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Auteur Denis Corcella
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheRééducation après fracture de métacarpien des doigts longs Quel protocole aujourd'hui ? / Denis Gerlac in Kinésithérapie scientifique, 633 (Juillet 2021)
[article]
in Kinésithérapie scientifique > 633 (Juillet 2021) . - p. 35-44
Titre : Rééducation après fracture de métacarpien des doigts longs Quel protocole aujourd'hui ? Type de document : article de périodique Auteurs : Denis Gerlac ; François Moutet ; Alexandre Forli, Auteur ; Denis Corcella, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 35-44 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:Orthèse
[Thésaurus Mesh]Attelles
[Thésaurus Mesh]Os du métacarpeRésumé : L’objectif de la rééducation après fracture de métacarpien est de restaurer la fonctionnalité de la main. Cela implique la lutte contre la survenue d’adhérences tendineuses et de rétractions capsulo-ligamentaires, qui sont sources de raideur. Cette dernière étant susceptible d’entraver la mobilité, notamment celle de la flexion de la métacarpo-phalangienne [1-5].Un consensus existe pour affirmer que la kinésithérapie doit être précoce [6-10].« La rééducation est l’outil le plus efficace » [2] pour combattre cette raideur, cause réelle d’échecs. Néanmoins, la réalisation des mobilisations précoces n’est pas aisée au premier abord. La difficulté est d’arriver à mobiliser une chaîne polyarticulaire digitale constituée de plusieurs maillons osseux, alors qu’un un de ces maillons est fragilisé...Comment procéder ? Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité K Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Rééducation après fracture du premier métacarpien (bennett, rolando) : quel protocole aujourd'hui ? / Denis Gerlac in Kinésithérapie scientifique, 660 (Janvier 2024)
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in Kinésithérapie scientifique > 660 (Janvier 2024) . - p. 11-18
Titre : Rééducation après fracture du premier métacarpien (bennett, rolando) : quel protocole aujourd'hui ? Type de document : article de périodique Auteurs : Denis Gerlac ; François Moutet ; Alexandra Forlii ; Denis Corcella Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 11-18 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:fracture du poignet
[Thésaurus HELB]:Paramédical:Orthèse
[Thésaurus Mesh]Attelles
[Thésaurus Mesh]MétacarpeRésumé : L’objectif de la rééducation après fracture de premier métacarpien (M1) est de restaurer la fonctionnalité du pouce. Cela passe avant tout par la récupération de l’opposition et de l’ouverture de la première commissure. Ces deux mouvements sont indispensables pour la réalisation des gestes de préhension (de finesse ou de force). L’articulation trapézo-métacarpienne (TM), pièce maîtresse de cette mobilité, est au centre de cette rééducation, autant sa mobilité que sa stabilité, doivent être recouvrées.Sur le premier métacarpien, les fractures de la base sont les plus fréquentes. Elles ont comme caractéristique d’être particulièrement instables et souvent déplacées. Dans ce contexte, le traitement chirurgical est indiqué, il permet de réduire au plus près ces fractures et de les stabiliser correctement. La finalité étant d’autoriser la mobilisation précoce, afin d’éviter les écueils liés à l’immobilisation prolongée. Après ces fractures, « la rééducation est l’outil le plus efficace » [13] pour retrouver la fonction. Cette rééducation a pour mission la lutte contre les adhérences tendino-périostées et les rétractions capsulo-ligamentaires, sources de raideur et causes réelles d’échecs. Cette rééducation doit être précoce. Néanmoins, la réalisation des mobilisations précoces n’est pas aisée au premier abord. La difficulté est d’arriver à mobiliser une chaine polyarticulaire constituée de plusieurs maillons osseux, alors que justement un de ces maillons est fragilisé... Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité K Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Rééducation après maladie de dupuytren opérée : gérer la « flare reaction » / François Moutet in Kinésithérapie scientifique, 592 (Novembre 2017)
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in Kinésithérapie scientifique > 592 (Novembre 2017) . - 5-11
Titre : Rééducation après maladie de dupuytren opérée : gérer la « flare reaction » Type de document : article de périodique Auteurs : François Moutet, Auteur ; Alexandre Forli, Auteur ; Denis Corcella, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : 5-11 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus Mesh]:M:Maladie de Dupuytren:Maladie de Dupuytren / rééducation et réadaptation
[Thésaurus Mesh]Maladie de DupuytrenRésumé : La « flare reaction », littéralement traduit par « réaction inflammatoire », correspond à la présence d'une inflammation ostensible perdurant au-delà du délai normal de 3 semaines post-chirurgicales après une cure de maladie de Dupuytren
« Flare reaction » à J+30
La physiologie de la cicatrisation des tissus cutanés et sous-cutanés est aujourd’hui bien connue. Plusieurs phases vont se succéder les unes après les autres. La première correspond à la réponse vasculaire, tout de suite suivie par la phase inflammatoire caractérisée par un érythème associé à un œdème. Classiquement, cette phase inflammatoire se met en place dans la semaine qui suit la chirurgie et dure environ 3 semaines.
Dans le cadre post-chirurgical d’une cure de Dupuytren, la particularité de cette phase inflammatoire est que sa durée est imprévisible et indéterminée... Elle peut effectivement durer 3 semaines. Mais elle peut malheureusement tout aussi bien s’étaler sur une période de plusieurs semaines, voire quelques mois.
Une étude britannique [3], basée sur une revue de la littérature publiée sur 20 ans, montre que la présence de cette inflammation persistante est relativement courante. Elle affecte en moyenne 10 % des patients opérés pour un Dupuytren.
Le souci est que l’œdème persistant, le caractère variable de la coloration de la peau (tantôt rouge, rosée, tantôt blanche ou marbrée...) et la raideur générée par l’œdème peuvent nous induire en erreur. En effet, il est facile de confondre cette inflammation avec une algodystrophie modérée (Syndrome douloureux régional complexe de type 1 - SDRC1) [4] qui est « la complication majeure et redoutable de la maladie de Dupuytren » [5]. Cependant, il n’en est rien ; nous savons aujourd’hui que ce sont deux syndromes bien distincts. De là , la prise en charge rééducative ainsi que les perspectives de résultats sont totalement différentes.
Pour distinguer et désigner cette symptomatologie particulière [6] qui n’est pas une algodystrophie, les anglo-saxons utilisent depuis les années 1950 le terme « flare reaction » [7].
McFerlane [2], dans les années 1990 a largement insisté pour qu’on ne fasse pas la confusion entre ces deux pathologies « I draw your attention to the socalled flare reaction. Some people say this is a type of RSD, or it is the beginning of RSD, but I do not believe that is the case... ».
Cette « flare reaction » a été très bien définie par Rivlin [8]. Il la caractérise de la sorte : « A disproportionate degree of reactive erythema, stiffness, and edema in the postoperative period ».
Pour McFerlane, ce qui permet de distinguer clairement cet état de « flare reaction »(ou pseudo-algodystrophie) et de faire le diagnostic différentiel avec une algodystrophie, c’est la douleur. En effet, l’algodystrophie « vraie » génère des douleurs mécaniques et inflammatoires quasi permanentes, auxquelles s’ajoutent des réveils nocturnes alors que l’état de « flare reaction » n’engendre aucune douleur.
En rééducation, le patient se laisse mobiliser passivement sans jamais décrire de gêne douloureuse (excepté si les mobilisations sont outrageantes).
Aujourd’hui, les critères de Budapest permettent de distinguer le SDRC1 de la « flare reaction » [9].
Cette « flare reaction » ne présente pas toujours le même niveau d’intensité. Cela peut aller d’une inflammation peu intense et localisée au doigt opéré, à une inflammation majeure débordant au-delà des doigts opérés. Roselyne Evans a d’ailleurs classifié l’intensité de cette inflammation en 3 stades qui vont globalement d’une inflammation mineure à majeure [1].
La conclusion de cette observation montre que seul l’œdème est le véritable frein de la mobilisation dans le cadre d’une « flare reaction ». À lui seul, il forme l’obstacle qui empêche de mobiliser les articulations dans des amplitudes complètes. Le rééducateur doit donc concentrer toute son action et ses moyens à lutter contre cet œdème et ses conséquences. En effet, l’œdème qui persiste dans le temps est un véritable piège. À cause des protéines qui le constituent, s’il n’est pas drainé et évacué, il risque de se transformer en fibrose. On s’expose alors au danger de revenir au point de départ, c’est-à -dire se retrouver avec les doigts en griffes, ou bien, positionnés en rectitude sans possibilité de les fléchir.
Alors, comment lutter contre les effets de la « flare reaction » en rééducation ? La marche à suivre est aujourd’hui bien codifiée. Elle s’appuie sur deux piliers fondamentaux que sont la kinésithérapie et les orthèses [10-13].Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité K Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Résultats du traitement de deux Mallet-fractures pris en charge de façon orthopédique avec une orthèse de stack «sur mesure» : / Denis Gerlac in Kinésithérapie scientifique, 580 (Octobre 2016)
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in Kinésithérapie scientifique > 580 (Octobre 2016) . - 5-9
Titre : Résultats du traitement de deux Mallet-fractures pris en charge de façon orthopédique avec une orthèse de stack «sur mesure» : Type de document : article de périodique Auteurs : Denis Gerlac ; Fr. Moutet ; Denis Corcella Année de publication : 2016 Article en page(s) : 5-9 Langues : Français (fre) Mots-clés : Mallet-finger orthèse stack Résumé : Pendant la période d'immobilisation des Mallet-fingers osseux traités de façon orthopédique, il se produit parfois un déplacement secondaire préjudiciable du fragment distal.
Les attelles d'immobilisation les plus couramment employées à l'heure actuelle pour stabiliser le foyer de ces fractures, selon les écoles, sont soit des tuiles dorsales, soit des orthèses de Stack. Nous avons opté pour l'orthèse de Stack réalisée « sur mesure ».
Dans cet article, nous expliquons pourquoi nous avons préféré utiliser, dans le cadre du traitement de deux Mallet-fractures, une orthèse de Stack « sur mesure » plutôt qu'une tuile dorsale.Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité K Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Rupture de poulie digitale : quel traitement aujourd'hui ? / Denis Gerlac in Kinésithérapie scientifique, 625 (Novembre 2020)
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in Kinésithérapie scientifique > 625 (Novembre 2020) . - p. 19-26
Titre : Rupture de poulie digitale : quel traitement aujourd'hui ? Type de document : article de périodique Auteurs : Denis Gerlac ; François Moutet ; Alexandre Forli ; Denis Corcella Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 19-26 Langues : Français (fre) Descripteurs (mots clés) : [Thésaurus HELB]:Paramédical:Mobilisation
[Thésaurus Mesh]:M:Main:Main / chirurgie
[Thésaurus Mesh]MainRésumé : Les poulies digitales sont montées en série sur la face palmaire du squelette phalangien, elles forment avec lui un tunnel ostéo-fibreux appelé canal digital. Véritable élément de transmission, ce tunnel a pour mission de guider les tendons fléchisseurs et de les maintenir plaqués contre le squelette osseux [1-3] lorsque la force des muscles fléchisseurs s’exprime.Classiquement, sur un doigt long, on compte 8 poulies, 5 annulaires nommées de A1 à A5, et 3 cruciformes, notées de C1 à C3 (fig. 1). Les poulies A2 et A4 sont les plus longues et plus épaisses, ce sont les plus solides. Elles ont leurs insertions directement sur les diaphyses des phalanges proximales et intermédiaires, alors que les poulies impaires (A1, A3 et A5) s’insèrent sur les plaques palmaires respectives des MCP, IPP et IPD Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= [article]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité K Périodique Erasme - périodiques Périodiques Disponible Rupture de poulie digitale : quel traitement aujourd'hui ? / Denis Gerlac in Kinésithérapie scientifique, 660 (Janvier 2024)
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