-femmes en termes d’hydratation orale pendant le travail. Nous avons voulu décrire précisément leurs pratiques et connaître leur opinion et leurs connaissances à ce sujet. Nous avons désiré approcher le vécu des patientes face à ces usages. Matériel et méthode Un questionnaire à l’intention des sages-femmes exerçant en salle de naissance a été distribué dans toutes les maternités de la région d’Auvergne. Résultats et discussion Soixante-seize pour cent des sages-femmes autorisaient la boisson pendant la phase active du travail. Parmi elles, 93 % limitaient la quantité et 82 % n’autorisaient que de l’eau. Elles restreignent parfois le nombre de patientes concernées et la période d’autorisation. Plus de 40 % recevaient des directives d’interdiction stricte de tout apport oral pendant le travail de la part des médecins. De grandes variabilités dans les pratiques des sages-femmes mais aussi dans les directives données par les médecins obstétriciens et/ou anesthésistes ont été observées. Seulement 6 % des sages-femmes connaissaient l’existence d’un protocole de service, et 17 % connaissent les recommandations à ce sujet. Conclusion Les disparités de pratiques et d’opinions observées soulignent l’importance d’engager une réflexion dans les équipes obstétricales en vue de la création d’un protocole qui permettrait d’harmoniser les usages dans les salles d’accouchement. La communication entre professionnels et l’information des patientes doivent être privilégiées. En ligne : http://dx.doi.org/10.1016/j.sagf.2012.01.002 Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Présentation du siège : recommandations pour la pratique clinique du CNGOF, texte court / L. Sentilhes in Sages-femmes, vol. 20, 3 (Mai-juin 2021)
[article]
in Sages-femmes > vol. 20, 3 (Mai-juin 2021) . - p. 41-49
Titre : Présentation du siège : recommandations pour la pratique clinique du CNGOF, texte court Type de document : article de périodique Auteurs : L. Sentilhes ; T. Schmitz ; E. Azria ; D. Gallot ; G. Ducarme ; D. Korb ; A. Mattuizzi ; O. Parant ; N. Sananès ; S. Baumann ; P. Rozenberg ; Marie-Victoire Senat ; E. Verspyck Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 41-49 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]Césarienne
[Thésaurus Mesh]Morbidité
[Thésaurus Mesh]Parturition
[Thésaurus Mesh]Présentation du siège
[Thésaurus Mesh]Version foetaleRésumé : Objectif. - Déterminer les modalités de prise en charge en cas de présentation du siège. Matériel et méthodes. - Consultation de la base de données MedLine, de la Cochrane Library et des recommandations des sociétés savantes françaises et étrangères. Résultats. - En France, 5 % des femmes accouchent d’un enfant en présentation du siège (NP3). Un tiers d’entre elles ont une tentative de voie basse (TVB) (NP3), et 70 % de ces dernières accouchent par voie basse (NP3). La tentative de version par manœuvre externe (VME) est associée à une diminution du taux des présentations du siège à l’accouchement (NP2) et à une diminution du taux de césarienne (NP3) sans augmentation de la morbidité maternelle (NP3) et périnatale sévère (NP3). Il est recommandé d’informer les femmes ayant une présentation du siège de la possibilité de réaliser une tentative de VME à partir de 36 SA (Accord professionnel). En cas de présentation du siège à terme, la TVB pourrait être associée à une augmentation du risque composite de mortalité périnatale ou de survenue d’une morbidité néonatale sévère comparativement à la césarienne programmée (CP) (NP2). Il n’a pas été retrouvé de différence entre la TVB et la CP concernant le développement neurologique de l’enfant à 2 ans (NP2), le développement psychomoteur et cognitif entre 5 et 8 ans (NP3), et le niveau intellectuel à l’âge adulte (NP4). Les risques de complications maternelles sévères à court et à long terme semblent comparables après une TVB et une CP en l’absence de grossesse ultérieure. En cas de grossesse ultérieure, l’antécédent de césarienne expose la femme à des complications sévères (placenta accreta, rupture utérine notamment). Il est recommandé de proposer aux femmes qui souhaitent une TVB à terme une pelvimétrie (GradeC) et de vérifier l’absence d’hyperextension de la tête fœtale (Accord professionnel) pour décider avec elles de leur voie d’accouchement. La présentation du siège complet, l’antécédent de césarienne, la nulliparité, la rupture des membranes à terme avant travail ne contre-indiquent pas la TVB (Accord professionnel). La présentation du siège à terme n’est pas une contre-indication à un déclenchement du travail lorsque les critères d’acceptation de la voie basse sont réunis (Grade C). Conclusion. - En cas de présentation du siège à terme, les risques de complications sévères pour l’enfant et la mère sont faibles en cas de TVB ou de CP. Pour le Collège national des gynécologues et obstétriciens français, la TVB est une option raisonnable dans la majorité des cas (Accord professionnel). Le choix de la voie d’accouchement doit être partagé par la patiente et le médecin, en respectant le droit à l’autonomie de la patiente (Accord professionnel). Note de contenu : Doi : 10.1016/j.sagf.2021.03.011 Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité S Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Rupture prématurée des membranes avant terme : recommandations pour la pratique clinique du CNGOF (Texte court) (Republication) / T. Schmitz in La revue sage-femme, vol. 18, 2 (Avril 2019)
[article]
in La revue sage-femme > vol. 18, 2 (Avril 2019) . - p. 107-114
Titre : Rupture prématurée des membranes avant terme : recommandations pour la pratique clinique du CNGOF (Texte court) (Republication) Type de document : article de périodique Auteurs : T. Schmitz ; L. Sentilhes ; E. Lorthe ; D. Gallot ; H. Madar ; M. Doret-Dion ; G. Beucher ; G. Kayem Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 107-114 Note générale : Cet article a fait l’objet d’une première publication dans Gynécologie obstétrique fertilité & sénologie 2018;46(12):998–1003. https://doi.org/10.1016/j.gofs.2018.10.016. Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:prise en charge
[Thésaurus Mesh]Accouchement provoqué
[Thésaurus Mesh]Rupture prématurée des membranesRésumé : Objectif
Déterminer la prise en charge des patientes avec une rupture prématurée des membranes avant 37 semaines d’aménorrhée (SA).
Méthodes
Synthèse de la littérature à partir des bases de données PubMed et Cochrane et des recommandations des sociétés et collèges français et étrangers.
Résultats
En France, la fréquence de la rupture prématurée des membranes (RPM) est de 2 à 3 % avant 37 SA (Niveau de preuve [NP] 2) et de moins de 1 % avant 34 SA (NP2). La prématurité et l’infection intra-utérine sont les complications majeures de la RPM avant terme (NP2). La prolongation de la durée de latence est bénéfique (NP2). Par rapport aux autres causes de prématurité, la RPM avant terme n’est pas associée à un sur-risque évident de morbi-mortalité néonatale, sauf en cas d’infection intra-utérine, qui est associée à une augmentation des morts fœtales in utero (NP3), des infections néonatales précoces (NP2) et des entérocolites ulcéronécrosantes (NP2). Le diagnostic de la RPM avant terme est principalement clinique (accord professionnel). En cas de doute diagnostique, il est recommandé d’utiliser les tests de détection d’IGFBP-1 ou de PAMG-1 (accord professionnel). Il est recommandé d’hospitaliser les patientes lors du diagnostic de RPM avant terme (accord professionnel). Il n’existe pas d’argument suffisant pour recommander ou ne pas recommander une tocolyse initiale (grade C). Si une tocolyse était prescrite, il est recommandé de ne pas la prolonger plus de 48heures (grade C). Il est recommandé d’administrer une cure anténatale de corticoïdes si l’âge gestationnel est inférieur à 34 SA (grade A) et du sulfate de magnésium en cas d’accouchement imminent avant 32 SA (grade A). Il est recommandé de prescrire une antibioprophylaxie à l’admission (grade A) pour réduire la morbidité néonatale et maternelle (NP1). L’amoxicilline, les céphalosporines de 3ème génération et l’érythromycine (accord professionnel) peuvent être utilisées en monothérapie, ou l’association érythromycine–amoxicilline (accord professionnel), pour une durée de 7jours (grade C). Toutefois, un arrêt précoce de l’antibioprophylaxie semble acceptable en cas de prélèvement vaginal initial négatif (accord professionnel). Il n’est pas recommandé de prescrire comme antibioprophylaxie l’association amoxicilline-acide clavulanique (accord professionnel), des aminosides, des glycopeptides, des céphalosporines de première ou deuxième génération, de la clindamycine ou du métronidazole (accord professionnel). La prise en charge à domicile des patientes cliniquement stables après au moins 48heures de surveillance hospitalière est possible (accord professionnel). Au cours de la surveillance, il est recommandé d’identifier les éléments cliniques et biologiques évocateurs d’une infection intra-utérine (accord professionnel). Il n’est pas possible d’émettre de recommandations sur la fréquence de cette surveillance (accord professionnel). En cas d’examen de surveillance isolément positif chez une patiente asymptomatique (CRP augmentée, hyperleucocytose, prélèvement vaginal positif), il n’est pas recommandé d’initier systématiquement une antibiothérapie (accord professionnel). En cas d’infection intra-utérine, il est recommandé d’administrer immédiatement une antibiothérapie associant une bêtalactamine à un aminoside (grade B), par voie intraveineuse (grade B) et de faire naître l’enfant (grade A). La césarienne en cas d’infection intra-utérine est réservée aux indications obstétricales habituelles (accord professionnel). Il est recommandé d’avoir une attitude expectative en cas de RPM non compliquée avant 37 SA (grade A), même en cas de prélèvement positif pour le streptocoque B, sous couvert d’une antibioprophylaxie à l’admission (accord professionnel). L’ocytocine et les prostaglandines sont deux options envisageables pour le déclenchement du travail en cas de RPM avant terme (accord professionnel).
Conclusion
La prise en charge de la rupture prématurée des membranes avant terme non compliquée repose sur l’expectative jusqu’à 37 SA (grade A).Note de contenu :
Doi : 10.1016/j.sagf.2019.03.006Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité R Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible