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Descripteurs (mots clés)
Thésaurus Mesh
> M > Motoneurones
Motoneurones
Neurons which activate MUSCLE CELLS.
Synonyme(s)
Neurone moteur; Neurones moteursRelation(s)
- voir aussi au terme générique : [Descripteurs (mots clés)] Neurones efférents
- voir aussi au terme spécifique : [Descripteurs (mots clés)] Cellules de la corne ventrale
- voir aussi au terme spécifique : [Descripteurs (mots clés)] Motoneurones gamma
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Anatomie du Système nerveux autonome / A. Cazenoves in Kinésithérapie : la revue, 111 (Mars 2011)
[article]
in Kinésithérapie : la revue > 111 (Mars 2011) . - 23-26
Titre : Anatomie du Système nerveux autonome Type de document : article de périodique Auteurs : A. Cazenoves, Auteur Article en page(s) : 23-26 Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]Motoneurones
[Thésaurus Mesh]Système nerveux autonome
[Thésaurus Mesh]Système nerveux sympathiquePermalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Biomechanics and Motor Control of Human Movement / D.A. Winter
Titre : Biomechanics and Motor Control of Human Movement Type de document : Monographie Auteurs : D.A. Winter, Auteur Mention d'édition : 2ème éd. Editeur : New York : John Wiley & Sons Année de publication : 1990 Pages : 277 p.: tableaux, index ISBN/ISSN/EAN : 978-0-471-50908-0 Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]:~termes non classés:Biomécanique
[Thésaurus Mesh]Motoneurones
[Thésaurus Mesh]MouvementPermalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité F111/WIN/BI Livre Erasme - secteur F sciences fondamentales F111 - Biomécanique, mouvement Disponible F111/WIN/BI Manuel Erasme - secteur F sciences fondamentales F111 - Biomécanique, mouvement Disponible Le concept de thérapie miroir : comment favoriser son utilisation dans la pratique clinique courante pour la rééducation du membre inférieur hémiparétique ? / Laura Fanfano in Kinésithérapie scientifique, 590 (Septembre 2017)
[article]
in Kinésithérapie scientifique > 590 (Septembre 2017) . - p.11-18
Titre : Le concept de thérapie miroir : comment favoriser son utilisation dans la pratique clinique courante pour la rééducation du membre inférieur hémiparétique ? Type de document : article de périodique Auteurs : Laura Fanfano ; Samir Boudrahem Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.11-18 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]Accident vasculaire cérébral
[Thésaurus Mesh]Maladies du motoneurone
[Thésaurus Mesh]MotoneuronesRésumé : Élaborée il y a maintenant plus de 20 ans par l’équipe du professeur Ramachandran [1] la thérapie miroir propose aux patients d’effectuer des mouvements avec le membre dit sain, tout en regardant le reflet de ce dernier dans le miroir. Le membre dit pathologique est alors exclu du champ visuel du patient. Ce dispositif crée une illusion visuelle de mouvement du membre pathologique, par feedback visuel augmenté sur le cortex moteur.
Le patient doit impérativement se concentrer sur le reflet du membre sain dans le miroir et potentiellement avoir l’intention de réaliser ce mouvement avec le membre pathologique. Ceci permettrait de stimuler les structures sensorimotrices et associer une information visuelle cohérente à l’intention motrice. Plusieurs niveaux d’intention motrice ont été identifiés [2], lesquels seraient à adapter au niveau de récupération moteur du patient : tout d’abord l’observation (passive), puis l’imagination (simulation, sans intention de « faire » le geste), l’ébauche motrice (le patient ébauche le geste, sans effort) et enfin l’effort moteur (le patient tente de reproduire le geste avec le membre déficitaire).
De nombreux auteurs ont démontré des effets significatifs de la thérapie miroir concernant différentes déficiences dans plusieurs domaines. Tout d’abord, pour le traitement des douleurs du membre fantôme, entraînant une diminution, voire une disparition complète de ces dernières [2]. Puis, dans le cas du traitement du syndrome régional complexe de type 1, à l’origine d’un soulagement de la douleur et de l’amélioration du contrôle moteur en phase aiguë [3]. Cependant, dans le cadre du stade chronique, les effets sont divergents selon les auteurs [4].
Enfin, dans un contexte de blessures orthopédiques, comme la récupération de la déficience d’extension active du poignet [5] ou de la main [6], avec un niveau de preuve toutefois insuffisant dans ces études. Les différentes applications potentielles de la thérapie miroir sont représentées sur la figure 1.Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité K Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Diagnostic précoce de la SMA: un enjeu thérapeutique majeur in Percentile, vol. 24, 2 (Avril 2019)
[article]
in Percentile > vol. 24, 2 (Avril 2019) . - p. 10-11
Titre : Diagnostic précoce de la SMA: un enjeu thérapeutique majeur Type de document : article de périodique Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 10-11 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:maladie neuromusculaire
[Thésaurus Mesh]MotoneuronesPermalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible ÉVALUATION ET SUIVI DU CONTRÔLE NEUROMOTEUR ET POSTURAL DES FOOTBALLEURS DE HAUT NIVEAU Application et à réathlétisation et à la prophylaxie des pathologies des membres inférieurs / Geoffrey Memain in Kinésithérapie scientifique, 631 (Mai 2021)
[article]
in Kinésithérapie scientifique > 631 (Mai 2021) . - p. 5-17
Titre : ÉVALUATION ET SUIVI DU CONTRÔLE NEUROMOTEUR ET POSTURAL DES FOOTBALLEURS DE HAUT NIVEAU Application et à réathlétisation et à la prophylaxie des pathologies des membres inférieurs Type de document : article de périodique Auteurs : Geoffrey Memain ; [et al.], Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 5-17 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]Football
[Thésaurus Mesh]MotoneuronesRésumé : Le football de haut niveau impose aux athlètes des sollicitations de plus en plus importantes : nombre de compétitions et de déplacements, intensité de pratique ou encore diminution des périodes de récupération. Il est alors primordial d’intensifier le travail préventif pour minimiser l’effet de ces sollicitations sur le système musculosquelettique de l’athlète.La prophylaxie, définie comme « l’ensemble des moyens mis en œuvre pour éviter l’apparition, l’expansion et l’aggravation de certaines pathologies » [1] semble efficace en football, mais dans de faibles proportions [2]. Ekstrand et al. [2] ont étudié l’incidence de blessures des équipes de football de l’élite masculine européenne sur 18 saisons. Ces auteurs ont reporté une incidence de blessure de 3,4/1 000 h à l’entraînement et de 23,8/1 000 h en match. Ils ont aussi mis en évidence que la sévérité des lésions ligamentaires a augmenté (+ 4 % par saison en match et + 1 % à l’entraînement), mais que leur nombre a diminué au cours de cette période (- 7 % en match et - 6 % à l’entraînement par saison).Les récidives de blessure ont également diminué en match (- 4 % par saison) mais pas à l’entraînement. Ces mêmes auteurs ont montré que l’incidence globale de blessures semble diminuer de 3 % par saison, à l’instar des récidives (- 3 % à - 7 %) sur les 18 saisons.
L’importance de la prévention et de la réathlétisation est illustrée par Hagglund et al. [3] qui met en évidence l’existence d’un impact négatif du taux de blessures sur le succès en compétitions nationales et internationales. Cette tendance à la réduction des pathologies semble s’expliquer par l’amélioration de la gestion des blessures. Les éléments suivants participent à ces progrès : diagnostics et examens médicaux, connaissances en rééducation et réathlétisation, identification et modifications des facteurs de risques de rechute, batterie de test de return to play, travail préventif ou encore suivi des charges d’entraînement.
Malgré les aspects positifs issus de ces travaux et de la baisse des atteintes corporelles des footballeurs, les chiffres montrent tout de même 15,6 % de récidive sur les lésions musculaires des quadriceps, 17,5 % sur les ischio-jambiers, 6,6 % sur les LCA, ou encore 36,3 % sur les douleurs invalidantes de chondropathies de genou. Il faut prendre en considération que les données de l’équipe d’Ekstrand sont sur les équipes en champions league disposant des staffs et des conditions de suivi les plus fournis et donc pas forcément représentatives de l’ensemble du football professionnel. Une étude française récente fixait à environ 10 % le risque de récidive du LCA dans les 3 ans postopératoires [4] avec un retour au niveau préopératoire à 63 % [5].La Ligue de Football Professionnelle Française a, quant à elle, étudiée 18 clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 sur 2 saisons. Les résultats de cette étude épidémiologique [6] montrent que le risque de blessure est 11,2 fois plus important en match qu'à l'entraînement (17,2/1 000 h vs 1,53/1 000 h) et que 87 % des blessures concernent les membres inférieurs avec pour localisation majoritaire les muscles de la cuisse et en particulier les ischio-jambiers. Une pathologie sur 3 est caractérisée comme sévère, c’est-à -dire nécessitant plus de 28 jours d’indisponibilité.
Globalement, sur une saison, il y a 1,7 blessure par jour avec plus de 30 jours d’absence au football, ce qui représente 42,5 pathologies par équipe, soit 3,7 mensuelles nécessitant plus de 3 jours de prise en charge hors groupe d’entraînement. Aux USA [7], la pratique en compétition engendre une incidence 12,2 fois plus forte que l’entraînement (35,3/1000 h vs 2,9/1 000 h).L’étude de Noay et al. [8] portant sur 16 clubs de l’élite espagnole, conforte ces données en révélant des chiffres similaires avec 12,3 plus de blessures en compétition qu'à l'entraînement (43,53/1 000 h vs 3,55/1 000 h).Enfin, d’un point de vu calendaire, les deux périodes les plus sensibles en termes de traumatologie sont septembre-octobre et janvier-février [6].Lorsque le sportif est blessé, il passe par la rééducation et la réathlétisation. Ces deux notions peuvent être respectivement définies comme « l’ensemble des moyens et des soins non médicaux mis en œuvre pour rétablir plus ou moins complètement l’usage d’un membre ou d’une fonction », [Larousse]) et par « l’ensemble des moyens non médicaux et paramédicaux mis en œuvre pour rétablir l’efficacité motrice et fonctionnelle d’un athlète, en la rapportant au contexte de sa discipline sportive » [9]. Ces deux domaines sont complémentaires et doivent être menés de manière imbriquée afin de permettre à l’athlète de revenir sur les terrains de compétition (return to play, des anglo-saxons) dans les meilleures conditions possibles.Depuis le début des années 2000, les recherches sur ces notions se sont multipliées (notamment en neurosciences) permettant de construire un socle solide de connaissances, à la fois sur l’identification des facteurs de risque de survenue d’une blessure [10] et sur les techniques de prise en charge des sportifs blessés [11]. Les travaux sur les tests de prévention et d’évaluation des progrès lors du processus de Rééducation-Réathlétisation (R-R) se sont aussi fortement intensifiés. Notre domaine de recherche sur l’amélioration du processus de réathlétisation est un champ d'intervention se situant justement à la frontière des neurosciences, de la physiologie, de la biomécanique et de la traumatologie.Ce développement des connaissances [12] concernant l’apprentissage moteur, l'automatisation et la correction gestuelle, ou encore les inhibitions motrices enrichit grandement notre domaine. La notion de « profilage » dans le but d'individualiser les soins et l’entraînement est également au centre de ces évolutions. Le progrès des connaissances sur les conséquences des blessures et des opérations chirurgicales [13, 14] notamment concernant les inhibitions motrices (Arthrogenic Muscle Inhibition) et les réflexes de protection (en particulier de flexion) permettent de mieux comprendre l’impact de la blessure sur les différentes qualités neuromotrices de l’athlète, à savoir, l’excitabilité corticale, l’activation musculaire, le changement d'angle de pic de couple de force, le taux de développement de la force (Rate of Force Development - RFD). Les phénomènes de désadaptation et de désentraînement (musculaire, énergétique, neuromoteur et cognitif) sont très présents chez le sportif blessé et engendrent des conséquences significatives sur ses capacités.Les objectifs prioritaires de notre domaine professionnel sont de permettre à l’athlète de récupérer et/ou développer ses qualités dans les différents domaines illustrés à la figure 1 ci-dessous, d’évaluer toujours mieux l'impact de la réathlétisation sur ces qualités neuromotrices et de développer des stratégies de testing toujours plus pertinentes et spécifiques pour le retour à la pratique mais aussi à la performance post-blessure du footballeur de haut niveau.Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Intermittent cervical tractionb and thoraci manipulation for management of mild cervical compressive myelopathy attributed to cervical herniated disc / D. Brawder in Journal of Orthopaedic & Sports Physical Therapy, vol.34, 11 (Novembre 2004)
PermalinkLa sclérose latérale amyotrophique [dossier] / Pascal Rautureau in La revue de l'infirmière, 188 (Février 2013)
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