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Auteur Alain Ravaud
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheCabozantinib : modalités d’action, efficacité et indications / Valérie Cochin in Bulletin du cancer, vol. 104, 5 (Mai 2017)
[article]
in Bulletin du cancer > vol. 104, 5 (Mai 2017) . - p. 393-401
Titre : Cabozantinib : modalités d’action, efficacité et indications Type de document : article de périodique Auteurs : Valérie Cochin ; Marine Gross-Goupil ; Alain Ravaud ; [et al.] Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 393-401 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]:P:Protein-tyrosine kinases:Protein-tyrosine kinases / antagonistes et inhibiteurs
[Thésaurus Mesh]:T:Tumeurs de la thyroïde:Tumeurs de la thyroïde / traitement médicamenteux
[Thésaurus Mesh]Carcinome médullaire
[Thésaurus Mesh]Tumeurs de la thyroïde
[Thésaurus Mesh]Tumeurs du rein
[Thésaurus HELB]:Paramédical:Cabozantinib
[Thésaurus HELB]:Paramédical:Cancer médullaire de la thyroïdeMots-clés : Protein-tyrosine kinases / antagonistes et inhibiteurs Tumeurs de la thyroïde Carcinome médullaire Tumeurs du rein cancer médullaire de la thyroïde Cabozantinib Résumé : Le cabozantinib est un inhibiteur de tyrosine kinase ciblant spécifiquement trois récepteurs : VEGFR2, c-MET et RET. L’inhibition concomitante du VEGFR et de c-MET permet de contourner les résistances observées via la voie c-MET aux inhibiteurs de tyrosine kinase anti-VEGFR. Le cabozantinib a montré son efficacité dans les cancers médullaires de la thyroïde localement avancés ou métastatiques, progressifs et non résécables de l’adulte contre placebo avec une augmentation de la survie sans progression de 4 à 11,2 mois, bénéfice retrouvé chez les patients déjà traités par inhibiteur de tyrosine kinase et quel que soit le type de mutation RET permettant son autorisation de mise sur le marché (AMM). Le cabozantinib a également montré sa supériorité en 2e ligne dans le cancer du rein à cellules claires métastatique contre évérolimus avec une augmentation de la survie globale de 16,5 à 21,4 mois (p=0,00026). Le cabozantinib rejoint désormais l’arsenal thérapeutique du cancer du rein avec délivrance en officine hospitalière dans le cadre de l’AMM et de la thyroïde par l’inclusion dans des essais thérapeutiques en l’absence de remboursement actuel dans cette indication. Son profil de tolérance s’apparente à celui des anti-angiogéniques et justifie une prise en charge optimale et précoce des effets secondaires. En ligne : http://dx.doi.org/10.1016/j.bulcan.2017.03.013 Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité B Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible La décision partagée en cancérologie, entre émancipation et domination de la personne malade / S. Marty in Ethique & santé, vol. 17, 2 (Juin 2020)
[article]
in Ethique & santé > vol. 17, 2 (Juin 2020) . - p. 82-88
Titre : La décision partagée en cancérologie, entre émancipation et domination de la personne malade Type de document : article de périodique Auteurs : S. Marty ; B. Stiegler ; C. Robert ; F. Colombani ; Alain Ravaud ; T. Haaser Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 82-88 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]Autonomie personnelle
[Thésaurus Mesh]Droits des patients
[Thésaurus Mesh]Éthique
[Thésaurus Mesh]Prise de décision
[Thésaurus Mesh]Tumeurs
[Thésaurus HELB]:Paramédical:Participation des patientsRésumé : La décision partagée est un nouveau modèle dans la prise de décision privilégiant l’autonomie du patient qui participe au choix thérapeutique le concernant. Cette possibilité de choix répond aux exigences de la démocratie sanitaire, née de la mobilisation de la société civile suite aux scandales des années 1980 (sida, sang contaminé) ayant conduit l’État à renforcer les droits des patients grâce à la loi du 4 mars 2002. Si ce modèle est mal compris et mis en Å“uvre, il peut également présenter des risques pour soignés et soignants. Pour certains cancers de la prostate, les patients se voient proposer deux traitements d’efficacité équivalente mais aux modalités et effets secondaires différents : la radiothérapie ou la chirurgie. Dans ce contexte d’annonce de pathologie cancéreuse, l’autonomie est un concept à interroger. En effet, certains patients voient dans la décision partagée une injonction à faire preuve de cette autonomie. La sur-responsabilité ressentie ou crainte peut même aboutir à des refus de traitement. Paradoxalement, cette procédure peut être l’occasion pour les soignants d’exercer une domination sur les patients avec une décision partagée utilisée comme alibi éthique. Une certaine forme de désengagement moral peut résulter d’une attention uniquement portée sur le choix. Nous proposons une lecture de ce dilemme éthique sous l’angle d’une logique de soin. L’autonomie de la personne n’est plus un postulat mais une construction à réaliser avec l’aide des soignants attentifs aux capabilités. Les paramédicaux du « temps d’accompagnement soignant » ont un rôle essentiel à jouer dans cet accompagnement. Note de contenu : Cet article fait partie du dossier « Du désir à la décision » Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité E Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible