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Auteur Jacques Kinet
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheAnalyse dynamique de la course à pied chez des jeunes femmes présentant un syndrome fémoro-patellaire / Tiphane Marchegay
Titre : Analyse dynamique de la course à pied chez des jeunes femmes présentant un syndrome fémoro-patellaire Type de document : TFE Auteurs : Tiphane Marchegay, Auteur ; Jacques Kinet, Promoteur Editeur : Bruxelles : Haute Ecole Libre de Bruxelles Ilya Prigogine Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Résumé : Notre travail de fin d’études tente de visualiser les différentes anomalies de la course à pied chez les jeunes femmes présentant un syndrome fémoro-patellaire en les comparant à des jeunes femmes saines. Le syndrome fémoro-patellaire (SFP) est une pathologie provoquant une douleur antérieure au niveau du genou, elle est souvent rencontrée chez les jeunes femmes sportives.
Notre question initiale de recherche est : « Existe-t-il un lien entre une dynamique de course à pied perturbée et l’apparition d’un syndrome fémoro-patellaire chez la jeune femme ? »D’après la littérature, nous savons que le bassin est généralement plus instable chez les sujets atteints d’un SFP mais nous ne connaissons pas les impacts de cette instabilité au niveau de la dynamique du genou. L’instabilité du bassin entraînerait un affaissement du membre inférieur lors de l’appui unipodal qui pourrait développer certaines pathologies et en particulier le SFP.Méthodologie :Après avoir exclu les personnes ayant une inégalité de membre inférieur et une instabilité du tronc, nous avons effectué différents tests pour former un groupe sain et un groupe de femmes atteintes du SFP (EVA, questionnaire, ). Pour faire parti du groupe pathologique il fallait être positif à au moins 5 tests sur les 9.Par la suite, nous avons placé des marqueurs sur chacune des filles pour pouvoir mesurer la stabilité du bassin, l’angle fémoro-tibial et la flexion du genou. Puis, nous avons filmé les sujets en train de courir sur tapis roulant (8km/h) grâce à deux caméras une à l’arrière et une du coté pathologique. Nous avons utilisé le logiciel de vidéogoniométrie Kinovéa pour mesurer les angles.Résultats : Nous avons retrouvé une différence significative pour l’EVA (p-valeur = 0.0002) et le questionnaire Kujala (p-valeur = 0.0002). L’angulation du bassin dans le groupe pathologique est significativement différente de celle du groupe sain (p-valeur = 0.04), Nous constatons que chez les sujets atteints d’un SFP, le bassin est plus instable, ce qui signifie que la hanche du côté opposé à l’appui, a tendance à chuter vers le bas. Nous ne retrouvons pas de différence entre les groupes au niveau du genou. Nous retrouvons une corrélation significative (p-valeur = 0.0035) entre la corrélation entre angle fémoro-tibial et flexion du genou chez les sujets pathologiques. Mais nous ne pouvons pas mettre en évidence une relation entre l’instabilité du bassin et la dynamique du genou.
Conclusions :Cette expérience nous a montré qu’il existait de nombreux tests et qu’il n’était pas forcément facile d’identifier cette pathologie. Le diagnostic du SFP est délicat à déterminer du fait de son étiologie complexe.
Nos résultats ont montré que l’instabilité du bassin était significativement plus importante chez les sujets atteints d’un SFP. S’agit-il d’une faiblesse du moyen fessier ? Nous pouvons en faire l’hypothèse mais dans notre étude nous ne l’avons pas confirmé. D’autres éléments peuvent entrer en jeu puisque cette pathologie est multifactorielle.Nous avons retrouvé une bonne relation entre la flexion de genou et l’angle fémoro-tibial chez les sujets pathologiques. Cette instabilité du genou pourrait expliquer la douleur retrouvée chez les sujets atteints d’un SFP. Malgré le fait que nos résultats ne soient pas significatifs, nous avons quand même pu observer que les deux groupes ne se comportaient pas de la même façon.Cette étude pourrait être complétée grâce à une analyse biomécanique de la cheville et du pied ainsi qu’une analyse électromyographique pour les éventuelles compensations musculaires. Le traitement doit prendre en compte la globalité du membre inférieur pour lutter contre l’affaissement de celui-ci. L’analyse de la course à pied semble être utile dans le traitement kinésithérapeutique.
Mots-clés : Syndrome fémoro-patellaire, Analyse de la course à pied, Instabilité de hanche.Domaine TFE : Master en Kinésithérapie Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité MLK/2016/23 MARCHEGAY Tiphaine TFE Erasme - TFE Kinésithérapie En ligne (via portail HELB)
Exclu du prêtAnalyse goniométrique, isocinétique et chronaxique des muscles rotateurs des épaules saines de volleyeurs vs non-pratiquants / Julien Liens
Titre : Analyse goniométrique, isocinétique et chronaxique des muscles rotateurs des épaules saines de volleyeurs vs non-pratiquants Type de document : TFE Auteurs : Julien Liens, Auteur ; Jacques Kinet, Promoteur ; M Fontaine B., Promoteur Année de publication : 2013 Résumé : Expérimental Promoteur : M Fontaine B./M Kinet J. Domaine TFE : Master en Kinésithérapie En ligne : MLK2013LIENSJulienTFE.pdf Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité MLK/2013/25 TFE Erasme - TFE Kinésithérapie En ligne (via portail HELB)
Exclu du prêtAnalyse de l'instabilité gléno-humérale chez des sujets pratiquant le jujitsu brésilien / Duvaux X
Titre : Analyse de l'instabilité gléno-humérale chez des sujets pratiquant le jujitsu brésilien Type de document : TFE Auteurs : Duvaux X, Auteur ; Leleux, Ch., Promoteur ; Jacques Kinet, Promoteur Année de publication : 2014 Résumé : La pratique du jujitsu brésilien provoque-t-elle une instabilité gléno-humérale ? Méthodologie : Nous procèderons à une étude transversale, permettant de réaliser une image d’un échantillon d’une population de sportifs à un moment donné. Trois groupes de sportifs seront comparés : jiu-jitsu brésilien / basketball / sportifs ne pratiquant pas une activité sollicitant l’épaule. Ce dernier groupe nous a servira de << groupe de référence >>. Tous les sujets sélectionnées répondront à un questionnaire et seront soumis aux tests cliniques d’instabilités les plus valides et reproductibles trouvés dans la littérature. DEPARTEMENT PARAMEDICAL SECTION KINESITHERAPIE Un goniomètre de Houdre sera utilisé pour mesurer les amplitudes articulaires de l’épaule. De plus, un score de ROWE nous permettra de quantifier les épaules des sujets. Résultats : Notre travail ne montre pas de différence significative en ce qui concerne les SLAP lésions. Seulement, nous observons de façon attendue une tendance à retrouver plus de sujets atteints de cette pathologie lorsqu’ils pratiquent une activité sollicitant l’épaule. Par contre, nous pouvons affirmer que la pratique du jujitsu brésilien est un des facteurs principaux dans l’établissement de l’instabilité gléno-humérale. En effet, une hyperlaxité du ligament gléno-humérale inférieur est observée uniquement chez les sujets pratiquant le jujitsu brésilien. Ce ligament est considéré comme un des stabilisateurs les plus importants contre la luxation antéro-inférieure. Conclusions : La biomécanique lésionnelle de cette pratique sportive serait donc à l’origine d’une distension capsulo-ligamentaire et musculaire, qui provoquerait des perturbations proprioceptives, rendant l’épaule plus instable. Mots-clés : Jujitsu brésilien / Basketball / Instabilité gléno-humérale / Hyperlaxité gléno-humérale / Lésion du bourrelet glénoïdien / SLAP Lésions. Promoteur : KINET, J./Leleux, Ch. Domaine TFE : Master en Kinésithérapie Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité MLK/2014/17 TFE Erasme - TFE Kinésithérapie En ligne (via portail HELB)
Exclu du prêt
Titre : L'apport de l'imagerie mentale sur la performance au putting chez le golfeur Type de document : TFE Auteurs : Antoine Pouliquen, Auteur ; Jacques Kinet, Promoteur Editeur : Bruxelles : Haute Ecole Libre de Bruxelles Ilya Prigogine Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Résumé : L’imagerie mentale, appliquée au golf, permet-elle une amélioration de la
performance chez le golfeur ?
Méthodologie :
L’étude se fait sur une population de golfeurs de plus de 18 ans qui pratique ce
sport depuis au moins 5 ans et ont un handicap inférieur à 20 pour le groupe confirmé
tandis que pour le groupe débutant, nous avons des joueurs qui n’ont jamais pratiqué le
putting.
Pour notre étude, nous avons pu avoir 22 joueurs débutants que nous avons
séparés en deux groupes G1 et G2. Il y a eu une mort expérimentale dans le groupe G2,
donc dans le groupe G1 nous avons 11 participants et dans le groupe G2 nous en avons
10.
Dans le groupe confirmé, nous avons 20 participants séparés en deux groupes G1 bis et
G2 bis. Ici la répartition des groupes est identique, nous en avons 10 dans chaque
groupe.
- Les groupes G1 et G1 bis bénéficient d’un entrainement mental (imagerie mentale
auditive)
- Les groupes G2 et G2 bis sont les groupes témoins sans entrainement spécifique
Le protocole se déroule sur 1 jour d’entrainement durant lequel les joueurs sont
répartis en deux groupes : G1 et G1 bis sont les groupes qui subiront de l’imagerie
mentale tandis que G2 et G2 bis seront les groupes témoins, sans entrainement
spécifique.
Pendant cette journée, les joueurs du groupe G1 et G1 bis ont 30 minutes d’imagerie
mentale (imagerie visuelle interne avec proposition de script selon le modèle PETTLEP).
La séance se déroule ainsi pour les joueurs des deux groupes. Chaque joueur effectue un
pré-test, ensuite les groupes G1 et G1 bis réalisent l’imagerie mentale tandis que le
groupe G2 et G2 bis ont un entrainement de putting non spécifique, libre. Nous réalisons
ensuite le post-test.
Pour le pré-test, nous faisons passer tous les joueurs 3 fois de suite sur la première
distance (50cm), ensuite nous effectuons la deuxième distance (3m50) puis nous
finissons par la dernière distance (5m). Ici, l’ordre de passage se fait par tirage au sort.
Pour la phase d’entrainement les joueurs sans imagerie s’entrainent librement et les
joueurs du groupe G1 et G1 bis réalisent l’imagerie.
Pendant la séance d’imagerie mentale, nous demandons de visualiser, en 3 fois, 3 putts
différents dans des conditions différentes les unes des autres (un putt à 50cm, un autre Ã
3m50 et un autre à 5m) avec une aide visuelle projetée via photo sur rétroprojecteur
pour qu’ils puissent se représenter la distance.
Une fois la séance terminée, nous pouvons passer à la phase post-test. Les joueurs vont
sur le practice et réalisent les différents putts.
Ici aussi les joueurs passent trois fois de suite pour chaque distance et l’ordre de passage
se fait à nouveau par tirage au sort.
Les distances sont standardisées pour tout le monde via une marque au sol et chaque
joueur dispose de 1 minute par putt à partir du moment où il positionne leur balle sur la
marque au sol.
Avant la réalisation des groupes, l’ensemble des joueurs G1, G1 bis, G2 et G2 bis ont
rempli deux questionnaires. Le premier questionnaire est le « MIQ-RS » qui permet
d’évaluer les capacités d’imagerie mentale des participants. Ce test est fiable, validé et
possède une version traduite officielle en français. Le deuxième est un questionnaire de
compréhension qui comporte les termes utilisés dans la lecture du texte d’imagerie
mentale, afin d’être sûr que chaque terme employé soit compris par le participant.
Enfin ces tests sont complétés par le test de chronométrie qui consiste à comparer le
temps mis par le joueur pour réaliser le geste du putting et la durée du geste imaginé. Si
les joueurs ont une bonne capacité d’imagerie mentale, la différence entre les deux
durées doit être quasiment nulle
Résultats :
Nous avons pu constater, avec les résultats que nous avons obtenus, une
amélioration de la précision du geste sur les putts longues distances (5m) chez les
joueurs confirmés (p=0,0136). Pour les autres distances de putt des confirmés et pour
l’ensemble des distances de putt des débutants, nous n’observons pas de différence
significative quand nous comparons le groupe contrôle avec le groupe témoin.
Conclusions :
L’imagerie permet une amélioration de la performance du sportif mais
l’expérience du joueur, son niveau de pratique, ses capacités d’imagerie, l’imagerie et le
protocole employé pour l’entrainement sont autant de facteurs à prendre en compte
pour que l’imagerie mentale soit bénéfique.
Mots-clés : Imagerie mentale / Modèle PETTLEP / Préparation mentale / PuttingDomaine TFE : Master en Kinésithérapie Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité MLK/2016/33 POULIQUEN Antoine TFE Erasme - TFE Kinésithérapie En ligne (via portail HELB)
Exclu du prêtApproche de l'activité musculaire du tronc lors d'une simulation en laboratoire de la pratique du kitesurf / Mayeul Declercq
Titre : Approche de l'activité musculaire du tronc lors d'une simulation en laboratoire de la pratique du kitesurf Type de document : TFE Auteurs : Mayeul Declercq, Auteur ; Jacques Kinet, Promoteur ; Bourgeois, M., Promoteur Editeur : Bruxelles : Haute Ecole Libre de Bruxelles Ilya Prigogine Année de publication : 2015 Pages : 57p. Langues : Français (fre) Résumé : Question / problème :L’objectif de cette étude est de décrire l’activité musculaire en kitesurf des muscles du tronc, en actif et en dynamique dans deux positions différentes.
Ensuite nous comparerons les modalités entre elles afin d’avoir une meilleure vision de l’activité électrique des muscles du tronc en kitesurf.Nous tenterons de répondre à travers cette description à plusieurs questions :
1) Comment le grand droit de l’abdomen, l’oblique externe et les érecteurs du rachis, réagissent-ils lors de tractions soudaines faites au niveau du harnais du kite simulant des situations dynamiques en kitesurf ? Des synergies musculaires existent elles ?
2) Existe-t-il une variation de recrutement musculaire du grand droit de l’abdomen, de l’oblique externe, du quadriceps et des érecteurs du rachis dans des positions dites de débutant et lors d’une bonne position de remontée au vent ?
3) Existe-t-il une variation de recrutement musculaire du grand droit de l’abdomen, de l’oblique externe, des érecteurs du rachis et du quadriceps lors de la pratique du kitesurf en bonne position de remontée au vent entre le côté homolatéral et hétérolatéral à la direction de navigation ?
Méthodologie : Nous avons réalisé une étude électromyographique des muscles grands droits de l’abdomen, Obliques externes, érecteurs du rachis et quadriceps du côté gauche chez un sujet pratiquant le kitesurf régulièrement.
Le sujet a effectué sept tâches différentes.
Une mesure de CMIV dans une position de débutant et dans une bonne position de remontée au vent. Puis deux mesures en statiques et deux mesures en dynamiques en simulant une bonne position de remontée au vent, et enfin une mesure en statique dans une position de débutant.
Résultats :L’analyse des résultats a permis de mettre en évidence trois points importants :
-Le kitesurf sollicite peu le grand droit en situation statique, mais il permet de stabiliser le tronc lors des chocs provoqués par les tractions laissant penser qu’il a certainement un rôle important en situation réelle de navigation et lors des sauts.
-Les érecteurs du rachis et les grands obliques travaillent beaucoup et sont responsables du maintien de la bonne position en statique en travaillant davantage en isométriques.
-Le quadriceps travaille asymétriquement en bonne position de remontée au vent. En effet, le travail du quadriceps de la jambe arrière et de la jambe avant est très différent, avec une importante activité du quadriceps arrière et un repos du quadriceps de la jambe avant.
Conclusions :Cette analyse de l’activité musculaire peut être une aide pour un entrainement physique avant la pratique du kitesurf et pour améliorer la performance en navigation (race). Les kitesurfeurs d’élites et les débutants pourraient dès lors adopter un programme de renforcement des muscles du tronc et du quadriceps.
La méthode expérimentale de l’étude peut aussi servir à développer de l’équipement pour le kitesurf notamment des harnais plus ergonomiques au niveau du tronc.
Ce travail de fin d’études apparait comme une pré- étude de faisabilité, du fait du faible échantillon et de la présence de biais dans la méthodologie expérimentale. Il serait donc intéressant d’effectuer une autre étude avec une méthodologie plus scientifique et un échantillon plus grand en conditions réelles de navigation. Il serait également pertinent d’évaluer le travail musculaire lors de figures de freestyle ou dans toutes les disciplines du kitesurf pour établir des pré-entrainements spécifiques et adaptés à chaque pratique et ainsi limiter les pathologies musculo-squelettiques.
Plus on comprendra le fonctionnement du corps pendant la pratique plus on améliorera l’efficacité de l’entrainement.
Mots-clés : Kitesurf - Grand droit - Quadriceps - Oblique externe - Erecteurs du rachis-Electromyogramme – Activité musculaire.Promoteur : BOURGEOIS, M./KINET, J. Domaine TFE : Master en Kinésithérapie Permalink : https://bibliotheque.helb-prigogine.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id= Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité MLK/2015/8 TFE Erasme - TFE Kinésithérapie En ligne (via portail HELB)
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