Titre : | La pratique de la slackline permet-elle d’améliorer les capacités d’inhibition et d’attention visuelle chez un enfant atteint du Trouble de l’Attention avec ou sans Hyperactivité (TDA/H) |
Type de document : | TFE |
Auteurs : | Manon Harduin, Auteur ; Michiels, Sabine, Promoteur ; Rougui, Loubna, Promoteur |
Editeur : | Bruxelles : Institut d'Optique Raymond Tibaut |
Année de publication : | 2017 |
Pages : | 71p. |
Langues : | Français (fre) |
Descripteurs (mots clés) : | [Thésaurus HELB]:Paramédical:psychomotricité relationnelle
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Résumé : | La pratique de la slackline permet-elle d’améliorer les capacités d’inhibition et d’attention visuelle chez un enfant atteint du Trouble de l’Attention avec ou sans Hyperactivité (TDA/H) ?
Ce trouble est très répandu chez les enfants d’âge scolaire et est de plus en plus étudié. La principale prise en soin est la médication, il parait donc important et nécessaire de développer d’autres thérapies alternatives. La slackline est un sport qui consiste à marcher sur une sangle tendue entre deux points fixes et à y faire des figures par la suite. Il existe de nombreuses pratiques différentes. C’est très ludique et cela se répand de plus en plus, faisant augmenter le nombre d’études sur cette discipline.
Une quasi-expérimentation a été effectuée dans une école de type 8. Deux groupes de 3 enfants ont été constitués : un groupe test qui bénéficiait de la slackline, et un groupe contrôle qui n’avait pas la slackline. Le groupe test a eu pendant 10 séances 25 minutes de psychomotricité et 25 minutes de slackline tandis que le groupe contrôle a eu 10 séances de 50 minutes de psychomotricité chacune. Pour répondre à l’hypothèse, des tests ont été utilisés. Un test pour mesurer l’inhibition, provenant de la NEPSY II et un test pour mesure l’attention visuelle, dans la NEPSY I.
Les résultats de l’étude sont peu fiables et fragiles au regard du faible nombre de participants. Les moyennes obtenues ne sont pas toujours significatives mais nous montrent des tendances. La conclusion de cette expérimentation est que la pratique de la slackline améliorerait un peu les capacités d’inhibition. Aussi, elle améliorerait les capacités d’attention seulement si le sujet prend une médication. De plus, nous ne savons pas si la slackline permet d’être plus rapide en étant plus efficace car tous les sujets se sont améliorés sur ce point.
Mots-clés:Psychomotricité – Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité – Médiation psychomotrice – Slackline – Inhibition – Attention visuelle |
Domaine TFE : | Baccalauréat en Psychomotricité |
Permalink : | https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= |