Résumé : | L’infirmité motrice cérébrale est un sujet peu connu. Pourtant, chaque année en Belgique, 0,2%, soit
environ 200 nouveaux cas, sont atteints d’IMC. De plus, il a été répété plusieurs fois qu’en l’absence
de prise en charge adéquate, l’IMC constitue un véritable handicap pour l’enfant. L’objectif pour moi
était donc de pouvoir mettre en évidence le but ainsi que le rôle de l’infirmière auprès de chaque
intervenant de la santé. La méthode employée et proposée était la revue de la littérature.
À travers ce travail, j’ai pu répondre à ma thématique : « La place de l’infirmière dans l’équipe
interdisciplinaire dans la gestion des projets de soins chez l’enfant souffrant d’infirmité motrice
cérébrale (IMC). » Les résultats retenus ont été enrichis par des observations du terrain.
Des recommandations ont pu être mises en évidence, notamment l’importance de développer le rôle
de l’infirmière au sein d’une équipe interdisciplinaire dans la littérature de la santé. Également de
réaliser des études cliniques plus récente sur le système psychomotricité des enfants atteint d’IMC,
ou encore de sensibiliser les nouveaux-engagés sur les crises d’épilepsie.
Par ailleurs, j’ai ressenti des difficultés quant aux choix des articles rencontrés. Le peu d’articles
pertinents concernant mon sujet et la non-adéquation avec ma problématique m’ont découragée, et
m’ont fait douter du choix de mon sujet. Finalement, la charge de travail tout au long de l’année m’a
freinée dans l’état d’avancement de mon TFE. En outre, je n’ai malheureusement pas pu participer Ã
certaines activités suite au manque de personnel de mon lieu de stage. Pour terminer, je dois
mentionner que mes observations ne sont valables que pour le centre Arnaud Fraiteur.
Pour terminer, certains enfants atteints d’IMC présentent souvent des crises d’épilepsie. Il serait donc
avantageux de sensibiliser les personnes en charge de ces enfants. L’idée serait de proposer une
journée de formation sur l’accompagnement de l’enfant souffrant d’épilepsie au sein du centre
Arnaud Fraiteur. On pourrait également mettre en oeuvre une étude scientifique évoquant
l’accompagnement des enfants épileptiques. Afin de déterminer l’impact de l’accompagnement tant
pour l’enfant que pour le personnel du centre pendant la durée de la crise. |