Titre : | [Non consultable] Le rôle de l’infirmier dans la prise en charge de la douleur avec des traitements non pharmacodynamiques | Type de document : | TFE | Auteurs : | Oceane Philizor, Auteur ; Christophe Lapara, Auteur | Editeur : | Bruxelles : Haute Ecole Libre de Bruxelles Ilya Prigogine | Année de publication : | 2022 | Pages : | 35 p. | Langues : | Français (fre) | Descripteurs (mots clés) : | [Thésaurus Mesh]Douleur [Thésaurus Mesh]Gestion des soins aux patients [Thésaurus Mesh]Thérapeutique
| Résumé : | Objectif de l’étude
Aujourd’hui nous vivons dans un monde ou tout va et doit aller très vite, répondre à nos messages, enchainer plusieurs rendez-vous dans un temps bien défini, gérer sa vie de famille tout en travaillant… Prise dans cette course du quotidien nous ne prenons plus le temps de nous écouter ou de ressentir nos émotions, quand on va ressentir une douleur on va prendre un antalgique afin que celle-ci disparaisse rapidement, sans l’écouter et essayer de comprendre d’où elle vient et ce qu’elle nous indique. Mais à travers ce marathon du quotidien, se cache une augmentation de surconsommation d’antalgique d’année en année à l’échelle mondiale. Ce rythme soutenu du quotidien se répercute aussi sur les professionnels de santé et en particulier les infirmiers, comment prendre soin des patients dans un temps bien défini. Mais plus particulièrement comment nous infirmiers pouvons-nous aider les patients à traiter leur douleur.
Méthode employée
Pour réaliser mon travail de fin d’étude j’ai utilisé une revue de la littérature.
Points clés
Les domaines identifiés
La douleur est un sujet très vaste avec des domaines bien définis (douleur : fonctionnelle, inflammatoire, neuropathique, nociceptive). Elle se définit par « une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite dans ces termes » (Ministère Des Solidarités et de la Santé, 2022).
La douleur est aussi un domaine d’expertise médicale très règlementée à travers différentes lois telles que : l’article L111-O5 du code de santé publique qui précise les droits des patients quant à sa prise en charge et l’article R.4311-5 qui pose le rôle propre de l’infirmière pour son évaluation.
La prise en charge de la douleur dans la profession infirmière doit respecter des lois mais aussi elle requière des compétences telles qu’une spécialité en algologie. L’infirmier doit faire preuve de capacité d’écoute, réflexive et doit savoir recueillir des données percutantes. Cela fait aussi appel à un partenariat soignant-soigné et soignant-soignant.
De nos jours on peut voir une évolution importante de surconsommation d’antalgique, il faut savoir que certaines douleurs que ressentent le patient au quotidien, vont être ancrées en eux (douleur mémorisée) et cette douleur n’arrive plus à être soulagée car elle est mémorisée par le cerveau et le corps l’intègre en lui. Pour cela il faut savoir reconnaitre les limites des traitements pharmacodynamiques. Pour cela il existe des traitements non-pharmacologiques : le méthode MBSR et CBSR, des exercices physiques tel que le yoga, la nutrition…
Les résultats de mes revues littéraires ont été enrichis par des observations de terrain. J’ai pu effectuer un stage dans des cliniques de la douleur. | Type TFE : | Bibliographique | Domaine TFE : | Baccalauréat en Soins infirmiers | Permalink : | https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= |
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